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mardi, 19 octobre 2010

A quoi ça sert l'école ?

A quoi ça sert l'école ?

Un livre de Claude Boukobza,
pour les parents...
mais aussi lisible par
des enfants vraiment lecteurs...

Jean-Charles.

ecole.jpg

mercredi, 29 septembre 2010

Pourquoi aller à l'école ?

Pourquoi aller à l’école ?

Une question posée aux trois classes
du blog Ecritic auquel nous participons.

 

Voici nos réponses :

 

 

Quand on est à l'école, on apprend le français, les mathématiques, la géographie, l'histoire, les sciences et selon notre cas, on peut apprendre la discipline.
On pourrait aussi apprendre tout ça à la maison, sur un canapé, en mangeant ou devant la télévision.
Mais à l'école, on apprend à travailler avec les autres élèves et c'est souvent à l'école que l'on rencontre ses premiers amours et son/sa meilleur(e) ami(e).

Aller à l'école, c'est aussi se rendre utile aux autres tout en en devenant autonome au fur et à mesure de sa scolarité .

Pauline, troisième année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école, c’est vrai, pour « lire, écrire, compter »,…

Mais, nous n’apprenons pas tout à l’école, voilà deux exemples : nous apprenons à marcher et à parler à la maison.

En fait, nous apprenons certaines choses à l’école et le reste chez nous.
Mais, parfois, nous apprenons les mêmes choses à la maison et à l’école comme la politesse, le respect,…

A l’école, nous apprenons aussi à vivre ensemble avec d’autres enfants et aussi à devenir plus autonomes.

A l’école, nous faisons aussi des sorties, nous avons des correspondant-e-s, et nous pouvons même aller en classe découverte !!!

A l’école, nous nous faisons aussi des ami-e-s, et parfois des ennemi-e-s…

 

Il faut être content d’aller à l’école car je crois qu’avant, elle était payante et réservée aux riches et peu d’enfants y allaient…

 

Alors profitons des années que nous passons à l’école !!!

 

Maureen, troisième année du cycle 3.

 

Nous y allons pour apprendre à lire, écrire, compter car c’est nécessaire pour se débrouiller dans la vie et plus tard trouver un travail.
Mais, à l’école, nous pouvons faire des choses que nous ne faisons pas toujours à la maison : aller au cinéma et parler des films, aller à des séances de contes, en écrire, en dire, faire certains sports, faire des ateliers,…

Nous y apprenons aussi de la science, de l’histoire, de la géographie,…

L’école est aussi faite pour apprendre à se respecter les uns les autres.

A la cantine, nous apprenons aussi à découvrir d’autres goûts et à ne pas rester le ventre vide quand nous travaillons !

A l’école, nous pouvons nous faire plein d’ami-e-s et jouer avec aux récréations.

C’est tout ça l’école !

J’aime bien l’école car je m’y amuse avec mes amies, j’y travaille mais je n’aime pas les bilans, les contrôles (mais ça va, dans notre classe il n’y en a pas trop).

 

Joséfine, troisième année du cycle 3.

 

Je vais à l’école pour voir mes ami-e-s, pour jouer, pour apprendre aussi… à être avec des personnes que je n’aime pas forcément.

Je vais aussi à l’école parce que c’est obligatoire pour apprendre à lire, écrire, compter, conjuguer, etc.

J’y vais aussi parce que j’aime y aller, travailler mais même quand il y a des choses que je n’aime pas, j’y vais quand même !

J’aime aussi aller à l’école car je m’y amuse bien.

A l’école, j’ai rencontré ma meilleure amie.

 

Marie, troisième année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter mais aussi à vivre ensemble, à nous discipliner.

L’école est faite pour apprendre tout ça : c'est-à-dire à avoir des bases pour plus tard.

Avoir des bases, cela signifie avoir ce qui est nécessaire pour que plus tard nous puissions vivre correctement, faire certaines études, gagner notre vie…

C'est-à-dire à commencer à préparer notre avenir.

Mais l’école peut aussi servir à se trouver des ami-e-s, à faire du sport, des sorties, des jeux, à inventer, créer,…

 

J’aime l’école : les ateliers, l’EPS, le travail personnel et l’organisation de la classe me plaisent et mes amies sont sympathiques.

 

Olivia, troisième année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter, à mieux parler français, à mieux comprendre les maths.
Mais nous y allons pour nous préparer plus tard à aller dans d’autres écoles, à choisir et à apprendre le métier que l’on souhaite.
Si nous ne travaillons pas à l’école, nous ne ferons pas le mêtier que que souhaitons, nous ne gagnerons pas notre vie.
Nous ferons des métiers qui ne rapportent pas beaucoup d’argent comme balayeur, même si c’est un métier important, car si tous les balayeurs d’une ville s’arrêtent de travailler, en une semaine cette ville sera très sale !

C’est un  métier important car c’est nécessaire qu’il y ait des balayeurs.

Et puis à l’école, nous nous faisons aussi des copains, des amis.

 

Moi, j’aime l’école car j’aime bien travailler.

 

Victor, troisième année du cycle 3.

 

Moi, je vais à l’école d’abord pour apprendre des choses nouvelles en français, en maths amis aussi en sciences, en géographie,… et ensuite pour me faire des copains et des copines et m’amuser avec.
Je vais donc à l’école pour apprendre à vivre avec d’autres personnes.

J’aime l’école parce que sans l’école, pour moi, je ne saurai pas faire beaucoup de choses.

En tous les cas, c’est mon cas.

 

Channèze, troisième année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter pour que plus tard nous puissions faire des études pour avoir le métier de notre choix.

Exemple : le maître a fait des études pour être maître… il a choisi.

Tout le monde peut faire des études et choisir un métier.

Mais, nous allons aussi à l’école pour nous amuser avec nos copains et nos copines, nos ami-e-s.

 

J’aime l’école parce que nous pouvons nous y faire des ami-e-s et que nous devons nous y respecter les uns et les autres.

Noémie, troisième année du cycle 3.

 

Moi, je vais à l’école pour jouer avec mes amis, me faire de nouveaux copains aux récréations, faire des activités comme aller au cinéma, faire des ateliers (cuisine, bricolage, jeux de société, graf, dessin, informatique, peinture, des jeux, du sport,…).

J’aime bien travailler en m’amusant.

J’aime aussi aller à l’école pour (re)voir les têtes de la classe et de l’école : Victor, Léo, Xavier, Bastien, …

 

Téo, troisième année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre à travailler correctement, proprement.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, à écrire, à compter, à faire des ateliers, des activités.

 

Moi, j’aime bien l’école car j’aime bien apprendre des choses nouvelles.

 

Martin, première année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter et à mieux parler.

Nous allons à l’école pour apprendre à vivre avec d’autres personnes.

L’école nous apprend aussi à être moins timides.

C’est aussi là que nous apprenons à jouer avec d’autres, à faire d’autres sports, à avoir des ami-e-s.

L’école sert peut être aussi à avoir plus tard un bon métier.

 

J’aime l’école car c’est là que nous apprenons à travailler et que nous rencontrons les ami-e-s.

 

Amélie, première année du cycle 3.

 

L’école sert à apprendre ce que nous n’apprenons pas à la maison comme par exemple lire, écrire, calculer,  vivre en groupe.

L’école nous sert à apprendre des choses essentielles pour plus tard…

 

Matteo, première année du cycle 3.

 

A l’école, nous apprenons à compter, à lire, à écrire, à vivre avec d’autres enfants.

Mais l’école sert aussi à avoir des copains, des copines, des ami-e-s et même des amoureux(ses)…

 

Thomas, première année du cycle 3.

 

L’école sert à vivre en collectivité, à passer à des niveaux supérieurs, à choisir son métier, à apprendre les maths, le français.

 

Léo P., première année du cycle 3.

 

L’école sert à apprendre à déchiffrer les mots, à lire, à compter mais aussi à plus de choses : faire des ateliers, des sorties,…

L’école sert aussi à rencontrer nos ami-e-s, à passer du temps ensemble, à jouer.

 

Sarah, première année du cycle 3.

 

Aller à l’école, nous sert à travailler, à apprendre à travailler :
Nous y faisons des maths, nous lisons, nous écrivons, nous faisons des activités, nous vivons avec les autres,… nous nous y amusons aussi et nous y faisons des choses que nous aimons.

 

Moi, j’aime bien l’école parce que je m’y amuse bien.

 

Cléa, première année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre les multiplications, les additions, les soustractions…

Nous apprenons à jouer et à travailler avec d’autres enfants.

Nous y apprenons plus de choses qu’à la maison.

 

J’aime bien aller à l’école parce qu’on y gagne de nouveaux amis.

 

Lucas, première année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour apprendre à lire, à écrire, à compter (faire des multiplications dures) car à la maison, nous apprenons rien.

Apprendre à lire c’est important car si on ne sait pas lire, on ne peut pas avoir un métier intéressant.

 

A l’école, nous jouons avec les copains et les copines et c’est pour ça que j’aime l’école.

 

Emma, première année du cycle 3.

 

On va à l’école pour le travail !

On va à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter car plus tard, on pourra avoir un bon métier.

Il faut travailler à l’école car plus tard si nous avons des enfants, il faudra aussi savoir lire, écrire, compter pour les aider.

On va à l’école aussi pour être avec des copains et des copines.

J’aime à l’école les maths et… la cour !

 

Manon, première année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour :

·         apprendre à lire, à écrire, à compter

·         apprendre l’anglais, les maths, le français

·         apprendre à mieux se comporter

·         apprendre plus de discipline

·         apprendre la géographie pour connaître me monde quand nous serons plus grands

·         savoir vivre avec les autres

Et tout ça nous servira, pour plus tard, quand nous serons grands… pour pouvoir choisir quoi faire…

 

Mais à l’école aussi, nous pouvons nous faire des ami-e-s.

 

Moi à l’école j’aime les maths (mais je ne sais pas trop pourquoi) et je déteste la géographie.

 

Marine, première année du cycle 3.

 

Nous allons à l’école pour écouter et travailler sinon on ne pourra pas aller au collège, puis même chose après pour le lycée, l’université.

Il faut donc travailler pour avoir de bons résultats aux examens.

A l’école, nous apprenons le français, les maths ; à lire, écrire, compter,…

Mais à l’école, nous nous faisons aussi des ami-e-s, des amoureuses ou des amoureux.

 

Moi, j’aime l’école car j’y ai des amis.

 

Léo DM., deuxième année du cycle 3.

 

Si on n’allait pas à l’école, on ne saurait pas faire de maths, on ne saurait pas lire, on ne saurait pas écrire.

Si on n’allait pas à l’école, on serait seul.

Si on n’allait pas à l’école, on ne pourrait pas ensuite avoir un bon métier.

 

Dalip, deuxième année du cycle 3.

 

Aller à l’école, c’est surtout pour travailler en français, en maths et aussi un petit peu de temps pour les copains et les copines.

Il y a des moments pour travailler et apprendre en français, en maths, en géographie, etc. et des moments aussi pour travailler en dehors de l’école et continuer à apprendre.

 

Moi, il y a des trucs que j’aime bien à l’école dans le travail comme : apprendre des choses nouvelles et j’aime bien aussi rigoler.

 

Fares, deuxième année du cycle 3.

 

Aller à l’école, c’est pour apprendre à travailler individuellement et collectivement.

Aller à l’école, ça nous permet d’apprendre beaucoup…

Mais à l’école, on se fait aussi des amis.

L’école, c’est aussi un lieu amusant pour apprendre : on va au cinéma, on fait des sorties, on part en classe découverte)…

A l’école, il y a des moments de travail et des moments de récréation, de jeux et c’est bien.

 

Yohni, deuxième année du cycle 3.

 

On va à l’école pour apprendre à lire et à écrire et aussi parce que si on n’y allait pas, on ne pourrait peut-être pas faire de classe découverte, on ne pourrait pas faire de cuisine, de bricolage, de peinture,…

On ne serait pas non plus avec des copains ou des copines, car grâce à l’école, on peut trouver de nouveaux et de nouvelles ami-e-s.

A l’école, certain-e-s apprennent à manger équilibré.

 

J’aime bien l’école car on s’y amuse bien, même très bien.

 

Mélodie, deuxième année du cycle 3.

 

On va à l’école pour apprendre à lire, écrire (dans les lignes), faire des textes, des poésies, des opérations, des jeux,… mais aussi des ateliers, des sorties,…

A l’école, on apprend aussi à travailler (proprement, sérieusement), à réfléchir, à connaître les autres, les règles de vie ensemble, les respecter…

 

A l’école, tu peux aussi te faire des ami-e-s, tu peux t’amuser avec eux et même trouver ton amour.

 

Si tu ne vas pas à l’école, tes parents peuvent avoir des soucis (et peut-être même aller en prison ?).

 

Si tu ne vas pas à l’école et que plus tard tu veux des enfants, tu ne pourras pas les aider à apprendre.

 

Moi, j’aime l’école car j’y ai mes amies et j’y apprends beaucoup de choses, surtout avec un maître gentil.

 

Alicia, deuxième année du cycle 3

 

 


vendredi, 23 juillet 2010

A quoi sert le jeu ?

Jouer ça apprend à être calme, à être avec d'autres en respectant des règles, à apprendre à perdre avec le sourire mais ça sert aussi, selon les jeux, à se défouler, à ne pas s'ennuyer, à se faire des ami-e-s.

Dans la déclaration internationale des droits de l'enfant, il est cérit que les enfants ont le droit aux jeux, tous les enfants du monde mais aussi les adultes : en fait tous les humains peuvent jouer.

Nous pouvons jouer quand on n'a rien de spécial à faire, en temps de jeux en classe ou en récréation, mais aussi à la montagne, à la maison, en toute liberté.

A l'école en récréation, je préfère discuter que jouer car pour jouer il faut avoir du temps...

Marie Ge
, deuxième année du cycle 3.

Pour moi jouer c'est s'amuser.
On peut jouer pour se détendre quand on est fatigué ou pour passer le temps.
Jouer sert à nous distraire, à imaginer des mondes nouveaux, à créer des choses...
Mais certains jeux ne servent à rien de spécial.

Tous les êtres vivants peuvent jouer quand ils en ont envie, qu'ils ont du temps et qu'ils n'ont pas d'autres choses à faire.

On peut jouer partout : dans notre chambre, à l'école, dans la nature, les branches, l'herbe haute, la boue, les jardins, les champs...

J'aime bien jouer aux Pet Shop, aux Playmobils, au Monopoly, à Mario, à Naruto, aux elfes, à la bonne paye, au Uno, au mémory,... J'aime bien toutes sortes de jeux et j'aime surtout jouer aux jeux où on invente nos propres histoires...

Marie Ga
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser, seul ou à plusieurs : c'est un loisir.
Nous pouvons jouer à des jeux électroniques, des jeux de société, des jeux traditionnels, des jeux d'autres pays...

Jouer, ça permet aussi de rire.

Tout le monde peut jouer, il faut juste avoir le temps et l'envie.
Nous pouvons jouer partout : chez nous, chez un copain, à l'école, dehors, le jour, la nuit,...

Moi, je pratique plusieurs jeux de société comme la bonne paye, mais aussi des jeux de plein air comme la balle assise et des jeux vidéos.

Je pratique ces jeux pour m'amuser.

William
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser, se distraire, seul-e ou à plusieurs.
Jouer sert aussi à apprendre, à mieux connaître quelqu'un.

Tout le monde peut jouer, en respectant les conseils sur les boites de jeux...

On peut jouer un peu partout selon les jeux : à la maison, au jardin, à l'école, dans un club,...

On peut jouer quand on en a l'autorisation surtout pour certains jeux dangereux.

Moi, je joue au Monopoly, au Tangram, à Tic Tac Boum,... Je joue à ces jeux car quand je m'ennuie, ça m'occupe.

A l'école, je joue à la balle assise, à la queue du diable, au voleur de pommes,... J'aime bien ces jeux car ils sont amusants et faciles.

Pauline
, deuxième année du cycle 3.

Pour moi, jouer c'est s'occuper autrement qu'en regardant la télévision.
Jouer, c'est s'occuper en s'amusant, en rigolant.

Tous ceux qui le veulent peuvent jouer : il suffit d'en avoir envie...

Moi, j'aime bien jouer aux petits chevaux ou au Ludo : je m'y amuse bien.

J'aime bien aussi jouer aux échecs car ça apprend à se concentrer, à réfléchir.

J'aime bien aussi Graine de Génie car ça apprend des tas de choses sur le français, les maths, l'histoire, etc. et j'aime bien aussi jouer à la DS, une console de jeux vidéos.

Corentin
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser, rigoler, se détendre... ne pas s'ennuyer !

