vendredi, 01 juillet 2011
Un numéro spécial de notre journal...
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mercredi, 13 avril 2011
Le sport et l'argent ?
Nous avons réfléchi à la question posée par nos camarades de la classe du cycle 3 de l'école Toreille de Vence :
Est-ce que c'est normal que des sportifs gagnent autant d'argent ?
Voici nos réflexions :
En fait, plus le sport est connu, plus on y gagne de l'argent !
Un exemple : le football est un sport connu, alors plein de gens vont voir des matches en vrai ou à la télévision alors que le triathlon n'est pas un sport très connu et peu de gens s'y intéressent.
C'est du coup exactement pareil pour les sportifs : si ils jouent à un sport connu, ils vont gagner de l'argent et devenir célèbres et plus ils vont être célèbres, plus ils vont gagner de l'argent.
ET cela grâce à leurs salaires mais aussi à la publicité et aux sponsors...
Moi, je pense que c'est normal qu'ils gagnent bien leurs vies mais en même temps non :
Ils ont choisi ce sport pour l'argent ou parce que c'était leur passion.
En plus, beaucoup de gens aiment ce sport, vont voir les matches ou les courses, donc ils travaillent pour eux...
Mais il y a des gens qui travaillent beaucoup et font du travail utile, nécessaire dans les hôpitaux, par exemple, et qui ne gagnent pas beaucoup d'argent alors ce n'est pas normal.
Le sport, surtout à la télévision, ce n'est pas le plus important dans la vie (ce n'est pas comme en faire vraiment car c'est c'est important pour notre santé).
Il y en a qui en deviennent même fous de ces sportifs : ils pensent, par exemple, que s'ils ne boivent pas la même eau que leur sportif préféré, Zinédine Zidane, alors ça ne va pas aller !!!
Il y a aussi des associations qui auraient besoin de tout cet argent alors que certains sportifs ne savent même pas quoi en faire !
Je propose que les sportifs qui gagent beaucoup d'argent cèdent une part de leur salaire à des associations contre la faim, la pauvreté et que l'on augmente le salaire des personnes qui sauvent des vies (pompiers, médecins, hospitaliers,...).
Moi, je peux me passer de ces grands sportifs car ils ne m'intéressent pas et je ne regarde pas beaucoup le sport à la télévision : je préfère en pratiquer.
Maureen, troisième année du cycle 3.
Ce n'est pas vraiment normal que certains sportifs gagnent autant d'argent alors qu'il y a des métiers bien plus importants que sportifs et qui devraient gagner mieux : les pompiers, les infirmiers,...
Certains pensent que c'est normal parce que ces grands sportifs, comme certains footballeurs, font rêver, sont beaux, merveilleux,...
Il y en a même qui une fois qu'ils ont arrêté leur carrière continue à gagner autant d'argent et parfois même plus.
Moi, je pense que ce n'est pas juste.
Je proposerais que ces gens qui gagnent des millions et des millions d'euros par an en donnent une partie à des associations pour ceux qui n'ont rien, pour les sans-abris,...
Souvent quand ils sont devenus célèbres, ils tournent des publicités, parlent à la télévision et ils gagnent encore plus d'argent.
On les entend même dire parfois : « C'est triste, il faudrait que ça change ! » et il y en a beaucoup qui ne font rien : ils ne donneront même pas un cent pour les pauvres !
Oui, on pourrait très bien se passer d'eux alors que l'on ne pourrait pas se passer de ceux qui nous sauvent, nous aident.
C'est vraiment injuste.
Josefine, troisième année du cycle 3.
Non, ce n'est pas normal : un médecin va nous donner des médicaments, nous soigner, et parfois même nous sauver alors qu'un sportif que fait-il ? Rien d 'aussi important !
Ce n'est donc pas du tout normal qu'un sportif gagne plus qu'un autre métier.
Il faudrait qu'ils gagnent moins d'argent et que tout le monde gagne bien sa vie.
Moi, je pourrai me passer de ces sportifs car ce n'est pas d'eux dont j'ai besoin. Channèze, troisième année du cycle 3.
Ce ne sont finalement que des sportifs donc ce n'est pas normal que certains d'entre-eux gagnent autant d'argent, surtout qu'ils ne font rien de vraiment important : ils ne sauvent pas des vies, ils ne soignent pas des gens,...
Certains sportifs, très bon, comme les handballeurs français gagnent, sont célèbres et ils gagnent normalement leur vie.
Ce n'est pas normal non plus que d'autres sportifs moins bons qu'eux gagnent énormément plus : c'est illogique, c'est injuste !
Ce serait de vrais héros, si l'on peut dire, s'ils donnaient une partie de leur argent aux pauvres, à ceux qui n'ont presque rien...
Ils ne sont pas si importants que ça, moi je peux m'en passer car j'ai d'autres choses à faire dans ma vie.
Teo, troisième année du cycle 3.
Nous nos parents travaillent et ils ne gagnent vraiment pas autant que certains sportifs qui gagnent des millions comme Thierry Henri, un footballeur qui gagne 18,3 millions d'euros par mois ou Tony Parker, un basketteur qui gagne 12,2 millions par mois !
Non, ce n'est pas normal !
Nos parents travaillent, paient des impôts qui parfois servent même à ces sportifs.
Que font ces sportifs de tout leur argent ?
Ils le gardent pour eux la plupart du temps !
En plus, certains se trainent sur le terrain, marchent, ne se donnent pas à fond.
Ils feraient mieux de partager plutôt que de trainer dans les magasins de mode et s'acheter un peu n'importe quoi.
Je proposerais qu'ils donnent une partie de ce qu'ils gagnent pour aider les autres et qu'on les paie moins : ils devraient mériter leur argent et donc il y aurait plus d'argent pour les autres...
Noémie, troisième année du cycle 3.
Je pense que certains sportifs de « haut niveau » sont beaucoup trop payés pour ce qu'ils font vraiment alors que des pompiers sauvent des vies, prennent des risques et sont mal payés, ce qui n'est pas le cas de ces sportifs, je pense...
En plus de leurs salaires, ils gagnent encore de l'argent autrement : quand on achète par exemple un maillot d'un joueur, une partie de l'argent lui revient.
Une partie des impôts leur revient car elle permet de leur payer des grands stades par exemple.
Ils gagnent autant d'argent parce qu'ils sont payés et que nous payons pour les voir courir sur un stade de foot, de baseball, de handball, etc.
Le pire c'est que certains quand ils jouent ne se donnent même pas à fond !!!
On parle souvent du football mais ce n'est pas le seul sport où l'on gagne beaucoup d'argent : c'est la même chose dans la formule 1, le baseball, le golf et même pour certains joueurs de rugby !
Je pense que c'est du grand n'importe quoi !
Des gens sauvent des vies mais ils sont moins bien payés que des sportifs de haut niveau.
Je proposerais que les sportifs les mieux payés donnent 30 % de leurs fortunes aux associations comme la Croix Rouge, les Restos du Coeur, la Banque Alimentaire,... mais aussi pour mieux payer les infirmières, les pompiers, etc.
On pourrait vraiment se passer de ces sportifs professionnels, ils ne servent pas vraiment à grand chose sauf peut-être de faire le bonheur de certains et que parfois ils peuvent nous donner la passion du sport qu'ils pratiquent...
Marie, troisième année du cycle 3.
Je pense que ce n'est pas normal que certains sportifs gagnent autant d'argent alors que dans beaucoup de métiers on n'en gagnera jamais autant.
Certains sportifs gagnent même en un mois autant d'argent que d'autres personnes qui travaillent durant toute leur vie !!!