Il y a des tas de jeux différents : les jeux de société, les jeux d'extérieur, ceux d'intérieur, les jeux d'autres pays, les jeux traditionnels, les jeux de stratégie, les jeux vidéos,...

Tout le monde peut jouer mais il y a certains jeux qui sont jouables seulement à un certain âge.

Moi, les jours de classe, je joue après mon travail sinon je joue tout le temps.

J'aime bien jouer au fontôme de Mac Gregor, à Risk, mais aussi à la balle assise, au ballon prisonnier et aux jeux vidéos où on se tape dessus... mais pas pour de vrai !

Victor
, deuxième année du cycle 3.

Jouer, ça sert à se divertir, à passer le temps, à se détendre.
Jouer, ça sert aussi à penser à d'autres choses, à être avec d'autres personnes.

L'avantage du jeu c'est que l'on peut jouer seul-e ou à plusieurs et partout.

Tout le monde peut jouer : les petits, les grands,... même les animaux jouent.
C'est donc important de jouer.

Moi, je joue :

  • aux legos car j'aime bien inventer des choses, créer de mes mains

  • à la WII car même quand il pleut tu peux jouer en famille

  • au trio légendaire, un jeu inventé avec mes amies

  • à la bonne paye, c'est très amusant

  • au roi du silence, j'y joue depuis que je suis petite

  • aux légendaires car la BD est superbe et comme nous l'avons transformée en jeu, on se prend pour les personnages...

    Hélène
    , troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser, se détendre, partager du plaisir avec d'autres personnes qui jouent au même jeux (sauf si elles ne comprennent rien !).

Pour moi, tout le monde peut jouer, si on a le bon âge pour certains jeux, que l'on a vraiment envie d'y jouer...

On peut jouer à des jeux de société quand on n'a plus envie de jouer avec d'autres jouer mais, par exemple, au Monopoly, il vaut mieux commencer bien avant le repas car ce jeu peut durer très longtemps...
Un dimanche, nous y avons jouer pratiquement 9 heures !

On peut aussi jouer en vayage mais je trouve que c'est mieux de jouer à la maison.

Je pratique beaucoup de jeux mais voilà ceux que je préfère : la guerre avec mes petits soldats, le Trivial Poursuite (Edition Familiale), le Cluedo, le Monopoly, mais aussi des jeux sur WII et PSP (des jeux vidéos).

J'aime bien les jeux où on joue longtemps et en famille, mais aussi les jeux où on apprend des choses et les jeux mélangeant l'aventure et l'action.

Yanis
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est se distraire... dans le calme.

Jouer, c'est aussi se mesurer, se battre avec quelqu'un d'autre mais dans le jeu, pas dans la vraie vie.

Jouer, tout le monde le peut sauf peut-être les bébés (?).

Moi j'aime bien les jeux techniques, stratégiques.
J'aime aussi les jeux amusants.

J'aime aussi les jeux d'aventure.

Baptiste
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser et surtout se détendre, se distraire, passer du bon temps mais aussi apprendre des choses : calculer, réfléchir,...

Tout le monde peut jouer mais il y a des moments où ce n'est pas possible, ou interdit.

On peut jouer quand on a fini son travail, quand c'est mercredi, samedi ou dimanche sauf pour celles et ceux qui n'ont pas la chance de pouvoir rester chez eux pour jouer.

On peut jouer aussi dehors ou dedans selon le temps ou le jeu.

Moi, je joue quand j'ai fini mon travail car sinon je m'ennuie, je n'ai rien à faire.

J'aime bien jouer à Dofus sur Internet ou à des jeux de société : aux échecs, au Monopoly ou à des jeux de construction de maquettes, mais c'est dur.

Je viens aussi de commencer à pouvoir jouer à Warcraft...

Dylan V
, troisième année du cycle 3.

Les jeux sont faits pour s'amuser, se détendre et surtout rire !

Certains jeux sont déconseillés à certains âges mais à part ça, tout le monde peut jouer à 3 ans, 7 ans ou 100 ans...

Jouer en se forçant, ce n'est pas amusant : il vaut mieux jouert quand on en a vraiment envie.

Selon le jeu, on peu jouer dedans, dehors, sur une table, par terre... partout.

Moi, j'aime bien jouer à SOS ouistiti, Jungle Speed; la bonne paye, au Monopoly, aux échecs, au solitaire et aux jeux vidéos sur DS et XBOX 360.

J'aime bien les jeux de rapidité et aussi ceux de réflexion.

Jérémie
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est un loisir qui se pratique seul-e ou à plusieurs.

Jouer sert à rire, se détendre, s'amuser et même parfois à apprendre...

Tout le monde peut jouer sauf quand le jeu à une limite d'âge ou de nombre de joueurs.

Même à l'école, nous pouvons jouer : en ateliers jeux, aux récréations.
A la maison, je joue quand je m'ennuie, et quand j'ai le temps pour le faire.
Je joue aussi bien dehors que dedans.
Je joue au ballon prisonnier, à la balle assise, à la queue du diable, à la bougie,... Moi j'aime bien les jeux où il faut courir, et j'aime aussi les jeux de suspense et d'action.

Leslie
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser de plein de façons : avec des jeux de société, avec des ballons, des personnages, avec la voix, etc.

Jouer, ça sert à se détendre, se relaxer, s'amuser et même à se calmer surtout quand on est stressé, fatigué (dans ce cas, il vaut mieux faire un jeu de société).

Tout le monde peut jouer, les petits, les grands car il y a plein de façons de jouer et des jeux pour tous les âges.

On peut jouer tout le temps mais en gardant des moments pour se reposer, le sommeil c'est important.

On peut parfois jouer en travaillant mais cela dépend aussi du travail.

Moi j'aime bien le Monopoly car on peut vendre, acheter et même parfois se croire milliardaire !!!

J'aime bien aussi les Puzzles car j'aime bien chercher et ensuite réaliser les dessins.

Joséfine
, deuxième année du cycle 3.

Jouer sert à s'amuser seule ou avec sa famille, ses ami-e-s et même parfois contre ou avec une machine (un ordinateur par exemple).

Jouer sert aussi à faire réfléchir, à penser, imaginer, créer des choses.

Moi je joue dans ma chambre et même dans ma baignoire... Hi ! Hi ! Hi !

Je joue quand j'ai le temps : après mon travail et quand je n'ai rien d'autre à faire.

La plupart du temps je joue seule.

J'aime bien jouer au Monopoly car c'est le seul moment où je joue avec mes parents.

J'aime bien jouer à la DS (il y a des jeux comme la vraie vie mais dans la DS), aux Barbies (car là aussi on peut jouer à la vraie vie, en faisant parler, bouger les poupées, en imaginant).

Parfois, certains jeux deviennnent énervants, alors j'arrête de jouer.

Alicia
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser seul-e ou avec d'autres personnes.
Pour certain-e-s, c'est aussi se détendre.
Jouer, ça sert à pouvoir rigoler, inventer, imaginer, créer...
En fait, tout le monde peut jouer : il y a des jeux pour les petits, pour les grans, pour les adultes.

Il y a même des jeux pour les mal-voyants et les personnes handicapées.

Mais, on ne peut pas jouer comme on veut :

à l'école, il y a des moments où c'est possible et d'autres non. Il y a des moments précis pour jouer.

On peut jouer un peu partout car il y a des jeux pour chaque endroit : pour la plage, la campagne, la maison, l'école,...

Moi, je joue aux Pet Shop, au Monopoly Junior, à Tatouvu mais aussi avec ma console de jeu sur un jeu qui s'appelle Animal Crossing et un autre Animal Paradise.

J'aime jouer aux Pet Shop acr je peux y jouer avec mes amies, elles aiment ça et ce sont des animaux et j'aime bien les animaux.

J'aime bien jouer au Monopoly Junior car je ne comprends pas trop les règles des autres Monopoly et en plus c'est amusant.

J'aime bien jouer à Tatouvu car il y a un sablier et il faut aller très vite carv le sable s'école vite... En plus, entre joueurs, il faut vérifier les réponses.

J'aime bien jouer à Animal Crossing car à part moi tous les personnages sont des animaux et il faut crée sa vie !

J'aime jouer à Animal Paradise car on fait des mini jeux et à chaque jeu gagné, on gagne un point et au bout de quatre points on gagne une image d'animal : on peut la voir en accédant au menu.

Maureen
, deuxième année du cycle.

Jouer, c'est se raconter des histoires, s'amuser, apprendre.
Pour jouer, on peut être seul ou avec d'autres joueurs (plus grands ou plus petits que nous) ou avec son imagination.

Jouer, ça permet de développer notre imagination, nos connaissances.

Jouer, ça sert à se distraire, ne pas s'ennuyer et passer des moments agréables.

Tout le monde peut jouer, les enfants en priorité.
C'est juste que les goûts changent selon l'âge, le sexe...
Une petite fille joue souvent à la poupée tandis qu'un petit garçon joue plutôt aux voitures miniatures.
Les adolescents jouent à d'autres jeux, comme beaucoup de jeux vidéos.
Mais, on peut tous jouer quand on en a envie et presque n'importe où.

Moi, je pratique beaucoup de jeux différents comme les Pet Shops, des jeux de société, des jeux où l'on est soi même le héros et quelques jeux vidéos.
J'aime aussi lire.

Alizée
, troisième année du cycle 3.

Pour moi, jouer c'est le plaisir de s'amuser tout seul, en famille ou avec des amis et ça sert avant tout à passer du bon temps.

Jouer, c'est très bien surtout avec des personnes en qui on a confiance.

Ce qui est bien avec le jeu, c'est que l'on peut jouer n'importe où et n'importe quand dès qu'on a un moment et qu'il n'y a pas d'âge pour le faire...

Moi, ce que je préfère ce sont les jeux sportifs et les jeux où l'on peut rire.

Mickaël
, troisième année du cycle 3.

 

A quoi sert le jeu ?

Le jeu sert à ne pas s'ennuyer et à passer de bons moments.

Le jeu sert donc à se distraire et s'amuser mais le jeu peut aussi servir à chercher, réfléchir, découvrir et apprendre de nouvelles choses...

Tout le monde peut jouer, même les personnes handicapées.

Moi, j'aime jouer car je n'aime pas m'ennuyer.
J'aime bien les jeux sur ordinateur mais j'aime bien aussi les jeux sportifs et les jeux de société.

Romain, troisième année du cycle 3.

 

Jouer, ça sert à ne pas s'ennuyer, à se détendre et à s'amuser.

Jouer, ça sert aussi à rire.

Parfois, il y a des jeux « gentils » mais il y a aussi des jeux « méchants », mais ce ne sont que des jeux, ce n'est pas pour de vrai.

On peut jouer presque partout et presque tout le temps (mais il y a des moments où ce n'est pas autorisé comme au travail, en cours ou dans des lieux où ce serait dangereux et où cela dérange des personnes).

Moi, je joue à des jeux que j'invente et que mes copains aiment bien.
Je joue à Dragon Ball Z car j'aime bien la série et le dessin animé : il a beaucoup de pouvoirs.

J'aime les jeux d'aventure, avec des monstres.
J'aime bien aussi les jeux de guerres sur ordinateur, mais de guerres dans l'Ancien Temps avec des évolutions...

Thomas
, troisième année du cycle 3.

Jouer, cela sert à se distraire, à s'amuser mais aussi à se concentrer.
Jouer, cela sert aussi à se changer les idées.

Certains jeux servent à apprendre la géographie, l'histoire, les maths,...

Jouer, on peut le faire que l'on soit un enfant ou une personne âgée.

Moi, je joue quand j'ai le temps et que je suis avec des copains.

Pour les jeux vidéos, j'y ai droit deux heures par semaine et si je dépasse, je n'ai plus le droit d'y jouer.

Je joue à l'école : en ateliers, pendant les récréations et chez moi.
J'aime bien les jeux avec des héros qui ont des pouvoirs et où il y a de l'action et j'aime bien les jeux vidéos.

Téo, deuxième année du cycle 3.

Jouer, pour moi, c'est se mettre d'accord avec quelqu'un ou tout seul pour passer un temps durant lequel on va respecter les règles que l'on a décidées et donc on ne devra pas tricher.
Dès que l'on commence un jeu, on sait que souvent il y aura un gagnant... il faut donc accepter de perdre...

Jouer, cela sert à plein de choses mais la première c'est certainement se faire plaisir.
On peut aimer le jeu simplement parce qu'on aime se mesurer à un autre.
On peut aimer jouer pour chasser les mauvaises pensées que l'on a en tête.

Tout le monde peut jouer : c'est un droit.
Mais après, il y a des enfants qui jouent moins que d'autres... pourquoi ?
Parce que, les enfants dont je parle n'ont ni frère, ni soeur... ce sont des enfants uniques.
On ne leur interdit pas de jouer, non, ils n'ont pas de partenaire de jeu.
C'est pour cela que l'on a inventé des jeux où il est possible de jouer, seul !

Attention, jouer est bien un droit pour TOUS !
Même les adultes ont le droit de se détendre, de s'amuser en jouant.

On peut jouer tout le temps : quand il pleut, quand il fait beau, quand il est tôt, quand il est tard, dedans quand il ne fait pas beau, dehors quand il fait beau, à la maison, à la ludothèque, dans un jardin, un parc, un terrain vague,...

Dans les jeux que j'aime faire, il y a : les dames pour le plaisir d'affronter ma soeur (même si elle me bat tout le temps), le vocabulon pour le plaisir d'apprendre de nouveaux mots, le mastermind pour le plaisir d'avoir le cerveau qui est en ébullition à cause de la concentration et enfin tous les jeux d'extérieur quand il faut courir ou pas.

Julie
, troisième année du cycle 3.

Jouer, c'est s'amuser et se détendre, mais c'est aussi apprendre, découvrir comme avec le mille bornes où on apprend à calculer.

Tout le monde peut jouer mais cela dépend des jeux : des règles ou si ils nous plaisent ou pas.
Par exemple, moi je ne joue pas au tarot, je n'aime pas ça mais mon frère oui alors qu'il ne joue pas à la bataille car il n'aime pas et moi oui.

Moi, je joue quand j'ai fini mon travail sur Akinator (un jeu sur ordinateur) ou alors je fais des jeux de société avec mes parents.

J'aime jouer à la chaise électrique, au mille bornes, à la bataille mais aussi à des jeux sur ordinateur ou sur console.

J'aime jouer pour me détendre et j'aime bien les jeux amusants.

Oriane, troisième année du cycle 3.

Jouer, pour moi, cela sert à se connaître, à communiquer avec d'autres dans les jeux de société ou dans les jeux en réseau sur Internet.
Moi, je joue quand j'ai du temps de libre surtout à World of Warcraft parce que j'aime bien les jeux en ligne : c'est moderne, c'est passionnant, c'est beau.

Dylan B.
troisième année du cycle 3.

Pour moi, le jeu c'est s'amuser, se faire plaisir mais c'est aussi se détendre, se calmer et c'est encore apprendre...

Tout le monde peut jouer : du bébé, aux enfants, aux parents, aux grands parents...

Jouer, on peut le faire partout et n'importe quand : il suffit d'avoir envie et d'avoir le temps.

Moi j'aime jouer aux jeux de société : au ni oui ni non, au tourne mains,... parce que ils sont amusant et ça me détend.

Channeze
, deuxième année du cycle 3.

Le jeu, c'est une activité.
C'est une activité dans laquelle on peut se dépenser, se détendre et surtout se faire plaisir.
Avec le jeu, on ne peut pas s'ennuyer.

On peut jouer seul, entre amis, en familles et même en équipes ou en groupes.

On peut jouer à n'importe quel âge mais je pense que les enfants jouent plus souvent que les adultes car les adultes ont d'autres choses à faire...

Souvent, on joue quand il ne fait pas beau et que l'on ne peut pas sortir mais il existe aussi des jeux de plein air.
On peut jouer à n'importe quelle heure de la journée et selon les jeux n'importe où : par terre, sur une table, dans la campagne, sur un terrain, etc.

Moi, j'aime bien les jeux sportifs car j'aime bien me dépenser mais j'aime bien aussi les jeux de société amusants ou de stratégie.

Manon, troisième année du cycle 3.

Le jeu pour moi c'est avant tout passer de bons moments avec d'autres en riant, en s'amusant, en se détendant et parfois même en apprenant de nouvelles choses...

Le jeu, tout le monde peut le pratiquer : c'est juste une question de temps et d'envie.
Le jeu, ce n'est pas une question d'âge car tout le monde peut faire des jeux.

Moi, je joue dans ma cuisine car je fais un jeu de création de savon : c'est amusant et cela donne de très jolis savons !