C'est aussi vrai que ce ne sont pas tous les sportifs qui gagnent autant d'argent que ça : par exemple, dans le rugby, il n'y a que quelques joueurs qui gagnent beaucoup d'argent, les autres gagnent normalement leur vie.
Mais il y a beaucoup de footballeurs qui ont un salaire très élevé, même si ce ne sont pas tous les footballeurs.
Ce n'est pas loyal d'avoir des gens qui gagnent énormément d'argent alors qu'il y en a comme les balayeurs, qui font un travail nécessaire, qui ne gagnent presque rien.
Si tous les balayeurs d'une ville s'arrêtaient de la nettoyer, on aurait une ville sale alors que si tous les sportifs qui gagnent beaucoup d'argent s'arrêtaient, ça ne changerait rien...
Il faudrait déjà que tous les sportifs soient payés au même salaire.
On pourrait s'en passer car à quoi cela sert-il de donner des millions et des millions à ces sportifs alors que d'autres ne gagnent presque rien : il n'y a qu'à donner ces millions et ces millions à ceux qui n'ont rien ou presque rien.
Victor, troisième année du cycle 3.
Je pense que ce n’est pas normal que certains sportifs gagnent autant d’argent (et je dis bien certains car, par exemple, les escrimeurs n’en gagnent pas beaucoup).
Je prends l’exemple de Zinedine Zidane qui ne joue plus au football et qui pourtant gagne encore plus d’argent que quand il y jouait !!!
Et tout ça grâce à la publicité : il fait une publicité pour une eau minérale et hop de très nombreuses personnes vont acheter, sans réfléchir, cette eau et lui il gagne de l’argent quasiment sans rien faire !!!
Faire 8h00 de photos, ce doit être ennuyeux, mais fatiguant, non !!!
Je continue avec un exemple du football : un joueur qui ne rentre qu’à cinq minutes de la fin, si en plus il est célèbre, il gagne autant d’argent que s’il avait joué tout le match, c’est injuste !!!
Sans compter que les femmes sont beaucoup moins payées que les hommes dans le sport aussi !!!
Je pense qu’un pompier qui risque sa vie et qui en sauve d’autres est beaucoup plus important que n’importe quel sportif au monde car lui il fait quelque chose d’utile.
On pourrait très bien vivre sans se jeter sur sa télévision dès qu’il y a un match alors qu’on ne pourrait pas vivre sans pompier, sans infirmier, sans éboueur, etc. Pauline, troisième année du cycle 3.
C’est à la fois normal et pas normal que certains sportifs gagnent autant d’argent car si ils sont connus, c’est parce qu’ils jouent bien, qu’ils passent du coup à la télévision et qu’en plus nous achetons des choses dont ils parlent dans les publicités.
Mais ce n’est pas normal car ils ne font jamais rien pour partager, aider les pauvres même si parfois ils disent qu’il faut le faire…
Matteo, première année du cycle 3.
Moi, je ne trouve pas ça normal que des sportifs gagnent beaucoup d’argent car, surtout les footballeurs, s’ils deviennent des stars c’est grâce à leurs équipiers qui n’en gagnent pas autant qu’eux.
Et puis ce n’est pas normal que des sportifs gagnent des millions d’euros alors que des docteurs, des sauveteurs n’en gagneront jamais autant !
Moi, je pense que si on arrêtait de les passer sans arrêt à la télévision ce serait bien et que l’on pourrait se passer d’eux car ils ne servent à rien… alors qu’un cuisinier, un chirurgien, une femme de ménage nous servent vraiment.
Marine, première année du cycle 3.
Ce n’est pas normal, par exemple, qu’un boulanger qui se lève à trois heures du matin, qui travaille des heures et des heures pour faire notre pain ne gagne presque rien par rapport à certains sportifs.
Ce n’est pas normal, le boulanger devrait être payé plus que les sportifs.
On pourrait se passer d’un sportif professionnel mais d’un boulanger, d’un docteur : non !
Manon, première année du cycle 3.
Je pense que certains sportifs devraient gagner moins d’argent car ils ne sauvent pas de vie, ne font rien d’important.
Ceux qui devraient gagner plus d’argent ce sont ceux qui font des choses utiles, qui sauvent des vies.
On pourrait se passer de ces sportifs, d’acheter leurs maillots,…
Léo P. première année du cycle 3.
Moi, je pense que les sportifs ne jouent que pour gagner beaucoup d’argent et ce n’est pas normal.
S’ils gagnaient moins, ils ne joueraient plus.
En plus, ils se vantent souvent de gagner beaucoup d’argent.
A la place de s’acheter de grosses voitures, des motos, des choses inutiles, ils feraient mieux de penser aux pauvres et les aider…
Ce serait bien que les gens s’intéressent moins aux sportifs et arrêtent de les faire gagner encore plus d’argent en achetant ce qu’ils vantent dans les publicités.
Pour moi, ils ne servent vraiment pas à grand-chose à part faire de la publicité, se vanter d’être les meilleurs et de gagner beaucoup d’argent, alors oui je peux m’en passer facilement.
Alicia, deuxième année du cycle 3.
Non, ce n’est pas normal que les sportifs gagnent autant d’argent surtout ceux qui ne respectent pas les règles, donnent de mauvais exemples.
Il faudrait qu’ils soient moins payés ou qu’au moins ils gagnent de l’argent par rapport au respect des règles, des autres.
Moi, je pense que je pourrai me passer de ces sportifs mais que je ne pourrai pas, par exemple, me passer de mon médecin.
Yohni, deuxième année du cycle 3.
Moi, je pense que par rapport à la police qui sauve des vies, aide les autres et qui ne gagne pas grand-chose par rapport à un grand tennisman par exemple et bien ce n’est pas normal.
Même chose pour les pompiers, les docteurs,…
Ce n’est donc pas juste.
Moi, je propose de baisser le salaire de certains sportifs et d’augmenter le salaire du travail sérieux.
Dalip, deuxième année du cycle 3.
Ce n’est pas juste que certains sportifs qui font la même chose que d’autres sportifs gagnent plus qu’eux.
Je propose qu’ils aient tous la même paye.
Non, on ne pourrait pas se passer des sportifs car que ferait-on des stades ?
Il faudrait les détruire et replanter de la vraie herbe à la place de l’herbe synthétique ?
Lucas, première année du cycle 3.
Nous, nous avons notre vie et les sportifs professionnels ont leur vie et souvent ils gagnent beaucoup d’argent, parfois des centaines de millions alors que beaucoup de gens n’en gagneront jamais autant.
Ce n’est pas juste.
Fares, deuxième année du cycle 3.
Non, ce n’est pas normal que des sportifs gagnent autant d’argent alors que beaucoup de gens n’en gagnent pas ou presque pas !
En plus, certains en gagnent autant seulement pour cinq minutes sur un terrain !
Il y a des cas comme Zidane qui gagne plus ou autant d’argent que quand il jouait alors qu’il est maintenant à la retraite.
Il devrait tous gagner moins d’argent et pas que les footballeurs, mais aussi les tennismen, les rugbymen, les pilotes de voitures de course,…
Il faudrait que le salaire soit égal pour tous dans le monde.
Et puis, si on veut voir du sport, on peut se passer des professionnels et aller voir des amateurs, ils jouent bien aussi.
Et puis comme le sport ce n’est pas du tout ma matière préférée, je peux très bien m’en passer… J’ai d’autres choses plus importantes dans ma vie.
Mélodie, deuxième année du cycle 3.
Pompier, c’est moins payé que footballeur, beaucoup moins payé et ce n’est pas normal.