J'aime bien les jeux de société mais je n'aime pas du tout les jeux vidéos : je trouve cela bête car on s'y enferme, on n'en sort plus.
J'ai une DS (une console de jeu) mais je ne l'ai jamais utilisée.

Olivia, deuxième année du cycle 3.

Pourquoi détruire des êtres vivants ?

Certains humains tuent d'autres êtres vivants (mais ils ne les détruisent pas) car c'est leur métier : ils produisent de la nourriture pour d'autres humains (viande, fromage...).
Certains autres détruisent les animaux en les chassant pour leur fourrure (tigres par exemple), leurs défenses (éléphants),... juste pour décorer : bijoux, trophées.

Tester des médicaments sur les animaux permet de faire avancer la science et c'est important à condition que l'animal soit respecté, et que cela soit fait en toute sécurité.

C'est dommage que pour se nourrir de viande, on doive tuer des animaux mais c'est comme ça, à moins de devenir végétarien...

Je préfèrerais que l'on teste des produits, des médicaments sur des humains décédés qui auraient donne leurs corps à la science.

Oriane, troisième année du cycle 3.

 Les hommes détruisent de nombreux êtres vivants :

  • Des arbres pour faire du papier ou pour gagner des territoires comme dans la forêt vierge amazonienne où toutes les deux secondes disparaît la taille d'un terrain de football !

  • Des animaux pour manger mais aussi pour « décorer », faire des médicaments, des produits de beauté ou des bijoux !

Les baleines, elles sont encore chassées, tuées même si c'est interdit pour faire de la graisses, des produits de beauté,...

Les hommes font des expériences sur les animaux pour tester différents produits : dentifrices, savons, etc. mais aussi pour des armes et surtout pour des médicaments.

C'est souvent, à mon avis, du « n'importe quoi »... les hommes tuent pour se distraire, ne réfléchissent pas... pour les produits de beauté, il n'y aurait qu'à les tester sur des hommes et des femmes qui s'en servent ! 

Hélène, troisième année du cycle 3.

Parfois les humains en détruisent d'autres en se faisant la guerre mais ils détruisent aussi les animaux : chasseurs, scientifiques de temps en temps...

Souvent, c'est pour se nourrir, mais parfois c'est pour de la décoration ou pour faire des expériences.

Faire des expériences sur les animaux, c'est souvent pour notre bien... on teste sur eux des produits qui vont, par exemple, nous soigner.
Maintenant, les scientifiques prennent des précautions pour ne pas faire souffrir inutilement ces animaux.
Des humains aussi sont parfois volontaires pour faire ces tests... 

Malheureusement, je pense qu'il y aura toujours des humains capables de faire du mal aussi bien aux hommes qu'aux autres animaux : c'est comme ça, c'est dans leur nature.

Leslie, troisième année du cycle 3.

Les humains détruisent des animaux pour se faire des vêtements, pour se nourrir donc on peut dire que c'est par nécessité, pour vivre ou survivre.

Mais parfois, ils les détruisent par simple plaisir : de pêcher ou chasser mais pas pour se nourrir pour le plaisir de tuer, pour avoir une décoration chez eux (des cornes, des défenses, des peaux,...) ou pour fabriquer des choses qui ne sont pas forcément nécessaires comme du rouge à lèvres,...

D'autres êtres vivants comme les plantes sont détruits par la pollution des humains ou par ce qu'en font les hommes comme le papier qui est fait à base de bois...

Et puis, à cause des religions, des territoires à conquérir, etc. les hommes se détruisent entre-eux en se faisant la guerre comme lors des deux guerres mondiales.

Les humains font des expériences sur les animaux pour tester des médicaments, des produits chimiques, et ça donne des indications pour savoir si ils pourront être utilisés par des hommes.

Cela permet de ne pas avoir à faire ça sur des humains, même volontaires.

Aujourd'hui, il est interdit de faire souffrir longtemps, inutilement des animaux même de laboratoire.

Je pense que tuer des animaux pour leur peau, par exemple, ce n'est pas bien du tout.
Je pense aussi que les humains font trop souffrir les autres espèces sur Terre surtout en testant des produits sur eux. 

William, troisième année du cycle 3.

Les êtres humains tuent parfois les animaux pour se nourrir mais le problème, c'est qu'ils n'utilisent pas toujours tout dans ces animaux.

Parfois, les êtres humains tuent des animaux pour... le plaisir, pour gagner beaucoup d'argent.
Par exemple, ils tuent des éléphants à qui ils coupent les défenses et ils les vendent pour de grosses sommes (même chose avec les peaux de tigres,...).

Les êtres humains se font aussi parfois la guerre entre-eux... donc ils détruisent d'autres animaux : eux, des hommes ou alors ils détruisent le territoire d'autres animaux.

Je pense que c'est idiot de tuer des animaux pour le plaisir ou pour de l'argent surtout que l'on sait que certaines espèces ont déjà disparu et que d'autres sont en voie de disparition.

Les humains font des expériences sur d'autres animaux pour comprendre comment ils fonctionnent, comment ils vivent, etc. mais ils en font aussi pour tester des inventions : quand un nouveau produit de beauté, un nouveau médicament ont été inventés, on les essaie d'abord sur des animaux pour voir s'ils sont dangereux ou pas.

Certains humains acceptent d'essayer ces nouveaux produits...

Pauline, deuxième année du cycle 3.

Les hommes détruisent les êtres vivants pour plusieurs raisons :

  • ils tuent les animaux pour se nourrir (certains poissons, certains mammifères,...) et parfois tuer beaucoup (trop) d'animaux peut causer des dégâts.
    Le dodo qui était un oiseau qui ne volait pas et qui était très bon à manger et facile à chasser a maintenant complètement disparu !

  • Les hommes s'entretuent pour des questions de pouvoir ou de territoire en se faisant alors la guerre. Il y a aussi le racisme qui tue.

  • Les gens tuent aussi des animaux pour avoir des trophées : la tête d'un tigre accrochée à un mur !

Si les humains font des expériences sur les animaux c'est pour essayer diverses choses qui serviront plus tard aux hommes comme les produits de beauté ou les médicaments...

Avant, et parfois même aujourd'hui, les humains ne pensaient pas que les animaux pouvaient avoir mal, pouvaient souffrir... Ils faisaient de nombreuses expériences sans même réfléchir mais maintenant les droits des animaux existent...

Julie, première année du cycle 3.

1) Pourquoi l'homme détruit-il les êtres vivants?

L'homme détruit les êtres vivants pour :

- L'appât du gain. Ex : les éléphants (ivoire), rhinocéros(corne), requins(mâchoires)...

- Le plaisir de tuer . Ex :la chasse, la pêche .

- Des trophées

- Se nourrir.

2) Pourquoi l'homme fait-il des expériences sur les animaux ?

-Trouver des nouveaux médicaments, vaccins.

-Tester la mutation(souris,lapin albinos), le clonage(mouton) .

-Tester certaines de leurs réactions (leur sens).

3) Ce que j'en pense:

-A propos du premier texte, je trouve scandaleux de tuer des êtres vivants rien que pour de la décoration .

-Pour le deuxième texte, je suppose que c'est pour le bien de l'homme, mais il faudrait éviter de faire souffrir les animaux .

Mickaël, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux,

Animaux de compagnie ?

Je n'ai pas d'animal de compagnie et j'ai choisi de ne pas en avoir pour le bien-être de ma mère qui est allergique aux poils.
Bientôt je vais tout de même avoir des poissons.
J'aimerais bien aussi avoir des poules et des tortues.
Naturellement, le maître d'un animal de compagnie doit s'en occuper car il a des droits.
Channèze, deuxième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

Moi, j'ai un chat, un chien et deux tortues.
Le chien, ce sont mes parents qui l'ont choisi, les tortues c'est mon frère qui en voulait et le chat c'est moi, pour mon anniversaire.
Ces animaux m'apportent de la joie et de la bonne humeur, je joue avec mon chat et mon chien à la balle, à la ficelle, à cache-cache,...
Il faut donner aux animaux de compagnie de l'amour, de l'affection et aussi de la liberté : ils y ont droit !
Oriane, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

Moi, j'ai des animaux : un chien chez ma mère et un chat chez mon père. Avant, j'avais aussi un lapin chez mon père.

Mon chien, en fait, je ne l'ai pas choisi : c'est mon beau-père qui l'a acheté dans un élevage (c'est un Beauceron) il y a quelques mois.

Mon chat, ce sont ma belle-soeur et ma belle-mère qui l'ont choisi mais c'était avant que je les connaisse, même chose pour mon lapin.

 Mon chien, il m'apporte de l'amour et d'autres sentiments.

Je joue avec lui.
Mon chat, je lui parle souvent car il me comprend... un exemple :

Je lui dis qu'il doit dormir avec moi et deux minutes après, il se lève et va se coucher sur mon lit !

Mon lapin, j'aimais bien lui donner des bananes sèches mais je ne le voyais pas trop souvent car il était en liberté dans mon jardin.

 Mon chien n'a pas le droit de mordre, mais il a le droit de jouer, comme mon chat.
Moi, je dois les nourrir et les respecter, comme tous les animaux d'ailleurs.

Manon, troisième année du cycle 3.

  

J'ai aussi des animaux de compagnie : j'ai une chatte qui s'appelle Lina, qui a un an et demi-deux ans.

J'ai un hamster qui s'appelle Guipsou et une gerbille qui s'appelle Eben.

Ce sont ma maman, ma soeur et moi qui avons choisi la chatte.

Le hamster, je l'ai choisi : je l'ai demandé pour mon anniversaire.
La gerbille aussi je l'ai choisie : nous étions devant une vitrine, dedans il y avait des gerbilles et j'ai demandé si je pouvais en avoir une et on m'a dit oui.
Ces animaux m'apportent de l'affection.
Je joue avec eux, je dors avec ma chatte, je leur fait faire de l'exercice,...

 Les animaux ont des droits comme manger, boire, jouer, dormir, être soignés.
Les maîtres doivent donc les nourrir, jouer avec eux, nettoyer les cages, les litières (s'ils en ont), les soigner,...

 Maureen, deuxième année du cycle 3.

 

J'ai des animaux depuis novembre 2008. Ma mère avait envie d'un animal car quand elle était petite, elle avait un chien. Mais, mon père a dit : Si tu veux un animal, ce n'est pas moi qui m'en occupe ! ».

Comme on avait un chat qui trainait dans notre jardin, maman lui a attaché un bout de tissu sur lequel il y avait son numéro de téléphone : une heure après, elle avait un coup de téléphone de sa propriétaire.

Maman a donc acheté Dalaï puis Enjie.

Ils m'apportent toutes sortes de sentiments, comme l'a, l'amour et même la peur quand j'ai cru que l'on avait perdu Dalaï.

Mes animaux ont le droit de manger, , boire, jouer, miauler, et même nous embêter.

Nos devoirs de maîtres sont de nous en occuper correctement.

Hélène, troisième année du cycle 3.

  

Mes animaux de compagnie sont deux chats : Minette et Grifette.

Minette, je l'ai eue très jeune quand j'avais une semaine et ce sont mes frères qui l'ont choisie.

Grifette, je l'ai eue dimanche, c'était une surprise pour mon anniversaire.

Je ne connais pas l'âge de mes chats.

Quand je suis triste, ils me consolent.

Ils m'apportent de l'amour, de la tendresse.

Je les câline.

Je joue souvent avec eux, et même parfois à la course mais ils gagnent tout le temps.

 Comme tous les animaux, ils ont des droits :

         le droit d'être nourris

         le droit d'avoir une litière propre

         le droit d'être aimés

         le droit d'avoir de la tendresse

 Comme tous les maîtres, j'ai des devoirs :

         le devoir de m'en occuper

         le devoir de les sortir

         le devoir de les garder propre

         le devoir d'avoir un coin à eux (un panier par exemple).

 Victor, deuxième année du cycle 3.

 

Je n'ai pas d'animaux car ça demande du temps et de l'argent.
Je n'aurai pour rien au monde un animal de compagnie car je n'ai pas du tout envie d'avoir à le balader le soir, le week-end, même chose pour le nourrir.

Moi, quand j'ai du chagrin, je préfère être seul.

Pour jouer, j'ai mes frères.

Mes parents n'en veulent pas non plus.
Chez nous, il n'y a que mes frères qui en veulent.

 Thomas, troisième année du cycle 3.

 

Je n'ai pas d'animal de compagnie mais si j'en avais un, ce serait un chien (mais j'y suis allergique, pas au chien, aux poils).

En plus, ma mère va reprendre son travail de nounou quand mon frère aura trois ans et dans ce travail, les chiens sont interdits.

Pourquoi un chien ?
Car c'est un animal fidèle et très joueur.

Les animaux de compagnie ont des droits que les maitres ont le devoir de respecter...

William, troisième année du cycle 3.

 

 

 

J'ai des animaux de compagnie : des poissons et un chat.
C'est ma soeur qui a choisi d'avoir un chat.
Nous l'avons eu en 2000 car une copine de ma soeur avait une chatte qui a donné naissance à des chatons et elle en a donné un à ma soeur.

Au début, pour quelques raisons que je garde secrète, je n'aimais pas l'idée d'avoir un chat mais maintenant j'en suis assez content.

En plus, il est « marrant » et il peut faire passer le temps quand on joue avec lui...
Il faut tout de même penser à le nourrir, lui donner à boire,... moi je lui mets trop de nourriture et je me fais crier dessus.

Il faut penser aussi à le laisser sortir pour qu'il se dégourdisse;

De temps en temps, il m'énerve car il prend toute la place pour dormir dans mon lit.

Yanis, troisième année du cycle 3.

  

J'ai deux chats : un mâle et une femelle.
La femelle s'appelle Pussy Cat et le mâle, Tarzan.

Tarzan a huit ans et Pussy Cat, onze ans.

Je les adore.

Mes parents voulaient un chat car un chien serait trop encombrant.
Ils ont donc adopté Pussy Cat à deux ans (moi j'avais un an), une chatte européenne.

Mon père voulait un Chartreux car il avait des amis qui en avait un et il l'avait trouvé très beau. Nous avons alors adopté Tarzan.

Ils me tiennent compagnie pour jouer, me sentir moins seule.

Les animaux de compagnie ont surtout le droit d'être adoptés par une gentille famille qui s'occupera d'eux.
Je serai triste, un jour, de perdre mes chats.
Alizée, troisième année du cycle 3.

Nous avons eu des poissons mais... ma nounou ne voulait pas les nourrir et ils sont morts. Alors maman nous a acheté (à mon frère et moi) une souris : je lui ai mis de l'eau à ras bord mais... sa cage était au soleil, l'eau s'est évaporée et elle est morte de soif.

Mes parents n'ont plus voulu nous acheter d'animaux !

Moi, j'aimerais bien avoir :

- un chinchilla, c'est beau, doux et mignon

- un cafard, les gens ne les aiment pas mais moi je les adore

- une étoile de mer, rouge, j'aime bien le rouge.

Avoir un animal de compagnie, cela signifie pour le maître de le nourrir, le soigner, jouer avec lui, bref... le respecter.

Marie Ge, deuxième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

Je n'ai pas d'animal de compagnie car il serait tout seul chez moi car mes parents, ma sœur et moi, nous ne sommes pas souvent à la maison.
Mes parents n'en veulent donc pas.

Si je devais en avoir un, ce serait un chien, n'importe lequel.

Mais j'accepterais aussi n'importe quel autre animal car il me tiendrait compagnie, je pourrais jouer avec lui quand je ne serais pas à l'école.

Je sais aussi qu'il faudrait que je m'en occupe bien car comme l'homme, il a des droits : d'être aime par son maître, soigné, élever, d'avoir un coin à lui pour dormir, etc.

Les animaux sont des êtres vivants, il faut donc s'en occuper.
Moi, j'aime tous les animaux du monde.

Joséfine, deuxième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Moi, l'été, j'ai une tortue qui s'appelle Titeuf.
Je ne l'ai pas choisie parce que quand je suis née, elle était déjà là.

Je prends soin d'elle et elle est fidèle.

Avant, j'avais des poissons et mon père avait un singe.

Je sais aussi qu'il faut respecter nos animaux de compagnie et en prendre soin.

Olivia, deuxième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Je n'ai pas d'animal de compagnie car je suis allergique aux poils de chat et de chien et que mes parents ne veulent pas en avoir car nous voyageons beaucoup et ils ne pourraient pas s'en occuper.

Si je devais en avoir, un je choisirais :

- un chien parce que c'est joueur, mignon, compréhensif (un labrador ou un yorkshire)

- un orque parce que c'est beau, c'est joueur et pour faire des sorties en mer, c'est extra

- un ouistiti parce que c'est mignon, joueur et qua ça anime la journée !