Il faudrait arrêter de payer autant les footballeurs et surtout que quand ils ne jouent plus, ils ne gagnent plus autant d’argent que quand ils jouaient et même plus parfois…
On ne pourrait pas se passer de manger du pain donc on ne pourrait pas se passer d’un boulanger alors que si on se passe des sportifs professionnels cela ne changera pas nos vies.
Leo DM. deuxième année du cycle 3.
Moi, je pense que ce n'est pas normal que des sportifs gagnent autant d'argent et que parfois nos parents payent même dans leurs impôts pour eux alors que ces sportifs, comme Zidane, par exemple, gardent leur argent pour eux alors qu'ils auraient de quoi partager...
Les grands sportifs et même les grandes sportives pourraient donner une partie de leurs revenus aux associations qui aident les enfants ou les adultes en difficultés.
Moi, je pourrai sans le moindre problème vivre sans ces sportifs, surtout ceux qui envahissent nos écrans, car ce ne sont pas eux qui veillent sur ma santé.
Les chirurgiens, par exemple, sauvent des vies et font de très longues études mais ils gagnent largement moins que ces grands sportifs.
Et puis, je ne m'intéresse pas beaucoup à eux.
Ces grands sportifs, sans leurs équipes, sans leurs entraineurs et sans public, ils ne sont rien.
Olivia, troisième année du cycle 3.
Moi, je pense que c'est oui et non en même temps :
Oui, car si ils se donnent à fond dans leur travail c'est normal de gagner de l'argent et non car ceux qui se donnent beaucoup dans leur travail et qui ne sont pas des sportifs gagnent beaucoup moins.
Je propose que les salaires baissent pour les sportifs qui gagnent beaucoup d'argent et que les salaires du travail augmentent.
Moi, je pourrai très bien me passer de ces sportifs ou de ces sportives et de leur publicité car je ne vais pas aller acheter, par exemple, le maillot de Ronaldo ou celui de Benzema, ce serait ridicule.
Thomas, première année du cycle 3.
Ce n'est pas normal que certains sportifs gagnent énormément d'argent et moi, si j'étais eux, je partagerais avec ceux qui sont pauvres ou qui n'ont rien.
Je pense que ce n'est pas bien de gagner autant d'argent sans penser aux autres, à ceux qui ont faim et ce serait bien que cela s'arrête.
Oui, on devrait pouvoir se passer de ces grands sportifs.
Emma, première année du cycle 3.
C'est en même temps normal et pas normal :
En effet, pour vivre, ils ont besoin de gagner de l'argent mais ils en gagnent trop.
De plus, ils ne font pas vraiment des choses extraordinaires pour leur pays alors que d'autres personnes comme les pompiers, les secouristes, comme ceux de la Croix Rouge, eux font des choses importantes : ils sauvent des vies, aident les autres !
Je pense que ce sont ces personnes qu'il faudrait beaucoup mieux payer et du coup moins payer ces « grands » sportifs qui gagnent énormément d'argent.
Et puis, parfois, ils en gagnent encore plus en faisant des publicités même pour des choses sans rapport avec le sport .
Souvent, ils ne pensent même pas à aider les autres, les pauvres même si parfois ils disent qu'il faudrait le faire...
Martin, première année du cycle 3.
C'est normal et en même temps pas normal que certains sportifs gagnent autant d'argent. C'est normal car c'est leur métier, ils aiment ça et se donnent à fond.
Ce n'est pas normal car un pompier qui va sauver des vies, prendre des risques, se donner aussi à fond ne gagnent presque rien par rapport à eux qui en fait ne font rien d'extraordinaire, ils font juste du sport finalement ! De plus, tout cet argent, ils ne pensent presque jamais à le partager avec d'autres personnes qui en auraient besoin.
Ce n'est pas qu'ils s'en moquent, je pense, mais ils n'y pensent pas, ils ne pensent qu'à eux... Ce serait bien qu'ils donnent une partie de tout cet argent aux pauvres mais je pense que le jour où cela arrivera, il faudrait alors faire une grande fête !!!
Finalement, le sport, un match, ce ne sont que des « jeux » alors on pourrait se passer d'aller voir ces sportifs.
Amélie, première année du cycle 3.
Moi, je dis que c’est en même temps normal et pas normal…
Gagner sa vie, c’est normal mais là par rapport à un pompier qui sauve des vies alors qu’un footballeur joue seulement pour de l’argent, c’est exagéré.
Il y a aussi des sportifs qui gagnent plein d’argent, trop et des gens qui sont sans abris, sans nourriture et là ce n’est pas normal.
Il faudrait que ça s’arrête pour de bon.
Moi, je souhaite que ces sportifs qui gagnent trop d’argent en gagnent beaucoup moins.
Moi, je peux me passer de ces sportifs là.
Sarah, première année du cycle 3.
Quelques points qui sont ressortis de notre discussion :
- Il n'y a pas que les footballeurs qui gagnent énormément.
- Il y a des sports : golf, basket, Formule 1, Moto GP, baseball, football américain ou quelques sportifs gagnent autant et même plus que des footballeurs.
- Il y a des sports professionnels dans lesquels les sportifs ont même du mal à gagner leurs vies.
- Il y a des sports où les femmes ne gagnent pas autant d'argent que les hommes.
- Il y a une différence entre le sport professionnel et le sport amateur.
- Même dans le football, tous les footballeurs ne gagnent pas énormément.
- Il y a des différences de salaire entre les sportifs d'un même sport.
- Il y a des différences énormes entre sportifs de sports différents.
- Il y a une grande injustice à gagner autant alors que des gens, par millions, n'ont rien ou presque rien.
- On nous fait croire que c'est sportifs sont importants.
- On croit que ces sportifs sont importants.
- On doit pouvoir s'en passer alors que l'on ne peut pas se passer d'un médecin, d'une infirmière, d'un boulanger, d'un balayeur, etc.
- Le sport c'est avant tout un loisir et pratiquer un sport c'est important pour la santé mais passer son temps à acheter des maillots d'une grande marque parce qu'un sportif dit que c'est bien ou boire l'eau qu'un sportif nous dit être la meilleure, c'est être prisonnier de la publicité et contribuer à lui faire gagner encore plus d'argent.
- Et d'autres choses encore que vous découvrirez dans nos textes à partir de jeudi...
Le cycle 3.
Au fait, on pourrait se poser la même question
avec des stars du monde du spectacle :
Est-ce normal que des artistes
gagnent autant d'argent ?
20:38 Publié dans Nos débats ..., Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 14 mars 2011
Le Lavandou : merci de faire passer l'info...
Inutile d'appeler les familles chez elles avant 21h00...
En effet, nous prenons le repas de ce soir tous ensemble dans une salle prêtée par une famille qui a un village vacances, proche de l'école
Nous y avons rendez-vous à 19h00 après la boum et donc les enfants seront dans les familles seulement vers 21h00.
Merci à celles et ceux d'entre-vous qui peuvent faire passer l'information aux autres parents.
Jean-Charles.
18:23 Publié dans Nos journées ..., Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 06 mars 2011
Les humains : Différents et-ou semblables ?
Est-ce que nous sommes différents, semblables ?
Ci-dessous ce que nous pensons de cette question posée par nos correspondantEs du Lavandou (83) :
Moi, je pense que ce qui fait que nous sommes tous les mêmes c'est que nous sommes tous des êtres humains, des homos sapiens sapiens et que donc nous sommes tous et toutes constitués de la même façon.
Mais, ce qui fait que nous sommes tous différents c'est que nous n'avons pas les mêmes goûts, les mêmes caractères et la même éducation.
Nous avons aussi un physique différent : certain-e-s sont grands, maigres, gros, les yeux bleus, verts, marron, gris, la peau noire, blanche, etc.
Pour moi, si nous étions tous semblables, les mêmes et bien ce ne serait pas très bien : je penserais les mêmes choses que ma voisine, je ferais les mêmes choses qu'elle, nous aurions toutes et tous les mêmes goûts, les mêmes idées, la même vie.
Ce serait un monde dans lequel je n'aimerais pas vivre.
Channèze, troisième année du cycle 3.
Nous sommes tous pareils car nous sommes tous nés sur la même Terre, de la même façon et que nous appartenons tous à la même espèce : l'espèce humaine.
Nous avons tous la même manière de naître et de grandir : du bébé à l'adulte.
Nous sommes aussi à la fais pareils mais à la fois tous différents car nous n'avons pas les mêmes goûts, les mêmes habitudes, les mêmes idées, la même éducation et même si nous pouvons nous ressembler beaucoup chacun-e de nous est unique.
Un monde dans lequel tout le monde serait identique serait un monde ennuyeux car tout le monde ferait la même chose, aurait les mêmes envies.
Moi, je n'aimerais pas vivre dans un monde comme ça car j'aime bien découvrir de nouvelles choses...
Martin, première année du cycle 3.
Nous sommes tous faits de la même manière : un corps, des bras, des jambes, des doigts, une tête,... et c'est normal puisque nous sommes tous des êtres humains.
Mais nous sommes tous différents car, par exemple, nos empreintes digitales sont uniques.
Nous sommes tous différents car nous ne vivons pas tous de la même manière.
Si tout le monde était semblable, ce ne serait pas un monde agréable.
Léo P, première année du cycle 3.
Nous sommes tous les mêmes car nous sommes tous nés dans le ventre d'une mère, nous avons tous passé par différents stades : bébé, enfant, adolescent, adulte.
Nous sommes tous formés de la même manière.
Nous sommes tous des êtres humains.
Mais nous sommes tous différents et on le sait aujourd'hui car chacun-e de nous a une ADN différente des autres, des empreintes digitales différentes,...
Et puis nous avons tous une apparence différente (même s'il y a des similitudes, des ressemblances), des goûts différents, des idées différentes.
Un monde où tout le monde serait identique serait un monde ennuyeux, sans surprise.
On n'aurait qu'à regarder l'autre pour savoir ce qui va se passer, ce que l'on pense, et ce dont on a envie ... On se verrait comme dans un miroir : ce serait terrible !
Téo, troisième année du cycle 3.
Heureusement que nous sommes tous différents car sinon nous serions tous les mêmes et ce ne serait pas amusant...
Nous aurions tous les mêmes pensées, nous ferions tous les mêmes choses, et nous nous embêterions : Moi je n'aimerais pas vivre dans un tel monde.
Emma, première année du cycle 3.
Pour que nous soyons tous pareils, il faudrait que nous ayons toutes et tous le même physique, le même caractère, les mêmes goûts, les mêmes envies... ce qui n'est absolument pas le cas : nous sommes tous différents, même si parfois il y a des ressemblances.
Si nous étions tous pareils, il n'y aurait pas ou peu de choix, de diversités.
Yohni, deuxième année du cycle 3.
Si je prends un exemple : Yohni et moi.
Nous sommes tous les deux en cm 1 mais nous ne sommes pas pareils : nous ne travaillons pas de la même manière, nous ne nous ressemblons pas mais nous avons les mêmes droits.
Nous sommes tous comme ça : à la fois différents et à la fois pareils.
Nous sommes tous des humains, avec le pouvoir de grandir, de vivre mais nous n'y arrivons pas tous de la même façon.
Nous n'avons pas tous la même chance dans la vie, nous ne vivons pas tous de la même manière, aux mêmes endroits,...
Ce ne serait pas amusant de vivre dans un monde où tous les humains seraient pareils : il n'y aurait rien à découvrir, connaître, les voyages ne seraient pas intéressants, il n'y aurait pas de cultures différentes, plus personne ne ferait des choses pour elle même...
Leo DM, deuxième année du cycle 3.
Nous avons (presque) tous deux bras, deux jambes, une tête, un corps,... Nous sommes tous formés de la même manière puisque nous appartenons à l'espèce humaine.
Ce qui nous différencie ce sont nos cheveux, nos yeux, notre peau, nos goûts, nos origines,...
Moi, je ne voudrais surtout pas vivre dans un monde où tout le monde serait pareil car tout serait pareil dans nos vies, plus de nouveauté, plus de découverte.
Lucas, première année du cycle 3.
Nous sommes tous les mêmes puisque nous appartenons tous à la même famille : les humains.
Ce qui nous différencie c'est notre ADN qui fait que nous n'avons pas les mêmes cheveux, les mêmes yeux, les mêmes tailles, les mêmes couleurs de peau et qui fait que nous sommes donc aussi tous uniques !
Si tout le monde était pareil, il suffirait de se regarder soi même pour savoir ce que l'autre pense.
On resterait enfermé chez soi, on ne se parlerait plus, on ne ferait plus connaissance car il n'y aurait rien à découvrir chez l'autre, on le saurait déjà, il n'y aurait plus aucune surprise...
Moi, je ne voudrais pas vivre dans un monde comme celui-ci ennuyeux, triste, déprimant.
Victor, troisième année du cycle 3.
Nous sommes tous des êtres humains, fabriqués de la même façon mais avec des différences comme la taille, la couleur de peau, les pensées, les goûts, le mode de vie, la morale, la culture, l'éducation...
Vivre dans un monde où tout le monde serait identique serait totalement inintéressant, ennuyeux et je pense qu'à la fin nous ne serions plus des hommes, nous perdrions petit à petit notre intelligence.
Moi, je n'aimerais pas vivre dans un monde de ce genre.
Olivia, troisième année du cycle 3;
Oui, même si nous sommes des humains nous sommes tous différents car nous n'avons pas les mêmes religions, les mêmes connaissances, les mêmes origines, les mêmes habitudes, les mêmes façons de vivre...
Moi, je pense que c'est bien ainsi car le monde n'est pas ennuyeux, il y a plein de choses à faire, à découvrir.
Fares, deuxième année du cycle 3.
Je ne voudrais pas faire partie d'un monde où tout le monde serait pareil car on pourrait même tous s'appeler de la même façon puisque nous ferions tous la même chose, nous penserions tous pareil et nous serions les mêmes...
Moi, je préfère vivre dans un monde où tout le monde est différent.
Manon, première année du cycle 3.
Ce qui fait que nous sommes tous les mêmes c'est que nous sommes tous nés sur la même planète, et que nous sommes tous des humains, nés et ayant grandi de la même façon...
Il y a quelque chose que nous avons tous en commun... Combien y-a-t-il d'espèces d'hommes sur Terre ?!... Une seule : l'humain, l'homo sapiens sapiens, nous donc et cela que l'on soit européen, africain, asiatique, américain,...
Ce qui fait que nous sommes tous différents, c'est que nous sommes tous aussi uniques !
Notre ADN est unique, nos empreintes digitales aussi.
Ce qui nous différencie aussi ce sont notre physique, notre éducation, notre caractère,...
Si nous devions vivre dans un monde où tout le monde serait pareil, ce serait horrible !!!
Moi, je ne voudrais absolument pas y vivre car j'aime découvrir les autres, ce qu'ils pensent, ce qu'ils font...
Maureen, troisième année du cycle 3.
Nous sommes tous de la même espèce, l'espèce humaine et même s'il y a des différences de tailles, de couleurs, de caractères, etc. nous sommes tous des humains.
Nous sommes donc tous pareils et tous différents et heureusement car sinon le monde serait sans surprise, sans découverte, sans joie...
Marine, première année du cycle 3.