Les animaux de compagnie, ont comme les êtres humains, des droits.
Quand on est le maître d'un animal, on doit le faire manger et boire convenablement.
On doit veiller à son bonheur et à sa santé. On doit le sortir. On ne peut pas les obliger à faire ce qu'ils ne veulent pas faire ou ne peuvent pas faire...

En un mot, on doit être RESPONSABLE !

Pauline, deuxième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Je n'ai pas d'animal de compagnie car mes parents n'en veulent pas car ils disent que ça prend de la place, que la nuit certains font du bruit et qu'il faut s'en occuper.

Moi, j'aimerais bien avoir un yorkshire : c'est petit et mignon, ça ne prend pas de place.
J'en aurai un quand je serai plus grande !

Les animaux de compagnie doivent être bien nourris, soignés, ils doivent être sortis et mis à l'abri quand il fait froid... moi ça me fait de la peine de voir un animal qui a froid et qui tremble.

Il faut respecter les animaux de compagnie !

Alicia, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Je n'ai pas vraiment d'animal de compagnie même si dans mon entrée j'ai un poisson (avant j'en avais 12 mais ils sont morts).
Mes parents n'en veulent pas car ils disent que ça coûte cher mais moi, j'aimerais bien avoir un chien, le même que celui de mes grands-parents, je crois que c'est un Border Collie : il est mignon, il adore jouer...

Dylan V, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

J'ai un chien, sept chats, deux poissons et un hamster (avant j'avais aussi une chienne).

J'ai choisi mes animaux sauf le hamster, c'est un ami que me l'a donné et les poissons je les ai achetés à Botanic.

Je joue avec mes animaux, je m'occupe d'eux, je prends des responsabilités et ils me tiennent compagnie.

Les animaux de compagnie ont des droits que les maîtres (ma sœur, mon père, moi) doivent respecter.

Dylan B, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'avais un petit chat très mignon : ma mère l'avait demandé à une amie en 2001 et il est mort en 2005.

Avec lui, je jouais, je ne m'ennuyais pas, il me consolait... il m'apportait du bonheur.

Je m'occupais de lui : je lui faisais des câlins, je le nourrissais, je jouais avec lui...

Romain, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'ai un lapin, Eliott, qui a entre 3 et 4 ans, que j'ai choisi le lendemain du décès de mon premier lapin qui s'appelait Willi.

J'ai aussi une chienne qui a 08 mois, elle est née le mercredi 01 juillet 2009 et elle s'appelle Indira.

Si je l'ai eue, c'est parce que ma mère et moi nous en voulions une.
Mon lapin me sert à me consoler quand je suis triste et nous nous faisons des câlins.

Ma chienne me sert aussi à me consoler mais aussi à rire, jouer,...

Ils m'apportent énormément de joie.

Mickaël, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Je n'ai plus d'animal de compagnie mais avant j'avais sept lapins mais ils sont morts cet été.
Ma mère est allergique aux poils et mon père n'en veut plus mais si je devais en avoir un, je choisirais un chien et il aurait le pelage de couleur crème, je l'appellerais Croc si c'est un mâle et Juliette si c'est une femelle et ce serait un Golden Retriever.

Ce serait un chien car avec un chien, on peut vraiment jouer, le caresser, s'occuper de lui...

Moi, j'adore les Golden Retriever : je les trouve très beaux et quand je serai grande, je ferais des économies pour m'en acheter un...

Marie Ga, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'ai un hamster, j'aime le tenir dans mes mains.

Je l'ai choisi il y a environ six mois et je l'ai acheté à Botanic.

Je peux le câliner, lui parler, le nourrir, l'observer et il me donne de la joie, de l'affection.
Je m'en occupe et ça, c'est très important.

Si je pouvais avoir d'autres animaux, je choisirais un lapin, un chien, un chat et des poissons rouges...

Un maître doit respecter ses animaux et pas seulement s'en occuper en donnant à boire, à manger mais aussi en jouant avec.

Jérémie, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'ai une vache, des chèvres, des lapins, des canards, des poules, des chats et un chien (j'ai fait un exposé sur lui).

Le chien, nous l'avons choisi avec ma sœur et tous les autres animaux, ils étaient déjà là avant notre naissance.

Nous nous occupons de tous nos animaux, c'est notre devoir : nous devons les soigner et tout faire pour qu'ils soient heureux.

Corentin, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Je n'ai pas d'animal de compagnie car mon père n'en veut pas et que chez moi ce n'est pas assez grand.

Si je devais en avoir un, ce serait un chat parce que c'est doux, ça donne de la tendresse et aussi parce que j'aime bien quand ça monte dans ton lit, que ça ronronne et que ça se laisse caresser...
Et puis, ça donne des responsabilités car il faut respecter et aimer ces animaux de compagnie.

Baptiste, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'ai un chat, deux tortues et un triops.

Lorsque j'étais plus petite, nous avons pris un chat pour que lorsque ma sœur rentre du collège, elle ne soit pas seule. Elle l'a demandé pour avoir de la compagnie...

Nous étions tous d'accord pour en avoir un car avant, nous étions dans une autre maison, et un chat venait souvent nous rendre visite puis, un jour,... plus rien !

Alors, nous en avons pris un à nous et il appartient à nous tous !

Le triops, je l'ai demandé pour Noël car j'avais vu cette boîte et je voulais faire l'expérience de cet élevage...
Les tortues, ce sont des amis et des anciens voisins qui nous les ont données.

Avec mes tortues, en été, parfois je sors dans mon jardin, je les pose hors de leur enclos et... mon chat arrive : alors je m'installe, je pose les tortues devant moi et ce qui est amusant, c'est que pendant qu'elles avancent mon chat surveille qu'elles n'aillent pas à certains endroits comme sous les voitures de mes parents. Il fait comme le ferait un chien avec des moutons !

Avec mon chat, je m'amuse avec une balle et d'autres choses de ce genre.

Avec mon triops, je peux faire des expériences comme allumer une lampe de poche dans le noir et voir où il va aller...

Les animaux de compagnie ont des droits comme celui de se promener où qu'ils soient : en aquarium, en ville, à la campagne...

Ils ont le droit d'être heureux, de se retrouver dans une vraie famille d'adoption et pas d'être tués ou enfermés toute leur vie à la SPA !

Leurs maîtres doivent les respecter et les aimer.

Julie, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'ai un chien, trois chats, quatre poules, neuf tortues, une chèvre et un bassin à poissons.

Mon chien est né un an avant que je naisse (1998)

Mes trois chats viennent de la chatte de ma mère qui a eu plusieurs petits : au début, nous en avions gardé quatre puis mes grands-parents qui habitent juste au-dessus de chez nous en ont pris un.
La chatte de ma mère est morte car elle s'est fait mordre par le chien de mes cousins et elle n'a pas survécu à sa souffrance.

Ma chèvre, on l'a eue à l'anniversaire de mon père : il fallait que ça tombe sur nous ! Elle est bête comme tout et nous ne l'avons pas choisie d'ailleurs ce serait le dernier animal que je choisirai !

Mes quatre poules, c'était une surprise de mon père qui les avait vues et qui, c'est exceptionnel, les as prises ! Au début, j'en avais deux jaunes et deux noires mais mon chien a poussé une plaque qui était en hauteur et un poussin jaune était en-dessous alors... Maintenant, j'an ai trois noires et une jaune (mon père en a racheté une).

Mes tortues, c'est un collègue de bureau de mon père qui nous les donne.

Les poissons, j'en ai beaucoup au point d'en avoir « marre ».

Mes animaux m'apportent de la joie, de la tendresse, mais aussi parfois de la tristesse.

Je les aime (presque tous), je joue avec (sauf mes poissons, je passe plus de temps à les taquiner qu'à jouer avec eux).

Et ils me donnent aussi des responsabilités : les nourrir, les soigner, les élever,...
En fait, ils ont un peu les mêmes droits que les humains.

Leslie, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

J'ai quatre chats, un chien, dix poissons et un hérisson.

Les poissons, c'est ma mamie qui a décidé.
Le hérisson, il est venu tout seul.

Les chats, c'est ma famille qui a décidé.

Le chien, nous l'avons acheté en 2002, c'est un Labrador (avant nous avions deux Bergers Allemands).

Avec eux, nous nous sentons moins seuls, nous jouons...

Quand je suis triste et que je pleure dans mon lit, mes chats viennent et ça me soulage.

Mon chien, quand je m'ennuie, que je suis tout seul, il vient jouer avec moi.

Nous partageons nos émotions.

Mes poissons ne servent à rien et mon hérisson, je peux jouer avec lui de temps en temps.

J'aimerais bien avoir un dauphin comme animal de compagnie car c'est l'animal que je préfère...

Téo, troisième année du cycle 3, Mouans-Sartoux.

 

Animaux de compagnie : le savez-vous ?
Les français possèdent 61 millions d'animaux de compagnie.
Les poissons arrivent en tête (36 millions), suivis par les oiseaux et les petits rongeurs.
Viennent ensuite les chats (11 millions) et les chiens (10 millions).
27 familles sur 100 hébergent au moins un chat.
24 familles sur 100 hébergent au moins un chien.
17 propriétaires de chiens sur 100 en possèdent au moins deux.
37 propriétaires de chats sur 100 en possèdent au moins deux.
En 2008, la vente d'aliments pour chiens et chats, à la sortie des usines, à atteint 1,7 milliars d'euros.
Bien plus du coup si on compte le prix de vente à la sortie des magasins...
Un chat ou un chien coûtent en moyenne à leurs propriétaires entre 800 et 1 000 euros par an.
Ce sont les résultats de deux enquêtes menées en 2008.
Jean-Charles
, le maître du cycle 3 d'Aimé Legall.

jeudi, 17 septembre 2009

Les droits de l'enfant ?

Nous avons commencé à parler des droits de l'enfant en classe pour préparer nos discussions sur le blog Ecritic avec les autres classes.
Nous avons échangé sur ce que nous en savions, nous en pensions...

Que sais-tu sur les droits de l’enfant
et qu’en penses-tu ?

 

Ce que je sais sur les droits de l’enfant, c’est qu’il y a certains pays où les enfants sont maltraités, travaillent et, en plus, ne gagnent pas beaucoup d’argent.

Je trouve ça mal.

Mickaël, troisième année du cycle 3.

 

Le droit de l’enfant, c’est de vivre, car s’il n’a pas le droit de faire quelque chose, il ne pourrait pas vivre…

Si on ne peut pas rester debout, s’asseoir, se coucher, s’il ne peut rien faire, il ne peut pas vivre…

Je pense que, heureusement, les droits de l’enfant existe car sinon nous ne serions pas là, nous n’aurions rien appris, nous ne saurions rien de ce que nous savons…

Dylan V, troisième année du cycle 3.

 

Si tous les enfants étaient bien traités, s’ils pouvaient ne pas faire ce qu’ils ne veulent pas faire, s’ils avaient une éducation, nous ne serions pas là en train de parler des droits de l’enfant…

Nous dirions peut-être que c’est une chose acquise ou qui n’a jamais eu besoin d’exister, bref nous les oublierions…

Mais ce n’est pas le cas.

 

En ce moment même des enfants travaillent sans interruption, tous les jours, même lorsqu’ils sont malades.

D’autres vont à la guerre à dix ans ou même moins…

Certains encore sont vendus…

Et tout ça, qu’ils soient orphelins ou pas.

Les adultes se servent d’eux et là je n’ai parlé que de trois problèmes parmi de nombreux autres !

 

En revanche, chez moi, à la maison comme à l’école, mes droits et les droits des enfants sont respectés.

Julie, troisième année du cycle 3.

 

Les droits des enfants, cela signifie que les enfants peuvent faire des choses comme les adultes car ils ont aussi le droit de s’exprimer, d’être respectés, de donner leur avis,…

Dans le monde, certains enfants ne vont pas à l’école car ils travaillent ou vont chercher de la nourriture, de l’eau potable.
Il y en a même qui partent à la guerre.

Il faudrait mettre en prison les personnes qui font travailler les enfants, même en France.

Alicia, troisième année du cycle 3.

 

Nous avons, avec les droits de l’enfant, la possibilité de faire un peu ce que nous voulons.

Nous avons le droit de nous exprimer et de ne pas rester toujours à l’écart des adultes.

Dylan B, troisième année du cycle 3.

 

Je sais que les enfants ont tous les droits.

Ils ont le droit de manger, de boire, de dormir, d’aller à l’école, de jouer…

Nous, nous jouons mais d’autres enfants travaillent et ne jouent pas…

 

Je pense que c’est injuste : nous, nous allons à l’école, au cinéma, nous avons des loisirs et eux non.

Nous sommes heureux et eux, ils sont malheureux.

 

Il faut que ça change !

Jérémie, troisième année du cycle 3.

 

Les droits de l’enfant : cela signifie que l’enfant existe, qu’il faut en prendre soin.

L’enfant a le droit de s’amuser, de donner son avis,…
On doit aider l’enfant, se donner la peine de lui expliquer…

Mais il doit aussi respecter les adultes.

A l’école, je pense que ces droits sont respectés.

Mais dans certains pays, les enfants ne sont pas respectés.

Olivia, deuxième année du cycle 3.

 

Je sais qu’il y a des pays dans lesquels les enfants travaillent : ils portent, par exemple, des briques très lourdes, ils cousent des ballons Nike, ils vont même à la guerre…

En France, les enfants ne travaillent pas ! Ils sont respectés !

Je pense que ce n’est pas juste que des enfants travaillent, ils ne devraient pas !

Ils devraient être mieux traités, il faudrait que l’on s’occupe d’eux.

Les droits des enfants devraient être accordés à tous les enfants du monde.

Marie Ge,  deuxième année du cycle 3.

 

Les droits de l’enfant, c’est comme une Révolution pour les enfants.

Depuis une cinquantaine d’années, les enfants de France, mais aussi d’autres pays, ne travaillent plus dans les champs, les mines et les usines.

Par contre, ils vont à l’école.

Il y a des endroits où cela se passe mal, par exemple, dans une ville d’Inde, les gens sont très pauvres alors ils envoient leurs enfants travailler pour gagner de l’argent…

Pauline, deuxième année du cycle 3.

 

Les droits de l’enfant ont été inventés il y a cinquante ans.

Ce sont des règles qui doivent être respectés car sinon il est possible d’aller en prison.

Dans certains pays, comme en Inde, ils ne sont pas respectés.

Avant, même en France, on faisait travailler les enfants : on les prenait comme esclaves, on les glissait dans des cheminées étroites avec une corde pour les nettoyer (cela s’appelait des ramoneurs).

En Chine, les familles ont droit à un seul enfant.

 

Je trouve que c’est bien d’avoir inventé les droits des enfants parce que je n’aurais pas eu envie de nettoyer les cheminées.

C’est dommage qu’ils ne soient pas respectés partout dans tous les pays.

Ce sont de très bonnes règles inventés par des adultes.

Joséfine, deuxième année du cycle 3.

 

Je pense que dans les écoles les droits de l’enfant sont assez respectés, même si ce n’est pas toujours facile.

Dans certains pays, ils ne le sont pas et dès cinq ans, les enfants doivent travailler, même s’ils sont malades : les chefs de chantier viennent les chercher !

Chez moi, ils sont plutôt respectés :

Pour les décorations du salon, mes parents ne m’ont pas demandé mais ils l’ont fait pour la couleur de mon bureau, par exemple.

C’est vrai qu’ils ne m’ont pas demandé pour la chaise qui va avec…

Je pense qu’ils les respectent mais pas toujours tous.

Cela ne m’empêche pas de vivre même si je n’aime pas cette chaise.

Alors il faut en parler sinon on n’aura jamais ce que l’on souhaite…

Thomas, troisième année du cycle 3.

 

Tous les enfants ont droit au respect.

Pourtant dans des pays, les parents forcent les enfants à travailler, ils ne s’en occupent pas.

Ils commencent à travailler à l’âge de cinq ans, et ils travaillent même s’ils sont malades.

Ils se font même fouetter ou reçoivent des coups de bâton s’ils refusent de travailler.

Moi, je pense qu’ils ne devraient pas travailler…

Téo, deuxième année du cycle 3.

 

Les droits de l’enfant, c’est le respect des enfants.

Il y a le droit à l’éducation, le droit à la culture, le droit de donner son avis (même à des grandes personnes), le droit à l’égalité, et l’interdiction des travaux forcés.

S’il n’y avait pas tous ces droits, nous serions la poussière dans un coin que l’on balaie… alors notre vie serait noire et sombre.

 

Je pense que les droits des enfants sont bien et justes et qu’il faudrait épargner cette inégalité aux enfants qui travaillent.