Ce qui fait que nous sommes tous différents c'est, par exemple, nos origines : nous pouvons être nés riches ou pauvres.
C'est aussi notre éducation, notre religion, notre caractère, notre couleur de peau, ...
Dans un monde où nous serions tous pareils, nous ferions tous les mêmes choses, sans réfléchir, comme des machines mais d'un autre côté il n'y aurait pas de malheur...
Moi comme j'ai eu des malheurs, je voudrais bien y vivre même s'il y en a qui n'aimerait pas y vivre.
Dalip, deuxième année du cycle 3.
Nous avons toutes et tous des points en commun mais en même temps, nous sommes toutes et tous différents : nous n’avons pas les mêmes envies, les mêmes goûts,…
Un monde où tout le monde serait pareil serait « sans couleur », sans vie, alors qu’aujourd’hui ce qui est bien c’est que le monde est « coloré », plein de vie…
Moi, je n’aimerais pas vivre dans un monde immobile, sans changement : ce serait trop triste !
Amélie, deuxième année du cycle 3.
Nous venons toutes et tous de la même planète, nous sommes des humains donc toutes et tous nous sommes semblables mais nous sommes aussi différents : chacun a un ADN personnel, des goûts personnels.
Nous ne parlons pas toutes et tous la même langue, nous n’avons pas toutes et tous la même écriture, la même couleur de peau, la même culture, le même caractère…
Si nous étions toutes et tous identiques nous serions comme des robots, nous ferions toutes et tous les mêmes choses, en pensant la même chose, en vivant les mêmes choses…
Moi, je n’aimerais pas être obligée de faire comme tout le monde !
Noémie, troisième année du cycle 3.
Si nous étions tous les mêmes, nous n’aurions pas besoin des autres puisque ils auraient comme nous les mêmes goûts, les mêmes pensées, les mêmes idées, le même corps,…
Nous avons des points communs comme nos besoins : manger, boire, dormir,…
Nous avons aussi des différences : langues, couleurs de peau, écriture,…
C’est tout ce mélange qui est bien alors que si tout le monde était pareil, on aurait tous une seule même pensée.
Moi, je n’aimerais pas que tout le monde fasse comme moi, par exemple :
J’ai envie d’aller en Chine (les autres aussi), je pars en Chine (les autres aussi)…
Alicia, deuxième année du cycle 3.
Que l’on soit chinois, irlandais, mexicaine, guadeloupéenne, pakistanais,… quand on regarde à l’intérieur de nous, les êtres humains, on y voit toujours la même chose (sauf naturellement si on a eu une opération chirurgicale ou une malformation).
Nous avons donc tous un point commun, c’est être des humains, venant toutes et tous de la même planète : la Terre.
Nous pouvons aimer ou pas les mêmes choses, avoir ou pas les mêmes goûts, avoir ou pas la même couleur de peau, la même langue, la même origine mais nous sommes toutes et tous égaux.
Les racistes pensent qu’il y a plusieurs races sur Terre et que seules certaines races sont évoluées mais ils se trompent il n’y a sur Terre aujourd’hui qu’une seule espèce humaine : les hommes.
Chaque être humain ensuite est unique : on a tous notre ADN, nos empreintes digitales, notre vie,…
On est donc toutes et tous à la fois semblables et différents et c’est tant mieux ainsi.
Je ne voudrais pas vivre dans un monde où il serait inutile de s’intéresser à un voisin, un ami puisqu’il suffirait de se regarder pour tout connaître des autres.
Pauline, troisième année du cycle 3.
Nous avons tous des points communs comme dans certaines régions, la même couleur de peau, la même langue mais ce n’est pas obligé : on peut aussi être différents.
Parfois aussi on devrait avoir des points communs mais on a eu des problèmes à la naissance ou avant la naissance aux yeux, au cerveau,… et du coup on est aussi différents.
Mais nous sommes aussi tous des humains, de la même espèce.
Si nous étions tous pareils, notre monde serait bien différent : on ne pourrait plus tomber amoureux, on ne pourrait plus avoir d’ami-e, on serait seul-e et ce serait triste.
Mélodie, deuxième année du cycle 3.
Nous sommes toutes et tous les mêmes parce qu’il n’existe qu’une seule espèce d’humains sur la Terre, c’est l’homme.
Nous sommes toutes et tous faits de la même façon : une tête, un corps, des membres,… sauf si nous sommes handicapés.
Nous avons, en général, toutes et tous un père, une mère, une famille, des amis,…
Nous devrions avoir toutes et tous les mêmes droits, les mêmes devoirs.
Nous avons toutes et tous un but : vivre.
Mais nous sommes aussi toutes et tous différents car chaque personne est unique !
Il ne peut y avoir deux personnes sur Terre exactement comme moi, comme toi ou comme vous… sauf peut-être les clones, mais ils ont été créés scientifiquement et artificiellement et je crois que ce n’est pas autorisé sur les humains.
Un monde ou chacun serait la copie de l’autre serait terrible : on ne penserait plus qu’à soi même.
Personne ne se regarderait, il suffirait de se regarder soi même donc on n’aurait plus d’amis, de copains, de relations,…
Marie, troisième année du cycle 3.
Quand on pense à l’être humain alors nous sommes toutes et tous les mêmes : une tête, un nez, deux yeux, une bouche, un cerveau, un cœur, etc. et le droit de vivre !
Si l’on mettait un pygmée de 1,20 m de haut et un islandais de 1,90 m de haut dans un laboratoire pour les analyser, on verrait bien qu’ils sont constitués exactement de la même façon.
Nous sommes aussi bien différents car chacun-e de nous est unique, a ses goûts, ses envies, ses rêves personnels.
En revanche, le pygmée et l’islandais ne vivent pas au même endroit donc ils ne parlent pas la même langue, ne vivent pas de la même façon, n’ont pas les mêmes goûts, etc.
Mais nous devrions aussi être tous égaux et respectés de la même manière.
Les racistes ont inventé l’idée qu’il y avait plusieurs espèces humaines, certaines mieux que d’autres mais c’est faux, il n’y a qu’une seule espèce humaine : l’homme.
Il y a donc trois façons de répondre à cette question :
- nous sommes semblables
- nous sommes différents
- nous sommes à la fois semblables et différents
Un monde ou tous les humains seraient les mêmes avec les mêmes goûts, les mêmes envies, les mêmes habitudes,… serait un monde inintéressant, qui n’en vaudrait pas la peine…
Moi, j’aime découvrir d’autres personnes et c’est ce qui est intéressant dans notre monde.
Josefine, troisième année du cycle 3.
19:09 Publié dans Nos débats ..., Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 19 janvier 2011
Le destin, qu'est-ce que c'est, y crois-tu, pourquoi ?
Une discussion dans notre classe,
le cycle 3 :
Certaines personnes pensent que leur vie est écrite quelque part et qu’on ne peut rien faire pour la changer.
Par exemple, quand on passe sous une échelle, on pense qu’il va nous arriver un malheur…
Les gens qui croient à l’horoscope pensent aussi qu’ils ne sont pas maîtres de leur destin et que quelque chose les dirige.
Je ne crois pas trop au destin car je pense qu’il n’y a que moi qui puisse me diriger… sauf quand mes parents ou quelqu’un d’autre me dit : « Va ranger ta chambre ! » ou « Ne fais pas ça » ou quand il faut suivre des règles strictes mais je sais aussi qu’il ne faut pas faire n’importe quoi.
Je pense que si on veut faire quelque chose, on va tout faire pour y arriver même si cela contredit l’horoscope ou ce que le destin aurait dit.
Parfois, quand on lit l’horoscope, on est influencé par ce qu’il dit et ça finit par arriver pour de bon parce qu’on est nerveux à force d’y penser.