Hélène, troisième année du cycle 3.

 

Les droits de l’enfant, c’est tout ce que les enfants ont le droit de faire comme : aller à l’école, apprendre,…

C’est aussi le respect que les adultes doivent avoir pour les enfants.

Il y a longtemps, en France aussi, les enfants travaillaient douze heures par jour à la place des adultes.

Ceci se fait encore dans certains pays d’Afrique.

Pourtant, c’est maintenant interdit de faire travailler les enfants.

Alizée, troisième année du cycle 3.

 

Avant en France il n’y avait pas de droits de l’enfant car les enfants allaient travailler tôt et certains n’allaient même pas à l’école.

Aujourd’hui, les enfants sont plus respectés et vont à l’école ?

Mais dans certains pays les droits de l’enfant ne sont pas respectés, on fait travailler les enfants très tard le soir et ils sont très jeunes.

Je pense que l’on n’a pas de droit de nous faire travailler et que nous devons être libres toute notre vie, surtout quand nous sommes enfants !!!

Marie Ga, troisième année du cycle 3.

  

Les droits de l’enfant ne sont pas respectés dans certains pays comme en Afrique : les enfants travaillent, ils portent, par exemple, des briques et font des allers-retours, ils travaillent douze heures par jour.

En Europe, ils sont respectés.

A la maison aussi mais, c’est normal de se faire punir si, par exemple, on casse quelque chose.

Ce n’est pas bien de maltraiter les enfants, de les faire travailler.

Victor, deuxième année du cycle 3.

 

Je sais que les enfants ont des droits :

-       le droit à la parole

-       le droit à l’éducation

-       le droit à ne pas aller à la guerre

-       etc.

Bref, les enfants ont beaucoup de droits.

Mais dans certains pays ils ne sont pas respectés et ça, c’est de l’esclavage !

Les enfants ont des droits, ce ne sont pas des animaux.

Les droits sont même parfois des lois.

 

A la maison, mes droits sont respectés mais ça de dépend de quoi et de quand.

A l’école, ils sont aussi respectés.

Yanis, troisième année du cycle 3.

 

Je sais que dans le monde il y a des enfants qui sont des esclaves et qui sont obligés de travailler dès qu’ils ont cinq ans pour même pas un euro par jour.

Je sais aussi qu’il y en a qui meurent de faim tous les jours et je trouve que cela ne va pas du tout.

Channeze, deuxième année du cycle 3.

 

Les droits de l’enfant c’est, par exemple, être libre et ne pas être obligé de travailler.

Il y a des gens qui respectent ces droits et d’autres non.

Par exemple, des gens vendent leurs enfants et d’autres non.

 

Je pense que tout le monde devrait respecter les droits des enfants.

Maureen,  deuxième année du cycle 3.

 

Les enfants ont le droit de bien manger, de boire,…

Ils ont le droit d’avoir des parents qui s’occupent d’eux.

Il est interdit de maltraiter un enfant.

Les enfants n’ont pas le droit de travailler.

En France, les enfants sont obligés d’aller à l’école.

 

Je pense qu’il faut traiter les enfants normalement : ce sont des humains comme les grands.

Il faut les respecter !!!!!

Manon, troisième année du cycle 3.  

 

Je pense que les droits de l’enfant servent à nous exprimer et pour moi, c’est important de s’exprimer, de dire ce que nous pensons.

Nous en avons le droit nous aussi.

Un exemple :

Nos parents se disputent, et ça nous fait de la peine. Nous avons le droit de le dire.

 

Je pense que c’est génial d’avoir inventé les droits de l’enfant.

Oriane, troisième année du cycle 3.

 

Je pense que tous les enfants ont le droit d’être mélangés, par rapport à leurs origines, dans les écoles.

Mais, en Afrique, certains enfants ne sont pas respectés : ils portent des objets lourds, 250 kg, ils travaillent, et ne boivent pas alors que les adultes, eux, font des pauses.

Je sais aussi que dès qu’on dit à ces enfants de faire quelque chose, ils se taisent et le font sans discuter. Le pire, c’est en Arabie !

Je pense que tous les enfants du monde ont le droit d’avoir la même chance que nous.
C’est vraiment injuste pour eux !

Leslie, troisième année du cycle 3.

 

Je sais que des parents respectent leurs enfants mais que d’autres non.

Je sais que les adultes doivent respecter les enfants.

Pourtant, et ce n’est pas bien, il y a des pays où les enfants travaillent pour de l’argent qui n’est même pas pour eux.

 

C’est bien que mes parents me respectent, et respectent aussi mes frères et ma sœur.

Romain, troisième année du cycle 3.

 

Je pense que les enfants ont des droits, comme leurs parents : ils peuvent par exemple avoir le droit d’aller où ils veulent.

Certains parents font travailler leurs enfants pendant qu’eux s’amusent !

Je pense que les parents ne pensent pas toujours au droit des enfants…

Corentin, troisième année du cycle 3.

 

Dans certains pays les enfants sont exploités.
En Afrique, ils travaillent douze heures par jour et en Chine, à seulement six ans, les parents les font s’entraîner au sabre et aux lances avant de les envoyer faire des combats où parfois ils meurent !

Dans les rues, il y a des adultes qui volent des enfants au lieu de les aider.

Dans ces pays, je pense que les enfants ne sont pas respectés : les adultes demandent à ces enfants de faire des trucs de « dingues » et s’ils ne le font pas, ils se font battre…

Baptiste, troisième année du cycle 3.

 

 

mercredi, 04 février 2009

Sur la télévision...

Cette période, sur le blog Ecritic (celui à plusieurs classes), nous avons écrit des textes sur la télévision : le sujet était proposé par la clis de Muriel, de l'école Toreille à Vence (l'école de nos correspondant-e-s).

Sur le blog Ecritic, vous pouvez aussi lire les textes des autres classes et les commenter...

En cliquant ICI,vous pouvez télécharger nos textes au format pdf (sans virus).

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La télévision ?

 

Classe du cycle 3, école Aimé Legall, Mouans-Sartoux, janvier 2009.

 

Voici nos textes :

 

La télévision sert à regarder des infos, des films, des documentaires…
Moi, je regarde des dessins animés, les infos, et des documentaires car j’aime bien les documentaires sur les animaux.

Je ne regarde la télévision que quand il y a un documentaire ou un reportage qui peuvent m’intéresser.

Si je n’avais pas la télévision, j’irais construire des cabanes avec mes frères et sœurs, et j’irais faire du sport.

Edwina, troisième année du cycle 3.

 

La télévision sert à regarder la météo, les informations et à ne pas s’ennuyer.

Elle sert aussi à se relaxer, et à apprendre des choses dans les documentaires.

Moi ce que je regarde ce sont des films policiers, de science-fiction ou qui font peur.

Je regarde environ 5 heures par jour la télévision parce que je regarde des films que je suis.

Si je n’avais plus la télévision, je demanderais à ma mère où elle est passée et je ne parlerais plus à mes parents.

Puis j’irais jouer dehors ou à la PSP ou à l’ordinateur.

Julien, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert car :

-       les dessins animés c’est amusant et rigolo

-       les informations ça te tient au courant

-       les films ça apporte de l’action, de la peur et même de la violence

Moi, ce que je regarde souvent à la télévision c’est la chaine Gulli car il y a les émissions que je trouve bien mais je regarder aussi des DVD.

Je n’ai pas de temps spécial pour regarder la télévision mais ce n’est pas 7h00 par jour !!!

S’il n’y avait pas la télévision, il y aurait bien des moments ou je m’ennuierais mais pas trop car je jouerais autre part…

William, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à nous informer, à faire des achats (grâce à la publicité), elle sert aussi à connaître le temps qu’il fera demain.

Elle sert aussi à faire passer le temps, à nous reposer.

Je regarde des dessins animés, des films et du sport tous les jours au moins une heure et parfois deux ou trois car sinon je m’ennuie.

Si je n’avais plus de télévision, je serais en colère, et je ne parlerais plus à mes parents.

Si je n’avais pas la télévision, je ferais du vélo, du ski, du handball, du tennis, de la natation et j’irais faire des tours de terrain, je jouerais à l’ordinateur, je jouerais plus…

Baptiste, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à se distraire, à s’occuper, à s’informer sur le temps de lendemain, à regarder des documentaires.

Moi, je regarde des dessins animés car souvent ils sont rigolos, des films qui parlent de danse car c’est ma passion.

Je la regarde le soir le week-end jusqu’à minuit mais pas souvent car… je m’endors avant minuit !

Dans la semaine, je la regarde jusque 21h00, 21h30 et parfois le mercredi matin.

Si je n’avais plus la télévision ce serait dommage mais tant pis, je ferais des ateliers, j’irais jouer dehors, je jouerai à des jeux de société, je ferais des tâches ménagères.

Manon, deuxième année du cycle 3.

 

Pour moi la télévision est un divertissement, un moyen d’apprendre des choses, une source d’informations sur le monde… elle me sert donc à plein de choses.

Je regarde souvent la télévision : les Simpson, Futurama, des dessins animés farfelus, la météo, les infos,des films, …

Je la regarde à peu près une heure par jour sauf le week-end où je la regarde environ trois heures par jour.

Je la regarde quand je m’ennuie, pour me changer les idées, pour me réveiller ou pour me divertir.

Si je n’avais pas la télévision, j’essaierais de trouver d’autres choses à faire comme jouer dehors au ballon, au ping-pong, au baby-foot, ou encore au foot.

J’appellerais la mère d’un copain pour lui demander de venir me chercher pour jouer avec lui ou l’inverse.

Romain Su ., troisième année du cycle 3.

 

La télévision sert à s’informer, à voir des images animées en direct ou en différé.

Dans les journaux, on n’a que des images fixes et à la radio, on ne peut pas voir ces images.

A la maison, je regarde les informations, les films conseillés par ma maman et je joue sur ma WII.

Je regarde la télévision les soirs en semaine de 19h30 à 21h15, puis je vais me coucher.

Le mercredi je regarde aussi la télévision de 9h30 à 10h00, de 14h30 à 15h30 et de 19h20 à 21h20.

Le week-end je regarde un peu plus la télévision.

Je choisis mes émissions et je ne regarde jamais n’importe quoi.

Si je n’avais plus la télévision, je ne sais pas ce que je ferais… je jouerais certainement avec mon père à des jeux de société.

Yann, troisième année du cycle 3.

 

La télévision sert à s’informer sur le monde et aussi à passer des DVD.

Elle sert à ne pas s’ennuyer quand on ne sait pas quoi faire, elle sert aussi à connaître le temps de la semaine.

Moi je regarde Oggy et les cafards, Futurama, un gars un fille, la météo, les informations et parfois les Simpson quand mon père n’est pas là car il ne les supporte pas !

Je regarde aussi les Pokemon, Médium, NCIS,… pratiquement tout ce qui passe sur Gulli.

Je la regarde à peu près deux ou trois heures par jour et le week-end environ trois ou quatre heures, c'est-à-dire en moyenne 19 à 20 heures par semaine.

Si je n’avais plus la télévision, j’inviterais des copains, je jouerais aux consoles de jeux, je râlerais au départ mais ensuite je m’y habituerais…

Dylan, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à regarder les informations, les dessins animés, la publicité, des films et des feuilletons.

Elle sert aussi à se passer des DVD et à jouer à des jeux vidéos.

Moi, je regarde les informations, les dessins animés et des films qui font peur.

Je la regarde environ deux à trois heures par jour, pas plus sinon ça gait mal aux yeux.

Si je n’avais plus de télévision, j’irais plus souvent faire des tours dehors.

Romain St., deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à se distraire les jours de pluie, elle sert aussi à avoir des informations précises et même à… s’assoupir !

Pour certains, c’est une drogue : ils sont accros de la télévision et ne peuvent plus s’en passer.

A la télévision, je regarde les films, les feuilletons, les séries animées, les dessins animés et la musique.

Je reste devant la télévision entre une heure et trois heures par jour parce que j’aime la télévision mais je ne suis pas accro !

Si je n’avais pas la télévision, j’irais dehors jouer, j’inviterais des copains, je jouerais avec mon chien, … je m’occuperais.

Dorian, troisième année du cycle 3.

 

La télévision sert à connaitre plus de choses sur le monde, à savoir ce qu’il s’y passe, à connaître le temps qu’il fera le lendemain, et à ne pas s’ennuyer.

A la télévision, je regarde les infos, la météo, les Simpson, des dessins animés et des films,…

En semaine je regarde la télévision entre une heure et deux heures, le matin et le soir mais quand je n’ai pas école je la regarde quatre heures.

Je la regarde pour avoir des informations ou pour ne pas m’ennuyer.

Si je n’avais pas la télévision, je ferais mes devoirs, je lirais, je jouerais à la WII, à la DS ou à l’ordinateur, ou j’écouterais de la musique sur mon Ipod.

Zakia, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision est une mauvaise invention et elle ne fait pas du tout du bien aux humains.

On peut la regarder et y jouer mais c’est un peu comme une drogue et elle ne sert pas vraiment car à la place de regarder les informations, on peut les lire dans les journaux et pour les films c’est pareil : on peut lire un livre. Même chose pour les jeux vidéos, on peut jouer à des jeux de société…

A la télévision, je regarde surtout des dessins animés mais je pourrai facilement m’en passer.

Je ne regarde pas beaucoup la télévision : chaque soir un quart d’heure et une heure le mercredi mais rarement.

Je regarde surtout les dessins animés car il y en a qui sont rigolos et d’autres plein d’aventures.

Si je n’avais pas la télévision, je serais tout de même contente car ça m’empêcherait de la regarder et je pourrais plus lire.

Laurie, troisième année du cycle 3.

 

La télévision est une machine très importante pour certains enfants et adultes… les gens se droguent de télévision et d’autres gagnent leur vie avec !

Moi, à la télévision je regarde des dessins animés, des informations, la météo et quelques films de mon âge.

Je passe aussi des cassettes et des DVD.

Je la regarde les soirs après l’école quand j’ai fait mon travail et que j’ai encore un peu de temps.

Je ne la regarde pas les matins d’école et je la regarde le samedi une ½ heure ainsi que le week-end.

J’aime bien ça mais je fais tout pour ne pas en être droguée.

Si je n’avais pas la télévision, je me trouverais une autre occupation comme… filmer mon chat et transférer le film sur ordinateur.

Julie, deuxième année du cycle 3.

  

La télévision peut servir à nous divertir et à nous informer.

Moi, je regarde des séries américaines et japonaises, des dessins animés, les informations et avec mes parents du sport.

Je la regarde une heure les jours d’école et un peu plus le mercredi, une heure et quinze minutes.

Le week-end je la regarde deux heures.

Ce qui fait que je la regarde environ neuf heures et quinze minutes par semaine.

Je le regarde car il y a des choses que j’aime et que je ne veux pas rater et parce que ça m’intéresse.

Si je n’avais pas la télévision, ça ne changerait rien car j’arrive déjà très bien à m’en passer.

Yanis, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à regarder des films, des dessins animés et les informations.

Moi, je regarde plutôt des films policiers ou des dessins animés.

Je la regarde entre 1heure et 1heure 25 les jours d’école et les jours sans école entre 1h25 et 1h50.

Je regarde des films précis, des séries précises, toujours les mêmes… si ils n’y sont pas, j’éteins la télévision.

Si je n’avais pas la télévision, je jouerais plus au tennis.

Lucien, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à apprendre, à connaître ce qui se passe dans un autre pays.

Elle sert aussi à se distraire.

Moi, je regarde des dessins animés, des films violents, mais aussi des films d’amour.

Je reste chaque e jour trois heures devant la télévision car je n’ai rien à faire, je m’ennuie ou que parfois je suis triste.

Si je n’avais plus la télévision, je bouderais puis je sortirais, j’irais chez mes copains, je jouerais à la PSP ou à la DS, je ferais des gâteaux, j’aiderais mes parents, je lirais plus souvent, j’irais sur le blog voir ce qu’il y a de nouveau… mais je préfèrerais toujours quand même regarder la télévision !

Mohamed, troisième année du cycle 3.

 

La télévision sert à jouer, à s’informer, à apprendre, à travailler, à s’acheter (grâce à la pub) des trucs, à s’amuser, à regarder des films, du sport, la météo, les infos, etc.

Moi, je regarde matin et soir des dessins animés comme les Simpson, Oggy et les cafards, la Panthère Rose,… mais aussi les informations, des séries criminelles comme NCYS, les experts, ou des émissions comme la roue de la fortune.

Je la regarde entre trois et quatre heures par jour, et vingt sept à vingt huit heures par semaine.

Je la regarde parce que je m’ennuie et sans télévision ??????????