Si on pense que toute notre vie est décidée à l’avance, alors il n’y a plus qu’à rester assis et attendre que ce qui doit nous arriver arrive !
Même ceux qui croient en Dieu sont libres de leur destin car si Dieu dirigeait tout, il n’y aurait que des gens honnêtes sur Terre alors qu’il existe des voleurs, des criminels,…
Les humains sont tous libres de choisir leur vie, s’ils vont être honnêtes, malhonnêtes.
Pauline, troisième année du cycle 3.
Le destin, c’est ce qu’il va arriver à quelqu’un.
C’est comme « écrit quelque part » et ça rejoint l’horoscope.
Un exemple :
Je tombe et si je crois au destin, je me dis que c’était prévu, que cela devait m’arriver…
Certains croient plutôt au hasard alors que d’autres croient plutôt au destin et que d’autres encore croient parfois au deux.
Un autre exemple :
Si des parents ont un fils brillant à l’école, ils peuvent dire « mon fils est brillant, il va avoir une bonne destinée ».
Moi, je crois que parfois cela a été prévu et que parfois c’est le hasard parce que je pense que nous pouvons « organiser » ce qui va arriver.
En tous les cas, c’est compliqué…
Josefine, troisième année du cycle 3.
Les gens qui croient au destin pensent que ce qui arrive est écrit, que c’est leur est destiné.
Ils croient souvent en une religion dans laquelle dieu contrôle le destin des hommes.
Certaines personnes ont parfois peur du destin et en deviennent même superstitieux.
Moi, je pense que ce qui nous arrive dans la vie, de bien ou de mal, c’est le hasard.
Olivia, troisième année du cycle 3.
Le destin, c’est ce qui dans notre vie, nous est destiné et cela peut être de la chance ou du malheur, mais personne ne sait quand cela va lui arriver.
Le destin est prédit, écrit par les dieux ou les parents.
Un exemple :
Emerick rencontre Nadine, ils discutent et traversent une route… Malheureusement, Emerick se fait écraser… Des gens vont dire que c’était prévu ce jour-là à cette heure-là, c’est ça le destin pour eux.
Moi, je n’y crois pas parce que je ne crois pas aux dieux et comme ce sont les dieux qui prédisent le destin, je n’y crois pas.
Martin, première année du cycle 3.
Le destin, c’est l’ensemble des évènements qui composent notre vie et contre lesquels on ne peut rien faire.
Le destin, c’est aussi le hasard.
Je crois au destin, au hasard mais je ne crois pas aux gens qui me disent ce qu’il va m’arriver.
En effet, j’y crois car tous les matins quand je me lève, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver…
Amélie, première année du cycle 3.
Le destin, c’est une puissance supérieure qui semble prévoir le cours des évènements, les diriger vers une certaine fin…
C’est l’ensemble des évènements de la vie des humains.
Ma définition :
On n’a pas le choix, quelqu’un ou quelque chose décide à notre place.
Je pense que parfois ce n’est pas le destin qui fait les choses.
Exemple :
Quand il fait froid, si on sort sans être couvert, c’est sûr que l’on va attraper froid mais si on se couvre, on ne sera pas malade…
Parfois, je pense que c’est le destin qui fait les choses.
Exemple :
Si on joue à la loterie et que l’on gagne, c’est le destin, une chance : on ne peut pas choisir, décider.
Donc, moi je suis entre les deux : parfois je pense que le destin décide de notre vie parfois non.
Maureen, troisième année du cycle 3.
Moi, je ne crois pas au destin, je pense qu’il est impossible que mon destin (mon avenir) soit déjà écrit.
Le destin, c’est l’avenir mais tout écrit, tout prévu…
Si tu rates le bus, c’est normal surtout si tu as parlé à la sortie de la classe… Si tu ne l’avais pas fait, tu ne l’aurais pas raté !
Marie, troisième année du cycle 3.
Le destin : c'est pour les personnes qui pensent qu'un Dieu a décidé de leurs vies.
Mais, moi je dis que c'est moi qui commande ma vie.
Des machines et des hommes ont conquis le ciel et l'univers et personne n'a trouvé quelque chose : donc les dieux n'existent pas et le destin non plus.
Matteo, première année du cycle 3.
Le destin, c'est une force mystérieuse qui a le pouvoir de décider de notre vie, c'est ce qui va nous arriver de bien ou de mal même sans le vouloir.
Je crois au destin parce que dans le Coran, on dit "Mektoub, c'est écrit" : c'est le sort qui nous est réservé dès notre naissance pour toute notre vie, elle est déjà tracée.
Pour moi, le destin, c'est donc ce qui va m'arriver dans ma vie quand je m'y attends le moins et je crois que chacun a son destin.
Fares, deuxième année du cycle 3.
Le destin, c’est quelque chose qui est déjà décidé et on ne peut pas le changer.
Moi, je n’y crois pas.
Exemple :
Si j’arrive deuxième à une course, et bien ce n’était pas mon destin… Je pouvais changer ce résultat en allant plus vite !
Lucas, première année du cycle 3.
Le destin, c’est l’histoire de ta vie, elle est déjà écrite.
Tu nais et tu seras un chanteur ou tu seras alcoolique, clochard, tu auras un accident d’avion,…
Tout ça c’est le destin.
Pour moi, il y a aussi l’horoscope qui fait partie du destin :
les gens qui croient à l’horoscope, croient au destin et ils sont comme hypnotisés par ce qui est prédit par l’horoscope :
Les gémeaux seront aujourd’hui peu en forme et hop, des gémeaux tombent malades !
Moi je ne crois pas que mon avenir soit déjà écrit, la vie me réservera des surprises mais ce n’est pas le destin qui en sera responsable.
Je pense que ceux qui ont inventé l’idée de destin sont très « forts » !
Victor, troisième année du cycle 3.
Le destin c’est comme l’avenir avec une différence : le destin c’est pour une personne alors que l’avenir c’est pour tout le monde.
Moi, je crois au destin car ça aide à croire en nous.
Moi je crois que mon destin ce sera d’être footballeur et je vais faire tout ce qui est en moi pour y arriver…
Thomas, première année du cycle 3.
Le destin, c’est ce qui va arriver à une personne : c’est son avenir, son futur.
Je pense que mon futur est déjà écrit comme la date de ma mort, celle de mon mariage, celle de la naissance de mon enfant,…
Quand il y a des accidents, certains s’en sortent et d’autres pas, c’était le destin de chacun…
Noémie, troisième année du cycle 3.
Le destin c’est ce qui va t’arriver plus tard dans ta vie.
Parfois, aux fêtes foraines, il y a des voyantes : elles servent à décrire ton destin.
Moi, je n’y crois pas car je pense que cela ne sert à rien mais je pense que celles et ceux qui y croient doivent continuer à y croire.
Mélodie, deuxième année du cycle 3.
Le destin, c’est l’ensemble des évènements de la vie qui sont déjà écrits et que l’on ne peut pas changer.
Moi, j’y crois car je pense que tout ce qui nous arrive dans la vie, ça n’est pas le hasard.
Emma, première année du cycle 3.
Pour moi, le destin ou la destinée d’une personne c’est un peu son avenir et il peut réserver des surprises.
Le destin est écrit dans chaque personne.
Je pense que le destin existe et j’y crois car je pense que Dieu nous a fait, qu’il a écrit notre vie du début à la fin.
Parfois, malgré tout, il y a des choses qui arrivent et qui ne sont pas prévues.
Channeze, troisième année du cycle 3.
Le destin, c’est ce qui va t’arriver plus tard, on peut donc dire que c’est ton futur.
Il y a des gens qui y croient et d’autres qui n’y croient pas.