Jérémie, deuxième année du cycle 3.

 

La télévision sert à se divertir avec des émissions, à apprendre avec des documentaires, à frissonner devant des films d’horreur, à se connecter et jouer avec des consoles de jeux, et à mieux voir le cirque, un spectacle, un opéra, un match de foot car sans la télévision certaines personnes n’auraient jamais pu en voir.

La télévision sert aussi à s’informer sur le monde, les régions, les pays qui nous entourent.

Mais on peut faire bien d ‘autres choses que de la regarder : du sport, de la musique, des jeux de société, etc.

Moi, je regarde des dessins animés et des films et séries fantastiques et criminels de sept à douze heures par semaine car sur Gulli il y a de nombreux dessins animés, séries et films que j’aime.

Si je n’avais pas la télévision, je passerais tout mon temps au City Park.

Nathan, troisième année du cycle 3.

 

La télévision sert à ne pas s’ennuyer quand on ne sait pas quoi faire, à regarder la météo, à voir ce qu’il se passe ailleurs dans le monde, à regarder des films, même quand tu n’as pas encore lu le livre ?

Moi je regarde Dragon Ball Z, le grand journal car c’est très marrant, la météo, les infos, Gulli, la 3, la 5, la 1 et parfois la 7.

Je regarde la télévision en tout quatre heures par semaine.

Si je n’avais plus la télévision, je commencerais par râler, j’embêterais mes parents, je claquerais les portes, je sortirais courir dans le jardin et… je commencerais des économies pour en racheter une à mes dix huit ans !

Thomas, deuxième année du cycle 3. 

 

La télévision sert à s’informer sur ce qu’il se passe dans le monde, à savoir ce qu’il va ou ne va pas.

Elle sert aussi à nous libérer des mauvais sentiments qui nous entourent.

Elle sert à passer le temps quand on est en avance sur notre travail.

A la télévision, moi je regarde plein de choses comme des films ou des dessins animés, des choses que je n’ai pas la possibilité de voir en dehors de la télévision comme du théâtre, des spectacles de musique…

Moi, je ne regarde pas beaucoup la télévision, de temps en temps quelques minutes sauf si c’est quelque chose qu’il faut regarder du début à la fin.

Je ne regarde pas quelque chose qui a déjà commencé, car je ne comprendrai pas ce qu’il se passe ou va se passer et que je ne vais pas inventer le début !

Si je n’avais pas la télévision, cela ne serait pas du tout, mais vraiment pas du tout grave tout simplement car je peux m’en passer grâce à tous les jouets et accessoires que j’ai !

Alicia, deuxième année du cycle 3.

 

Je pense que la télévision sert un petit peu à rien en général.

Pour moi, elle me sert à me documenter sur les animaux et encore je n’ai pas vraiment le droit de la regarder sauf les matins du samedi et du dimanche.

Et là je choisis ce qui m’intéresse mais c’est dur à cause de mon frère et de ma soeur qui choisissent Cars, Babar !

Je regarde quand je peux la roue de la fortune des documentaires, des films et des dessins animés.

Avec mes parents, c’est le samedi et le dimanche matin, pas longtemps et avec ma grand-mère c’est un peu plus, donc je ne la regarde pas beaucoup : au maximum deux heures par semaine.

Si je n’avais pas la télévision, cela ne changerait pas grand-chose : je la regarde déjà très peu.

Mais si je la regardais plus, alors je dirais que je pourrais lire deux fois plus, que je jouerais plus à l’ordinateur, que j’écouterais de la musique, que j’aiderais mes parents, que je ferais aussi plus de bêtises, que j’inviterais Yanis à faire des constructions en Légo, je ferais du vélo, j’apprendrais à faire du roller, je jouerais avec mon chat,… je profiterais de la vie.

Hélène, deuxième année du cycle 3.

  

Donc en lisant tous les textes de la classe, plusieurs conclusions s’imposent :

 

1.     Vous êtes presque toutes et tous déjà de gros consommateurs de télévision… que d’heures passées devant un écran et quand ce n’est pas un écran de télévision, ce sont des écrans de consoles, d’ordinateurs et même pour certain-e-s devant celui tout petit d’un téléphone portable… vous êtes ce que l’on appelle de « purs produits de la société de consommation ».

2.     Vous vous ennuyez beaucoup.

3.     Vous avez en fait déjà des comportements de dépendance et vous ne voulez pas avouer que vous êtes déjà accros !

4.     C’est la télévision qui commande chez vous car elle vous empêche de faire d’autres choses !!! Vous êtes donc esclaves d’une machine… il est temps de se révolter et de prendre les armes pour mettre à bas la dictature de la télévision… faites fonctionner vos cerveaux.

5.     Vous êtes des consommateurs de pub et d’ailleurs certain-e-s font déjà de la pub pour des tas de marques : Ipod, Gulli, DS, WII,…

6.     Et pourtant, et c’est tant mieux, vous avez des tas de solutions sous la main pour sortir de cette dépendance et ne pas vous ennuyer : sortir, jouer, échanger, communiquer, lire, etc.

 

Autant de choses que nous allons pouvoir expérimenter lors de la semaine sans télévision en avril, non ?

 

Et puis, peut-être faudrait-il aussi réfléchir à l’utilité de prendre le temps parfois de ne rien faire et de profiter de l’ennui ?

Alors, à quand un stage d’ennui ?  :-)

 

Ou un stage pour apprendre à choisir ? Car c’est en choisissant que l’on devient libre d’apprécier ce qui peut être intéressant à la télévision, qui reste une invention qui est ou peut être intéressante pour l’homme.

 

Alors qui commande, qui choisit : une machine ou un humain ?

 

Jean-Charles, le maître.

 

 

dimanche, 23 novembre 2008

Christophe Colomb...

 

 

Mohamed nous a présenté un livre sur les Incas et nous avons parlé de leur civilisation et aussi de leur « découverte » par les Espagnols et les Portugais…

Christophe Colomb

On dit souvent qu’il a découvert l’Amérique, mais lui jusqu’à sa mort a refusé de le croire, il était persuadé qu’il avait découvert une route maritime pour aller en Inde…

 

L’Amérique avait été « découverte » bien avant ses voyages.

 

Les Vikings sont sans doute la première civilisation de l'« ancien monde » à joindre l'Amérique. Vers l'an 1000, Leif Erikson navigue depuis le Groenland jusqu'à Terre-Neuve, qu'il appelle Vinland. Longtemps restée au niveau des légendes, cette histoire reçoit confirmation en 1960 avec la découverte des restes archéologiques de l'Anse aux Meadows où Leif Erikson fonde une colonie et qui fait de lui le découvreur nord-européen de l'Amérique.

 

Il existe aussi d’autres hypothèses de la « découverte » de l’Amérique, certaines datant de l’Antiquité, mais elles ne sont pas encore vérifiées…

 

  

 

Christophe Colomb est un navigateur italien né en 1450 à Gênes.

Le roi et la reine d'Espagne lui donne une flotte de trois caravelles (la Santa Maria, la Pinta et la Niña) pour aller aux Indes (l'Asie) en naviguant vers l'ouest, car il sait que la Terre est ronde.

Il quitte Palos (au sud de l'Espagne) le 3 août 1492. Il va aux îles Canaries. Le 9 septembre il quitte ces îles et, le 12 octobre 1492, après un long voyage, il arrive à l'île de San Salvador.

Il navigue encore et découvre les îles de Cuba et d'Haïti. A Haïti, Christophe Colomb découvre des hommes nus, qu'ils appellent les indiens car il croit être aux Indes.
Il a en fait découvert un nouveau continent : l'Amérique, car la terre est plus grande que ce qu'il pensait.

Sa flotte rentre ensuite au port de Palos (le 15 mars 1493) d'où elle était partie 7 mois plus tôt.

Il refera ensuite trois autres voyages.

Il meurt le 20 mai 1506 en Espagne à Valladolid.

 

D’autres grands navigateurs…

 

L’italien Amerigo Vespucci, né le 9 mars 1454 et mort le 22 février 1512, était un marchand et navigateur originaire de Florence en Italie. Il fut le premier à penser que la côte de l'Amérique du Sud constituait un nouveau continent alors que tous les navigateurs de l'époque, y compris Christophe Colomb, pensaient débarquer en Asie.

 

Le français Jacques Cartier (né vers la fin[de l'année 1491 à Saint-Malo en Bretagne, mort au même endroit le 1er septembre 1557), est un navigateur et explorateur français. Il est le premier à avoir visité le territoire qu'il nomme Canada.

 

L’espagnol Fernando Cortés Monroy Pizarro Altamirano ou Hernando Cortés (parfois écrit Cortez), né en 1485 à Medellín (un village d'Extrémadure) et mort à Castilleja de la Cuesta (près de Séville) le 2 décembre 1547, est un conquistador espagnol qui s'est emparé de l'empire aztèque qui  marque le début de la colonisation espagnole des Amériques au XVIe siècle.

 

Le portugais Vasco de Gama ou da Gama en portugais (v. 1469 à Sines au Portugal 24 décembre 1524 à Cochin aux Indes) est un navigateur portugais, premier Européen à arriver aux Indes par voie de mer en contournant le cap de Bonne-Espérance.

 

Le portugais Fernand de Magellan, (Fernão de Magalhães en portugais, Fernando de Magallanes en espagnol), né dans le nord du Portugal[1] aux environs de 1480 et mort sur l'île de Mactan aux Philippines le 27 avril 1521, est un navigateur et explorateur portugais de l'époque des Grandes découvertes. Il est connu pour être à l'origine de la première circumnavigation de l'histoire (c'est-à-dire le premier tour du monde) – achevée en septembre après trois ans de voyage – en ayant navigué vers l'Ouest pour rejoindre les Moluques, découvrant sur son chemin le détroit qui porte son nom.

 

Un autre grand découvreur…

 

L’italien Marco Polo (15 septembre 1254 - 8 janvier 1324 à Venise, Italie). Parti avec son père et son oncle, patriciens et commerçants passés au service du Grand Khan mongol, il atteignit la Chine en (1275), parcourant la Route de la soie.

Il y séjourna pendant 17 ans (1274-1291) et fut employé par l'Empereur Mongol Kūbilaï qui acheva la conquête de la Chine. Marco Polo fut chargé de diverses missions par Kūbilaï Khan, tant en Chine que dans des pays de l'océan Indien.

De retour à Venise en 1295, il combattit à Gênes, y fut fait prisonnier et dicta dans sa prison à le récit de ses voyages dans les États de Kūbilaï intitulée Le Devisement du monde.

 

En Europe, en Histoire, on appelle Grandes Découvertes la période entre le XV ème (15) et le XVI ème siècle (16)… période durant laquelle les Européens ont découvert de nouvelles terres, ont commencé à admettre que la Terre était ronde et n’était pas le centre de l’Univers, et que de nombreux progrès techniques ont eu lieu.

 

 

A cette période, les Européens ont détruit l’empire Inca et l’empire Aztèque, des peuples installés depuis plusieurs siècles et qui avaient des coutumes, des croyances très différentes de celles des Européens…

Les Européens (sans le savoir) les ont contaminés avec différents maladies qu’ils ne connaissaient pas.

 

Les Européens ont imposé leur religion (le christianisme) et ont pillé (volé) statues, temples, et l’or de ces peuples qu’ils ont finalement quasiment fait disparaître.

On appelle cela la « colonisation ».

mardi, 18 novembre 2008

Nouveau sujet sur le blog Ecritic.

Bonsoir,

la classe de Céline a mis en ligne sur Ecritic le sujet
qu'elle propose pour la nouvelle période de discussions :

"Quel regard portez vous
sur les personnes handicapées ?"

Les commentaires sur le sujet précédent
(l'école de nos rêves)
arrivent petit à petit.

Allez bonne réflexion, même à la Colmiane :-)

Jean-Charles.

Et bons derniers jours de classe découverte...

jeudi, 09 octobre 2008

Un nom pour notre blog ?

Bonjour,

nous (la classe de Christophe Girard à Vence) avons réfléchi à un nom pour le blog. Nous avons voté pour ces 3 propositions :

  • Le blog note
  • Vence sartoux blog
  • Mouventoux.

Ces noms vous conviennent-ils ? Avez-vous des propositions, vous aussi ?
Répondez-nous, à bientôt,

Paul, pour les CM1-CM2 de Vence

jeudi, 19 juin 2008

''Si tu devais inventer quelque chose, qu'inventerais-tu?''

 

 

Si je devais inventer quelque chose, ça serait une machine à rajeunir et à vieillir.

Pour qu'elle marche, il faudrait mettre environ 10 rondins de bois, dans le broyeur à côté de la machine.

Le bois serait broyé en poussière et passerait dans un tuyau qui rejoindrait la machine.

La personne qui veut rajeunir ou vieillir devrait entrer dans la machine, et la poussière entourerait la personne.

En sortant, elle serait rajeunie ou vieillie .

La machine s'appellerait « la machine du bon âge ».

 

Sinon j'inventerais une machine contre la pollution, elle serait assez grosse et ronde, elle aurait un moteur et un gros aspirateur sur son toit.

Pour que la machine marche, il faudrait mettre un peu d'essence et la machine aspirerait la pollution, elle la stockerait sous la terre.

La machine polluerait un peu aussi et elle s'appellerait l'Aspirator.

 

Louise,cm2 b.

dimanche, 15 juin 2008

Information parents.

 

Jean-Charles et la maman de Boris passent à la télé ! 

Vendredi soir avait lieu la "Nuit des écoles", une opération organisée partout en France en réaction aux mesures prises par le ministre de l'Education pour la prochaine rentrée.

Dans notre école, c'est la maternelle qui nous a accueillis. Il s'agissait d'organiser, autour d'un repas, une discussion entre enseignants et parents pour présenter ces mesures qui, à notre avis et de l'avis de beaucoup de professionnels de l'éducation, vont dans le mauvais sens pour l'école et vos enfants.

Nous n'étions malheureusement pas nombreux : une dizaine d'enseignants, une dizaine de parents.

La presse était tout de même présente : un journaliste de Nice-Matin, une autre du Patriote, et une équipé télé de France 3 Méditerranée.

A cette occasion, Jean-Charles et la maman de Boris ont été interviewés. Vous pouvez voir tout cela en cliquant ici. Le reportage sur la nuit des écoles se trouve 3 minutes après le début du journal.

A noter : une nouvelle opération, "L'école est finie", est en train de se mettre en place de la même façon, partout en France. Bien sûr, nous vous tiendrons au courant si notre école y participe.

Christophe 

jeudi, 21 juin 2007

La pauvreté, les pauvres ?

Nous avons réfléchi à la pauvreté, aux pauvres...

Les pauvres sont des personnes qui n'ont rien à manger (ou presque rien), qui n'ont pas de maison, qui vivent parfois dans la rue, dans des foyers...
Parfois, certaines personnes ont choisi d'être pauvres.
Parfois, certains pauvres sont des voleurs.
Il y a des pauvres de partout : à Vence, à Nice, en France, au Burkina Faso,etc.
Moi, je n'aime pas les pauvres qui volent, mais je n'aime pas non plus ceux qui volent les pauvres et les rendent pauvres... je ne supporte pas ça.
C'est dommage que peu de gens donnent de l'argent aux pauvres, mais moi je le fais.
Si on donnait tous un peu d'argent aux pauvres, les pauvres ne seraient plus pauvres : ils seraient "normaux", comme nous.
Hugo, première année du cycle 3.

Les pauvres n'ont pas d'argent, ils ont parfois du mal à se nourrir... moi je n'aime pas la pauvreté, ce n'est pas normal qu'il y ait des pauvres sur Terre.
Certains pauvres ont choisi de ne pas travailler, mais les autres ne trouvent pas de travail même s'ils en veulent et ils sont encore plus pauvres... ils n'ont pas de chance dans la vie et doivent certainement être très tristes.
Il faudrait faire plein de choses pour les héberger, les nourrir, les habiller et surtout donner du travail à ceux qui en cherchent ou en veulent.
On peut aussi si on a une grande maison héberger chez soi des pauvres.
Méziane, première année du cycle 3.

Un pauvre, c'est quelqu’un qui n'a pas de travail, qui est au chômage et n'a plus de quoi se nourrir, se loger... certains pauvres vivent même dans la rue, ce sont des SDF (Sans Domicile Fixe).
Des pauvres, il y en a un peu partout en France mais aussi dans le monde.
Il y a des pauvres qui deviennent pauvres car ils ont dépensé TROP d'argent et d'autres qui le sont depuis qu'ils sont nés, car leurs parents n'avaient pas de travail, de maison.
Il faudrait que les pauvres puissent travailler et donc gagner leur vie.
C'est comme cela qu'il n'y aura plus de pauvreté dans le monde.
Nicolas B., première année du cycle 3.

Quand on n'a pas de maison, de travail, d'argent, pas d'amis, on devient un pauvre.
Certains pauvres sont malheureux et ils boivent de l'alcool et alors les autres personnes qui ne sont pas pauvres veulent s'en débarrasser.
Il faudrait déjà être gentil avec les pauvres et qu'ils puissent avoir du travail.
Il y a déjà des associations qui aident les pauvres en France comme la Croix Rouge ou le Secours Populaire.
Gwénola, première année du cycle 3.

Pour moi, les pauvres sont des personnes qui n'ont pas assez d'argent pour s'acheter de la nourriture.
Ce sont aussi des personnes qui n'ont pas d'emploi.
Il faudrait les aider à en trouver... il faut du travail pour des gens qui n'ont pas beaucoup de compétences car on peut les former pour qu'ils en aient.
Vincent, première année du cycle 3.

Un pauvre, ce peut être aussi quelqu'un qui vient d'un autre pays où il ne pouvait pas vivre et qui arrive et n'a pas assez de sous, d'argent, et ne trouve pas de maison, d'amis... il est tout seul, sans aide.
Des pauvres, il y en a de partout, et la pauvreté il y en a trop dans le monde.
En plus, les gens qui ont de l'argent rejettent souvent les pauvres car eux ils n'ont pas d'argent... c'est injuste.
Les pauvres, ils sont comme les riches, les moins riches, ils sont pareils sauf qu’eux ils n'ont pas la chance d'avoir de l'argent et donc ils n'ont pas la même vie que les autres.
Diana, première année du cycle 3.

Les pauvres sont des personnes qui n'ont pas d'argent et parfois ils en réclament dans la rue. Il y a aussi beaucoup de personnes handicapées qui sont pauvres car des directeurs d 'entreprises, par exemple, ne veulent pas les employer car ils les trouvent bizarres !
Les pauvres qui réclament de l'argent dans les rues le font pour s'acheter à manger.
Il y a plusieurs raisons pour expliquer la pauvreté... certains ont choisi d'être pauvres mais la plupart des pauvres sont des gens qui aimeraient travailler, avoir une vie normale, mais les autres, ceux qui ne sont pas pauvres, les trouvent très souvent "bons à rien" !
Des pauvres, il y en a de partout, même aux Etats Unis !
Je pense que cela devrait cesser parce que c'est triste de voir des personnes assises par terre, tenant un bol ou un bocal et réclamant de l'argent. En plus certains meurent même de pauvreté...
Il faudrait qu'il y ait de partout des maisons pour aider les pauvres, s'occuper d'eux en donnant à manger, en donnant des vêtements mais aussi du travail.
Julien, première année du cycle 3.

Les pauvres sont des gens qui n'ont pas de chance dans la vie car ils n'ont rien.
Il y en a partout dans le monde, en Europe, en Inde, en Afrique, en Amérique,... partout.
Mais il y a des pauvres qui exagèrent car ils dépensent inutilement l'argent qu'ils reçoivent. Mais j'aimerais que la pauvreté n'existe plus.
Christina, première année du cycle 3.

Un pauvre est une personne qui vit dans la rue, qui n'a pas d'argent. Il y a des pauvres qui font la manche (ils mendient) et tous les sous qu'ils reçoivent ils vont les dépenser au bar... s’ils ne veulent pas chercher du travail ils seront toujours pauvres.
D'autres cherchent vraiment du travail, mais ils ne trouvent personne pour les employer.
Tant que des gens n'auront pas assez d'argent pour vivre, trouver un studio, un appartement ou une maison, il y aura toujours des pauvres.
Des pauvres il y en a partout mais surtout dans les pays comme le Burkina Faso, l'Inde, des pays où il y a la guerre ou la famine.
Ce serait bien que les riches puissent partager leurs richesses avec les pauvres, comme cela le monde changerait...
Diego, deuxième année du cycle 3.

Quand tu n'as plus de sous, plus de maison, plus de quoi t'habiller, te nourrir, tu deviens un pauvre.
La pauvreté elle existe partout dans le monde, même dans les pays riches.
C'est triste de penser et de voir des pauvres tous les jours autour de nous : il faudrait vraiment qu'il n'y ait plus de pauvres.
Pour arranger ça, il faudrait qu'il y ait plus de personnes qui s'en occupent et les aident.
Chelsea, deuxième année du cycle 3.

La pauvreté c'est quelque chose qui fait mal, qui fait pleurer, qui fait souffrir et même mourir !
Les pauvres ne sont souvent pas respectés par les autres, ceux qui ont de l'argent qui les ignorent, et même parfois les chassent sans pitié, sans le moindre regard.
Les pauvres perdent confiance en eux, perdent courage...
Heureusement il existe des personnes qui les respectent, les aident, font confiance dans leurs capacités.
A cause de la pauvreté des millions de personnes meurent chaque année dans le monde, même dans les pays riches.
Pour que cela change, il faudrait que tout le monde soit obligé de partager, surtout ceux qui sont très riches... cela changerait la vie...
Allez, levez-vous et partagez un peu avec les autres !
Mouna, deuxième année du cycle 3.

La pauvreté fait parfois souffrir, mourir, elle rend aussi les gens malades, tristes, malheureux.
Vivre dans la rue, ne pas avoir d'argent, ce ne doit pas être facile.
Ne pas avoir une vie "normale", une maison chaude en hiver, de quoi manger, ce doit être terrible.
Ne pas trouver du travail, se faire rejeter, ce doit être bien triste aussi.
La pauvreté on la trouve dans les pays en guerre : des gens perdent leurs maisons, leur travail, ils ne trouvent plus à manger.
Il y a aussi des pauvres dans les villes riches car ils ne peuvent pas se payer une maison : ils vivent dans la rue, dans les parkings.
Sans travail, on ne gagne pas d'argente t sans argent on ne peut pas vivre.
C'est vrai que certains pauvres ont choisi d'être pauvres.
D'autres le sont car ils n'ont pas eu la chance de savoir lire, d'aller à l'école, d'apprendre des choses pour avoir un métier.
Ce doit être horrible de vivre comme ça, dans la pauvreté.
Il faudrait construire des logements pour les héberger, des bâtiments avec des personnes qui pourraient les aider à retrouver ou trouver du travail, pour apprendre...
Marina, deuxième année du cycle 3.

Parfois les pauvres se servent de leur dernier argent pour aller boire dans des bars et oublier qu'ils sont pauvres... mais ils le restent pauvres.
Des pauvres, il y a en a dans tous les pays du monde.
C'est injuste car quand il y a des riches qui dépensent beaucoup d'argent en jouant au Casino, il y a des gens qui n'ont rien à eux !
On devrait plutôt aider les pauvres à trouver du travail, et donc à gagner de l'argent.
Corentin, deuxième année du cycle 3.

Les pauvres, pour moi, sont des personnes qui n'ont pas trop d'argent et ne peuvent donc pas manger correctement, s'habiller correctement, se loger correctement.
Même s'il y a des pauvres qui vont boire de l'alcool dans des bars et gaspillent ce qu'ils ont, ils ne sont pas nombreux.
certains pauvres n'ont même plus de maisons et sont obligés de se nourrir dans les poubelles des autres...
Les pauvres n'ont pas la chance de réussir leur vie et il y a même des pauvres dans les pays riches.
On pourrait les accepter au travail, mais je crois que cela ne s'arrêtera jamais : il y aura toujours des pauvres et des riches.
Aïchoucha, deuxième année du cycle 3.

De la pauvreté, on en trouve de partout : en France comme dans tous les autres pays du monde mais à chaque fois lkes pauvres meurent de faim, de soif, de froid, de chaud.
Il y en a dans les villes surtout et dans les pays en guerre.
On peut devenir pauvre si on a été habitué à avoir des tas de choses quand on était petit et quand on devient adulte on ne sait pas s'arrêter d'acheter, d'acheter..
J'aimerais bien qu'il y ait un monde sans pauvreté avec beaucoup moins de gens riches avares.
Dans un monde de rêve la pauvreté n'existerait plus.
On pourrait demander aux pauvres ( à certains) et les aider aussi pour qu'ils arrêtent de boire, de fumer, de se droguer comme cela les autres, les riches, ne les regarderaient pas bizarrement et ils auraient plus envie de les aider, de partager.
Irina, deuxième année du cycle 3.

Les pauvres ne sont pas obligés de vivre dans la rue, on peut être pauvre et avoir un logement.
Les pauvres ne sont pas obligés de demander de l'argent dans les rues car c'est désagréable pour eux de faire ça, ils ne sont pas heureux de le faire.
Certains cachent leur pauvreté.
Bien souvent les pauvres ne vivent pas très longtemps.
Quand on n'a plus de travail, on ne gagne plus d'argent, on ne fait plus rien, on perd tout, et on peut même devenir très sale.
Certains pauvres n'osent pas demander de l'aide et ils deviennent encore plus pauvres.
Parfois, ils se mettent à boire et ils pensent que cela ira mieux mais ce n'est pas vrai.
Quand on est pauvre, on ne peut pas vivre normalement, et c'est injuste car les pauvres vivent et croisent des gens qui sont riches, ou très riches : et eux n'ont rien ou presque.
Quand on est pauvre, on peut aussi perdre ses amis, on peut finir tout seul.
Ce doit être possible de partager de l'argent avec les pauvres...
Jean, deuxième année du cycle 3.

Les pauvres n'ont pas d'argent alors ils ont du mal à bien se nourrir, bien se loger, bien s'habiller... bien vivre donc.
Certains pauvres ont plus de chance que les SDF, ils ont une maison mais ils sont malgré cela pauvres, ils sont malheureux.
D'autres ont un salaire, mais il est trop petit pour arriver à vivre normalement.
Certains pauvres sont aussi victimes du racisme des patrons : ils n'aiment pas les arabes, les chinois, les handicapés, les cheveux longs, etc. donc ils ne les emploient pas.
On peut trouver des pauvres mais dans des villes comme Las Vegas !
Ce n'est certainement pas génial d'être pauvre car on a besoin d'argent pour vivre... moi je n'aimerais pas être pauvre.
On pourrait construire des foyers pour les aider mais en tous les cas, l'état pourrait financer ça et il pourrait y avoir une gigantesque collecte dans le monde.
Matéo, deuxième année du cycle 3.

Un pauvre est une personne qui ne peut pas vivre de ses propres moyens et qui vit dans de mauvaises conditions.
Un pauvre n'a pas les moyens de vivre normalement, notamment les personnes très pauvres, qui n'ont pas de logement.
Il y a aussi des pauvres qui gagnent leur vie mais doivent faire tout le temps attention à leurs dépenses et ils travaillent énormément pour gagner peu d'argent, pas suffisamment pour vivre tranquillement.
Des pauvres, il y en a partout où il y a de l'argent et du commerce.
Il y a au moins deux catégories de pauvres :
- des gens qui travaillent dur mais qui ne gagnent pas assez et qui ont trop de charges à payer... mais ils travaillent vraiment et aimeraient s'en sortir.
- des gens qui deviennent ou choisissent d'être pauvres et ne veulent plus ou ne peuvent plus s'en sortir.
Une chose certaine, toujours et partout, on trouvera des pauvres.
C'est pourtant terrible de ne pas pouvoir profiter de sa vie à cause de la pauvreté.
Ne pas vouloir s'en sortir, c'est horrible car plus on attend, plus ce sera difficile de s'en sortir.
C'est vraiment injuste qu'il y ait des gens qui puissent avoir plusieurs maisons dans le monde et d'autres même pas de quoi se loger !
Il devrait y avoir plus d'aides versées aux pauvres.
On devrait pouvoir, même si c'est dur, se sortir de la pauvreté.
Il faudrait qu'il y ait plus d'endroits pour accueillir et aider les pauvres mais il faut aussi que les pauvres se mettent alors à chercher du travail pour s'en sortir.
Nina, troisième année du cycle 3.

La pauvreté est pour moi une injustice car sans argent impossible de vivre correctement et en devenant SDF impossible aussi de bien vivre !
Des pauvres, même s'il y en a énormément en Afrique, il y en a partout dans le monde.
Il y a des pauvres car notre monde est basé sur l'argent et le pouvoir : il y a des classes sociales (très riches, riches, moyennement riches, moyennement pauvres, pauvres, très pauvres).
Certains qui ont de la richesse et du pouvoir décident de ne pas employer ceux qui n'ont ni richesse ni pouvoir ou qui sont simplement différent (couleur de peau, handicap,...).
Il ne devrait plus y avoir des pauvres et des riches et un moyen, de lutter contre ça, c'est de donner la même éducation à chacun !
Matthieu, troisième année du cycle 3.

Les pauvres n'ont pas assez d'argent pour payer un loyer, de la nourriture.
Il y a parfois des pauvres qui achètent de la bière plutôt que de la bonne nourriture et quand ils veulent avoir un travail, ils sont rejetés car on croit qu'ils n'ont pas assez de capacités...
Quand un pauvre n'a plus assez d'argent pour payer son loyer, un huissier arrive, lui confisque ce qui lui reste comme meubles, objets et il est mis à la porte de son logement et peut donc devenir SDF.
Des pauvres il n'y en a pas que dans les pays pauvres, il y en a aussi dans les pays riches.
C'est dommage qu'il y ait des pauvres mais on pourrait avoir dans chaque ville un très grand foyer pour les accueillir, et les mairies pourraient donner du travail à ces pauvres.
Nicolas P., troisième année du cycle 3.

Les pauvres sont parfois dans la rue, ils mendient avec un chien ou en prenant l'air malade pour avoir un peu d'argent.
Certains vivent dans des cartons toute l'année.
Certains sont devenus pauvres car ils ont fait un peu n'importe quoi avec leur argent jusqu'à ce qu'ils n'en aient plus.
Les pauvres, ils ne sont pas tous au même niveau car il y en a qui travaillent et qui pourtant sont pauvres.
Il faudrait mieux organiser la société pour que la pauvreté disparaisse et en premier il faudrait convaincre le plus grand nombre que les pauvres ont aussi du talent et peuvent vraiment travailler.
Ella, troisième année du cycle 3.

Les pauvres sont la plupart du temps malheureux car ils ne peuvent pas mener une vie ordinaire.
Beaucoup de pauvres meurent jeunes.
Certains meurent de faim et de soif.
Certains se nourrissent dans les poubelles.
Et ça partout dans le monde, même en France et même si la France est un pays riche !
Certains sont pauvres à cause de la guerre comme en palestine.
Les pauvres ont du mal à réussir leur vie.
Bien souvent, les gens qui ne sont pas pauvres pensent qu'ils n'ont pas de talent, qu'ils sont des "moins que rien", des fainéants... pourtant tout le monde a un talent, une capacité...
On devrait absolument aider les pauvres, mais plus que les aider c'est tout faire pour qu'ils puissent avoir une vie ordinaire.
Il ne faut pas oublier qu'une pauvre est une personne comme une autre.
Dyanéle, troisième année du cycle 3.

Une personne qui n'a pas ou qui n'a plus les moyens de s'acheter de quoi manger, pour se loger est un pauvre... et des pauvres il y en a partout dans le monde.
Un pauvre doit se sentir mal dans sa peau parce qu'il voit autour de lui des gens qui réussissent, qui ont de l'argent, parfois même beaucoup.
Ils voient aussi d'autres gens, des pauvres qui meurent de faim, de froid.
Pourtant, ils sont aussi intelligents que les autres, ils n'ont juste pas eu de chance dans la vie.
Ils sont pourtant rejetés et même détestés.
Dans certains pays, on met tous les pauvres ensemble dans des quartiers pauvres en dehors des villes pour ne pas les voir : ce sont des ghettos, c'est horrible.
Certains pauvres ont choisi de rejeter notre société, la société de consommation et ont choisi de vivre autrement.
Il faudrait pourtant que chaque personne sur terre puisse vivre convenablement, sans gaspiller, sans polluer, sans être en guerre sans cesse.
Il faudrait que les riches soient obligés de partager une partie de leurs richesses avec les pauvres.
Younés, troisième année du cycle 3.