J’y crois car c’est pour moi et j’espère bien qu’il va m’arriver ce que je crois…
Alicia, deuxième année du cycle 3.
Le destin, c’est quelque chose qui est écrit dans de nombreuses croyances et qui décide de la vie des humains.
Pour moi, croire au destin, c’est croire en l’avenir.
Manon, première année du cycle 3.
Le destin, c’est ce que la vie nous réserve mais qui pour les religions est écrit par un dieu ou des dieux.
C'est-à-dire que les hommes n’ont pas de choix, pas de liberté.
Je trouve que c’est terrible de penser que l’on commande notre vie.
Yohni, deuxième année du cycle 3.
Le destin c’est quand on croit que ce qui va nous arriver demain est déjà prédit.
Il y a des gens qui n’y croient pas et qui pensent que ce qui nous arrivé c’est le hasard, un accident.
Trop croire au destin, c’est grave car on ne fait plus rien et on a peur de tout.
Marine, première année du cycle 3.
Certains pensent que leur vie est marquée à l’avance sur un « livre » et d’autres pensent que l’on a toujours le choix.
Moi je pense que mon destin sera de travailler dans un club hippique.
J’y crois car j’adore les chevaux et j’ai choisi de m’occuper d’eux.
Sarah, première année du cycle 3.
Le destin c’est l’ensemble des évènements de ma vie.
Moi j’y crois, c’est écrit à l’avance et je pense que c’est Dieu qui l’a fait.
Dalip, deuxième année du cycle 3.
Dans le dictionnaire je peux lire : ensemble des faits successifs qui affectent la vie de chaque individu ou l’existence de chaque objet.
C’est le destin des choses humaines de n’avoir qu’une durée courte et rapide (Voltaire). »
Je pense que chaque être humain a un destin mais qu’il peut être contrarié.
Exemple : un enfant qui a appris le piano et qui devient un virtuose et fait des concerts dans le monde entier peut avoir un jour un accident, avoir les mains blessées et ne plus pouvoir jouer de piano. Son destin de pianiste est totalement brisé.
D’autres personnes acceptent la vie qu’elle soit bonne ou mauvaise et ne font rien pour la changer : ils acceptent leur destin.
D’autres vont se battre pour l’améliorer, pour changer le cours de leur vie, de leur destinée.
Je pense que le destin existe mais j’espère pouvoir influencer le mien vers le meilleur.
Leo DM., deuxième année du cycle 3.
Le destin, ce sont des personnes connues ou inconnues qui décident de ta vie : tes parents, un dieu et c’est ça qui va influencer ta vie, ce que tu vas devenir, ce que tu vas faire… C’est ta ligne de vie (on dit aussi ton « karma »).
Moi, je pense que cela n’existe pas et que ce qui est important c’est de vivre maintenant, l’instant présent…
Qui pourrait écrire notre destin ? Personne !
Que l’on croit au destin ou pas ce qui nous arrive dans nos vies, c’est nous qui en sommes maitres.
Teo, troisième année du cycle 3.
14:11 Publié dans Nos débats ..., Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
Pourquoi et comment devient-on clochard ?
Une discussion dans notre classe,
le cycle 3.
Un clochard est une personne qui n’a plus d’abri (maison, appartement,…), qui a peu ou pas d’argent, qui n’a pas ou très peu de quoi se nourrir.
Il vit donc dans la rue.
Un clochard peut mendier, c'est-à-dire demander de l’argent, de la nourriture.
Certains clochards jouent de la musique pour gagner un peu d’argent.
Un clochard est donc un SDF : une personne Sans Domicile Fixe : c’est un sans-abri, un pauvre, un malheureux.
Avant, on les appelait des vagabonds, des va-nus pieds.
A mon avis, on peut devenir clochard quand on perd son travail, que l’on se retrouve au chômage et que l’on n’arrive pas à en retrouver. Pendant ce temps, il faut continuer à vivre, se loger, se nourrir…
On peut aussi devenir clochard si on n’a pas fait d’études et si on ne trouve pas un travail.
On peut aussi naître d’une famille de clochards…
Devenir clochard, ce n’est normalement pas de la faute du clochard.
Moi, je trouve que cela doit être plutôt dur de ne rien avoir dans la vie.
Heureusement, il y a des associations comme la Croix Rouge, la Banque Alimentaire qui les aident en donnant des vêtements, de la nourriture, et parfois en les aidant à (re)trouver du travail.
C’est triste et il faut les aider, surtout en hiver.
On peut participer à des collectes et prendre dans nos placards de la nourriture, des vêtements pour un peu de bonheur…
Joséfine, troisième année du cycle 3.
Un SDF, une personne Sans Domicile Fixe (un clochard) est quelqu’un qui n’a pas assez d’argent pour se payer un loyer ou de la nourriture, même si il a du travail (il ne gagne pas assez).
Il y a des associations qui s’occupent, qui accueillent les SDF pour la nuit, pour se nourrir,etc.
Certains SDF viennent au monde dans des familles de SDF et dans ce cas, il y a de fortes chances qu’ils restent SDF toute la vie.
Certains SDF le deviennent après avoir été rejetés par leurs familles, leurs amis.
Certains SDF le deviennent après avoir perdu leur travail, sans en retrouver un autre.
Certaines personnes deviennent SDF à cause des jeux d’argent : elles jouent, elles perdent, elles rejouent, elles perdent, etc. et à la fin, elles n’ont plus d’argent mais doivent en rembourser beaucoup…
Nous pensons que souvent ce n’est pas de leur faute si des personnes deviennent des SDF car elles ne sont pas toutes fainéantes ou joueuses !!!
Nous pensons qu’il faut les aider et que c’est vraiment de la part des associations un geste très solidaire…
Farès, deuxième année du cycle 3 et Marie, troisième année du cycle 3.
Un clochard est un homme ou une femme qui se retrouve seul-e, dans la rue, sans abri, sans argent et sans travail.
On dit plutôt maintenant un SDF.
Il se retrouve ainsi car il a perdu son travail, a été rejeté par les autres et ne s’en sort pas.
Je pense que cela peut arriver à tout le monde et que cela doit être terrible de se retrouver comme cela dans la rue, seul, sans rien.
Yohni, deuxième année du cycle 3.
Un SDF peut être aussi bien un homme, qu’une femme ou même qu’un enfant.
C’est une personne sans abri qui bien souvent a raté sa vie.
Il est seul, et a parfois été abandonné par sa famille, ses amis.
Il ne peut plus se nourrir correctement, n’a pas ou très peu de vêtements de rechanges, et il est donc parfois sale et vit souvent dans des endroits qui manquent d’hygiène.
Il a ou pas du travail mais quand il en a, ce travail n’est pas assez bien payé pour qu’il puisse trouver un logement, se nourrir correctement.
On peut devenir SDF quand on se retrouve sans travail, sans famille, sans ami.
On peut devenir SDF si on a trop dépensé et qu’à force on se retrouve sans argent.
On peut devenir SDF par fainéantise et se retrouver dans la rue.
On peut devenir SDF parce qu’à un moment ça nous convient.
On peut devenir SDF en ratant sa vie, en n’ayant pas de diplôme ou de qualification.
On peut devenir SDF quand on se retrouve sans aide.
Nous pensons que cela peut arriver à tout le monde et ça nous met mal à l’aise.
Il faudrait que tout le monde fasse de son mieux pour les aider.
Nous ne pouvons pas beaucoup les aider mais un sourire peut faire plaisir…
Sarah et Matteo, première année du cycle 3, Olivia, troisième année du cycle 3.
Un clochard est une personne qui vit dans la rue, qui est pauvre, et qui souvent a des vêtements sales, déchirés.