La pauvreté c'est quelque chose d'affreux car tu ne peux rien te payer du tout, tu peux même vivre dans la rue, sale, malheureux... tu peux perdre tes amis, ta faille et finir par vivre seul, abandonné.
Tu peux aussi mourir de pauvreté !
Les gens sont pauvres car parfois ils ont choisi d'être pauvres et de vivre autrement, mais souvent ils ont du travail mais un tout petit salaire qui n'est suffisant pour vivre correctement
ou parfois ils ne sont pas instruits (ils ne savent pas lire et écrire).
D'autres sont victimes des guerres dans leur pays.
Ils n'ont plus de quoi se soigner, se guérir...
Etre pauvre, c'est certainement avoir une vie pas facile, une vie de souffrance.
Floriane, troisième année du cycle 3.

vendredi, 01 juin 2007

Un monde de rêves ? …

Pour moi, le monde serait mieux que celui d’aujourd’hui : les maisons seraient en perles, il y aurait de partout des jardins avec du fer forgé, il n’y aurait plus de pollution, plus de voitures, seulement des chevaux.
Les écoles serainet en chocolat, on irait tout le temps à la plage…
On recyclerait vraiment ce qu’il y aurait à recycler.
Ce serait vraiment différent.
Gwenola, première année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves, ce serait un monde de paix où chacun réaliserait ses rêves : un monde où l’on pourrait réussir sa vie.
Tout le monde aurait un emploi, un monde oùil n’y aurait plus de pauvres et de riches, de SDF, il n’y aurait plus de racisme, plus d’enfants battuts, les handicapés pourraient aller à l’école…
Ce serait un monde où on pourrait partir en vacances là où on aurait envie.
On aurait tous des copains et des copines.
Il n’y aurait que du positif et plus du tout de négatif : tout irait mieux et ce serait un monde parfait.
Moi, dans ce monde, j’aurais une maison gigantesque avec tout ce dont j’aurais besoin.
Dyanéle, troisième année du cycle 3.

Ce serait bien car il n’y aurait plus de méchants, et tout serait possible.
On pourrait même être immortels !
Il n’y aurait plus besoin de présidents, on n’aurait plus besoin de visas pour aller d’un pays à un autre et en France tout le monde serait bien accueilli et pourrait y vivre bien.
Tout le monde aurait du travail, une maison.
Il n’y aurait plus de guerres.
Diego, deuxième année du cycle 3.

Un monde de rêves, en fait ce serait un monde de bonheur, de chance, de tranquillité… un monde bien sans violence, un monde propre, beau mais… un monde de rêves, comme ça, ça n’existe pas !
Un monde de rêves, ce serait, pour ceux qui y croient, comme le Paradis.
Un monde de rêves, c’est peut-être avoir une vie normale : pourquoi a-t-on besoin d’avoir un monde de rêves ?
Nicolas P., troisième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où il n’y aurait pas besoin d’argent car tout serait gratuit : il n’y aurait donc plus besoin de violence, de méchanceté, et il n’y aurait plus de problèmes de faim, de logements, de guerres…
Ce serait aussi un monde où il n’y aurait plus de pollution, un monde où l’on serait invulnérables face à la vieillesse.
Un monde où tout le monde aurait la maison de ses rêves.
Matéo, deuxième année du cycle 3.

Ce serait un monde sans morts, sans blessés, sans pollution, sans président, roi, reine, sans esclaves, sans riches ou pauvres, sans racisme…
Ce serait un monde de paix, d’amour, d’humour.
Ce serait un monde beau… « zen » !
Aïchoucha, deuxième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où un homme et une femme tomberait éperdument amoureux l’un de l’autre.
Ils s’offriraient des cadeaux d’amour : de petites étincelles de lumière bleuâtre.
Il y aurait des fleurs partout et l’homme serait galant et romantique.
Ce serait un monde oùl’amour gierait dans les cœurs des hommes et des femmes.
Matthieu, troisième année du cycle 3.

Un monde de rêves, ce serait le Paradis sur terre : j’aurais tout ce que je veux, une villa, et une piscine rien que pour moi. Je ferais tout ce dont j’ai envie, tout ce que j’aime…
Mais, je penserais aussi aux autres : à mes parents, ma famille, mes amis, les ans-abris, les pauvres…
Il faudrait partager pour qu’il n’y ait plus de malheur et que tout le maonde ait de la chance dans la vie.
Christina, première année du cycle 3.

Pour moi, ce serait que les habitants du monde entier arrêtent de polluer la Nature.
Ce serait aussi un monde où il n’y aurait plus d’adultes ou d’enfants battus, où il n’y aurait plus de racisme en France, en Amérique, en Afrique, etc.
Ce serait un monde où les gens se respecteraient : les adultes mais aussi les enfants.
Il n’y aurait plus de violence dans les stades, les rues.
Il n’y aurait plus que des « riches » partout surtout en Afrique : l’esclavage, la pauvreté auraient vraiment disparus.
Mais mes deux plus grands rêves seraint qu’il n’y ait plus de guerres dans le monde entier et que les gens qu’on aime ne meurent jamais.
Younés, troisième année du cycle 3.

Un monde de rêves pour moi, serait un monde sans pollution, sans geurres, sans enfants battus.
Ce serait un monde où il y aurait plus de vacances, de jeux électroniques, d’animaux.
J’aurais une maison au bord de la plage avec des volets bleus…
Nicolas B., deuxième année du cycle 3.

J’aimerais bien que les guerres s’arrêtent, qu’il n’y ait plus de pauvres, plus de racisme, plus de pollution, plus d’esclaves et de pauvres.
J’aimerais que tout le monde puisse vivre dans une grande maison.
J’aimerais qu’il n’y ait plus de disputes entre les parents.
Méziane, première année du cycle 3.

Un monde de rêves, ce serait un monde avec de la paix, sans esclaves, sans gens qui vivent dans la rue, sans pauvres et riches, sans chômage.
Ce serait un monde avec des dinosaures, des mammouths et des animaux légendaires qui nous protègeraient…
Vincent, première année du cycle 3.

Un monde de rêves, ce serait un monde où il n’y aurait plus de pauvres, de pollution, plus d’argent.
Il n’y aurait plus de voleurs, de meurtriers, de soldats et donc de guerres…
On pourrait voyager en se téléportant, on serait toujours en vacances.
On pourrait aller dans l’espace sans équipement.
Hugo, première année du cycle 3.

Un monde de rêves serait un monde tranquille avec des gens aimables sans violence, sans voleurs.
Il serait rempli de bonbons… bons pour la santé.
Il n’y aurait plus de chômage, les choses seraient faciles, il y aurait moins de problèmes.
Les objets, la nourriture seraient moins chers ce qu’il fait qu’il y aurait moins de pauvres, moins de guerres, moins d’enfants battus et plus d’amour…
Les microbes disparaîtraient, la pollution aussi.
Bref, un monde de rêves, pour moi, ce serait un monde avec beaucoup moins de choses négatives et plus de choses positives.
Floriane, troisième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où toutes mes envies, tous mes désirs se réaliseraient.
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où des familles l’auraient plus peur de recevoir une lettre annonçant que le père, le mari, le fils est mort d’une balle, à la guere ou dans la rue…
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où les enfants, les parents n’auraient plus besoin de voler, mendier pour vivre…
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où les enfants, es adultes, les femmes, les hommes, les blancs, les noirs seraient au même niveau…
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où sans pollution.
Nous pourrions l’avoir, mais malheureusement, nous le détruirions…
Nina, troisième année du cycle 3.

Ce serait un monde de rêves s’il n’y avait plus de guerres du tout sur Terre.
Les hommes ne seraient plus racistes, ceux qui n’avaient pas de paiers pourraient aller là où ils veulent, il n’y aurait plus de femmes d’hommes ou d’enfants maltraités. Il n’y aurait plus de pollution, on utiliserait du gaz naturel et pas du pétrole.
Irina, deuxième année du cycle 3.

Un monde de rêves, c’est un monde ou tout le monde serait heureux.
Un monde de rêves, c’est un monde sans problèmes.
Un monde de rêves, c’est un monde où si l’on a un rêve… il se réalise !
Un monde de rêves, c’est un monde où les parents ne se disputeraient pas, ne frapperaient pas leurs enfants.
Un monde de rêves, c’est un monde où il n’y aurait plus la guerre, le racisme.
Mais un monde de rêves, ça existe, car sans les rêves on ne serait rien…
Diana, première année du cycle 3.

Un monde de rêves ce serait un monde où les Pokemons existeraient vraiment : on pourrait jouer avec eux…
Mais ce serait aussi un monde sans pollution, sans guerre, et sans président.
Corentin, deuxième année du cycle 3.

D’après moi, un monde de rêves, ce serait un monde où il y aurait tout ce que je veux : je serais milliardaire, il n’y aurait d’ailleurs que des riches et il n’y aurait plus besoin de travailler. Je serais peut-être même roi mais dans un pays où les habitants auront le droit de faire ce qu’ils veulent…
Dans un monde de rêves, il n’y aurait plus de pollution, de guerre, tout serait gratuit, tout le monde aurait ce qu’il veut… un peu comme si tout le monde était roi ou reine !
Jean, deuxième année du cycle 3.
Mon monde de rêves serait qu’il n’y ait plus de pollution, d’esclavage, de pauvres, de racistes, d’enfants battus…
Je voudrais que tout le monde ait assez d’argent pour vivre convenablement.
Dans ce monde de rêves, on verrait enfin la paix, la tranquillité, l’amour.
Les paysages seraient beaux, ce serait même encore plus beau qu’un rêve !
Si tout le monde sur Terre s’y mettait alors ce monde de rêves serait réalisable…
Mouna, deuxième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où tout le monde serait riche.
Il n’y aurait plus d’usines polluantes et plus de végétation, des animaux libres.
Les gens ne seraient plus malades, ils vivraient le temps qu’ils souhaitent.
Naturellement, la guerre n’existerait plus, la violence non plus.
Dès notre naissance, nous saurions parler, marcher, lire écrire… et nous aurions le temps de rêver, sauter, trottiner, et même voler…
Ella, troisième année du cycle 3.

Pour moi, dans un monde de rêves, nous pourrions voler avec des ailes pour nous déplacer sans polluer et il n’y aurait plus de voiture, de moto, de camion ou de moyens de transport polluants.
Il n’y aurait plus de braconniers, de brigands, de dictateurs, de personnes dangereuses pour la nature ou les humains.
Les scientifiques auraient trouvé un produit pour réparer le trou de la couche d’ozone.
Ce monde serait bien car il n’y aurait plus auncun nager pour la nature, les animaux et les humains.
Julien, première année du cycle 3.

Dans un monde de rêves, il n’y aurait plus parents qui divorcent : tous les parents s’aimeraient et vivraient avec leurs enfants. Ils ne se disputeraient plus et ne rendraient plus tristes leurs enfants. Il y aurait de vieux couples qui vivraient au moins jusque 80 ans.
La vie serait normale, en famille.
Il n’y aurait plus de pollution : le monde serait beau, propre, la Terre ne se réchaufferait pas et les gens ne risqueraient pas de mourir à cause des usines, des déchets, etc.
Il n’y aurait plus de pauvres : tout le monde aurait une maison, pourrait fêter dans la joie Noël, les anniversaires, etc.
Dans ce monde, tout serait gratuit, les riches auraient partagé leur argent avec les pauvres.
Il n’y aurait plus de jeunes dans les rues qui font n’importe quoi et les villes seraient calmes.
Tout le monde aurait du travail.
On n’enfermerait plus les animaux dans des cages.
Ce serait un monde merveilleux de liberté…
Marina, deuxième année du cycle 3.

lundi, 21 mai 2007

Un débat en classe.

les enfants battus : débat en classe
(avril 2007)


Qu’est-ce qu’un enfant battu ?
C’est un enfant qui subit des violences de ses parents mais aussi du reste de sa famille, d’autres adultes, ou même d’autres enfants.
Il n’est pas libre, il est malheureux.
Un enfant battu est un enfant qui reçoit des coups, se fait maltraîter tous les jours, régulièrement et bien souvent avec force.
Il prend des coups, il y a donc de la violence physique mais il peut y avoir de la violence verbale ou psychologique : l’enfant peut être insulté, dévalorisé et cela peut même aller jusqu’au viol.
Certains enfants sont même parfois victime de commerce : on les vend, ils deviennent un peu comme des « esclaves »…
Les enfants battus sont donc en danger : ils peuvent en tomber malade et même en mourir.
Les enfants battus peuvent être des enfants que les parents pensent éduquer par la violence, les coups en croyant que c’est comme cela qu’il faut faire.
Les enfants battus ont du mal à en parler car ils peuvent croire que les autres enfants sont battus, car ils ont peur de faire du tort à leurs parents et qu’ils les aiment malgré tout.
Ils peuvent aussi être tellement effrayés par ceux qui les battent, qu’ils ont très peur de ce quiva arriver ensuite alors ils se taisent.
Ses parents aiment leurs enfants mais ils les aiment mal.
Mais ils peuvent être battus par des parents qui ne les aiment pas, qui sont des monstres ou qui sont malades : mentalement ou par l’alcolle ou la drogue.
Ce qui est grave, c’est que souvent les enfants battus quand ils ont eux-mêmes des enfants les battent car ils ne connaissent que la violence.

Heureusement, les enfants battus même s’ils sont malheureux peuvent avoir des moments où ils sont heureux et même s’en sortir…

Un enfant peut-il être frappé par un adulte ?
Certains d’entre-nous pensent que oui si un enfant fait une bêtise et que ses parents lui donnent une fessée, une claque alors c’est normal, c’est pour qu’il comprenne qu’il ne doit pas le faire, c’est pour l’aider…
Mais, ce n’est ni tous les jours, ni très fort et donc l’enfant n’est pas un enfant battu.

D’autres pensent que non, que les adultes n’ont pas à frapper un enfant, même une fois, même si ce n’est pas fort, qu’ils doivent plutôt expliquer, expliquer, et s’il le faut plusieurs fois et s’il le faut en donnant une sanction.

D’autres encore pensent qu’un parent peut craquer si l’enfant fait un peu trop n’importe quoi, et dépasse les limites des adultes mais alors si l’enfant prend une claque l’adulte doit ensuite en parler avec lui, et ils doivent arriver à se comprendre et à faire des efforts.
Mais même si l’enfant a dépssé les limites, et qu’il reçoit une claque, un coup de pied aux fesses cela doit rester exceptionnel.

Les adultes n’ont pas tous les droits sur les enfants, ils ont des devoirs : ils doivent les aider à grandir et puis il y a aussi la déclaration des droits de l’enfant, c’est un peu comme la déclaration des droits de l’homme et du citoyen mais pour les enfants.

En France, même, il n’y a pas si longtemps que dans les écoles les maîtres et maîtresses ou les professeurs n’ont plus le droit de frapper les enfants !

Et puis pour les personnes violentes, il existe des moyens pour canaliser la violence : des boules en caoutchouc à écraser, des objets à tirer, frapper, des mots que l’on peut écrire sur une feuille que l’on jette ensuite (car les écrire, ça calme) ou sortir et aller marcher dans la rue, se promener pour se calmer…

Que peut-on faire pour aider un enfant battu ?
Aider un enfant battu, c’est tout faire pour qu’il ne soit pas battu : apprendre à ses parents à mieux faire leur travail de parents et si ce n’est pas possible c’est enlever l’enfant à ses parents.
Certains pensent qu’il ne doit alors plus les voir, d’autres pensent qu’il doit continuer à les voir.
Certains pensent qu’il faut punir les parents, d’autres pensent qu’il faut les punir mais surtout les aider, certains pensent qu’il faut les mettre en prison, d’autres pensent qu’il faut les mettre en prison s’ils ont blessé (handicapé ou tué) leur enfant,…

Pour les enfants, tout le monde est d’accord pour dire qu’il faut les aider : un psychologue, un psychiatre, un médecin, un autre adulte et d’autres enfants.

Si on connaît un enfant battu, il faut en parler avec lui (surtout si c’est un copain ou un ami), lui expliquer que ce n’est pas normal, qu’il a des droits et en parler avec un adulte de confiance.

Il y a aussi des livres, des albums qui parlent des enfants battus et qui peuvent aider à comprendre, à trouver des solutions.

On peut aussi appeler (gratuitement) un numéro d’urgence : le 119.

Mais il faut toujours en parler et ne pas penser que ce n’est pas grave, que ça va passer…

Où y-a-t-il des enfants battus dans le monde ?
Certains pensaient que c’était dans les pays pauvres, surtout en Afrique.
Mais en fait, des enfants battus, il y en a de partout dans le monde.
Souvent, on ne s’en rend même pas compte de suite et parfois même trop tard.
En France, il y a des lois pour protéger les enfants : un enfant battu peut être retiré à sa famille et placé dans un foyer avec des éducateurs ou même dans une famille d’accueil.


Il y a des enfants battus, c’est vrai mais il y a aussi parfois des enfants qui battent leurs parents, mais aussi des femmes battues et plus rarement des hommes battus…

La violence c’est donc un problème grave.
Il faut en parler plutôt que la cacher.

C’est un peu le slogan de films publicitaires qui passent à la télévision depuis quelque mois.