C’est une personne qui n’a pas ou n’a plus de travail et donc sans travail, pas d’argent et sans argent, pas de logement, pas de vêtements à se mettre, pas de nourriture…
C’est une personne qui n’a ni famille, ni ami pour l’aider.
Certains meurent de faim, ce n’est pas juste.
Noémie, troisième année du cycle 3.
Un clochard est une personne qui vit dans la rue et qui n’a pas (ou presque pas) d’argent.
On dit aussi une personne Sans Domicile Fixe (SDF) car le mot clochard est de moins en moins utilisé.
On utilise (ou on utilisait) aussi : mendiant, quémandeur, va-nu-pieds, misérable, pauvre, rejeté, seul, isolé, désavantagé, malheureux, …
Il existe des associations qui mettent à disposition des SDF des maisons pour la nuit (des foyers).
Il existe aussi des SDF qui ont un travail mais qui vivent dans la rue parce qu’ils ne sont pas assez payés pour avoir une maison et-ou se nourrir correctement.
Souvent aussi, les SFDF ont honte de leur situation et ils n’osent pas en parler, demander de l’aide.
Heureusement des associations comme la « Banque Alimentaire » ou la « Croix Rouge » sont là pour les aider.
Parfois, ils sont devenus clochards parce qu’ils ont perdu leur travail et qu’ils n’en retrouvent pas alors ils continuent à faire comme s’ils gagnaient encore leur vie, mais à un moment, ils n’ont plus rien pour payer le loyer, la nourriture et ils se retrouvent dehors, sans rien…
Bien travailler à l’école aussi est important pour ne pas se retrouver dans cette situation parce que les parton-ne-s voudront plus de nous si nous avons réussi des concours, des examens, si nous avons des qualifications…
Je pense que c’est bien que nous en parlions parce que cela peut arriver à tout le monde et c’est bien aussi de se rendre compte que ce ne doit pas facile d’être un clochard et que rien qu’en donnant une pièce, on peut redonner un moment le sourire à l’un d’eux…
Pauline, troisième année du cycle 3.
Un clochard c’est une personne qui est en difficulté : elle vit dans la rue, sans rien… et dort souvent dans des cartons.
On l’appelle aussi un SDF, Sans Domicile Fixe.
Souvent, ils ont été ou sont rejetés par leurs familles, ils ont perdu ou n’ont jamais eu de travail, de maison ou encore dès la naissance, ils étaient pauvres.
Nous trouvons que les associations ont raison d’aider les pauvres et nous ne nous sentons pas bien quand nous passons à côté d’une personne aussi pauvre : ça nous rend triste, ça nous fait de la peine.
Cléa, première année du cycle 3, Léo, deuxième année du cycle 3.
Une personne sans argent, sans maison, qui vit dans la rue est un clochard.
Parfois, elle est devenue clocharde en jouant trop aux cartes (comme le poker) et en jouant de l’argent… et en le perdant…
A force de perdre de l’argent, elle n’en a plus.
Elle peut aussi devenir clochard en étant longtemps au chômage.
Je pense que c’est très triste pour eux.
Emma, première année du cycle 3.
Un clochard, c’est une personne qui n’a plus de quoi vivre et qui donc vit dans la rue.
Parfois, elle a encore une maison, mais n’a plus d’argent, plus de nourriture, d’eau potable, d’électricité alors c’est difficile de vivre.
On devient clochard pour plusieurs raisons :
L’entreprise dans laquelle on travaillait peut fermer et on se retrouve sans travail, avec plus assez d’argent pour payer sa maison et on finit par se faire expulser et on se retrouve dehors… ou bien on ne gagne pas assez d’argent alors on emprunte à la banque, à des amis, et on n’a plus assez pour rembourser… ou bien notre famille, nos amis refusent de nous aider quand nous avons des problèmes d’argent.
Je pense que cela doit être difficile de vivre dehors, sous la pluie, la neige, la grêle, dans le froid, dans la chaleur… sans une bonne alimentation, en étant sale…
Certains SDF ont aussi des familles, des animaux…
Heureusement qu’il y a des associations comme les Restos du Cœur, la Banque Alimentaire, la Croix Rouge, qui aide ces personnes en difficultés.
Maureen, troisième année du cycle 3.
Les clochards sont des personnes qui sont pauvres et malheureuses.
Les clochards ont peu de vêtements, souvent déchirés et ils demandent de l'argent dans les rues.
Ils vivent souvent dans la solitude.
A cause du manque d'argent, ils ne peuvent pas se nourrir correctement.
Ils sont devenus clochards car ils ont peut-être été rejetés par leurs familles et qu'ils se sont retrouvés sans travail, sans maison...
Ils sont peut-être aussi nés pauvres.
Ce ne doit pas facile d'être un clochard surtout en hiver, à cause du froid... certains en meurent.
Vivre dehors sans vêtements chauds, sans nourriture, c'est dangereux.
Dalip et Alicia, deuxième année du cycle.
Un clochard n'a pas de maison et il vit dehors, s'abritant dans des cartons.
C'est une personne en difficulté (sans argent, sans pouvoir bien se nourrir).
Des gens deviennent clochards en ayant par exemple des retards de loyer, de factures d'eau, d'électricité et des dettes à rembourser, en ayant perdu leur travail...
Ils sont peut-être devenus clochards en ayant été rejetés par leurs familles et se sont retrouvés, abandonnés, sans maison, sans appartement, sans argent...
Ce n'est pas normal que des personnes deviennent clochards et qu'en hiver elles puissent mourrir de froid.
Cela nous fait de la peine...
Martin, Marine, deuxième année du cycle 3,
Channèze, troisième année du cycle 3.
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jeudi, 30 septembre 2010
Un texte de Pauline...
La légende du ciel et de la mer
Il y a très, très longtemps, le ciel était au sol et la mer à la place du ciel.
Ils s'entendaient très bien.
Mais un jour, la mer voulut voir comment c'était en bas.
Elle y resta quelques jours en laissant un gros trou noir dans le ciel.
Au bout d'une semaine, le ciel lui dit de retourner en haut mais la mer ne bougea pas : elle voulait rester en bas.
Alors, la mer et le ciel se bagarrèrent et le ciel dût aller en haut.
Depuis, chaque fois que le ciel voit de l'eau, il jette ses éclairs sur elle.
Pauline.
10:52 Publié dans Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 29 septembre 2010
Pourquoi aller à l'école ?
Pourquoi aller à l’école ?
Une question posée aux trois classes
du blog Ecritic auquel nous participons.
Voici nos réponses :
Quand on est à l'école, on apprend le français, les mathématiques, la géographie, l'histoire, les sciences et selon notre cas, on peut apprendre la discipline.
On pourrait aussi apprendre tout ça à la maison, sur un canapé, en mangeant ou devant la télévision.
Mais à l'école, on apprend à travailler avec les autres élèves et c'est souvent à l'école que l'on rencontre ses premiers amours et son/sa meilleur(e) ami(e).
Aller à l'école, c'est aussi se rendre utile aux autres tout en en devenant autonome au fur et à mesure de sa scolarité .
Pauline, troisième année du cycle 3.
Nous allons à l’école, c’est vrai, pour « lire, écrire, compter »,…
Mais, nous n’apprenons pas tout à l’école, voilà deux exemples : nous apprenons à marcher et à parler à la maison.
En fait, nous apprenons certaines choses à l’école et le reste chez nous.
Mais, parfois, nous apprenons les mêmes choses à la maison et à l’école comme la politesse, le respect,…
A l’école, nous apprenons aussi à vivre ensemble avec d’autres enfants et aussi à devenir plus autonomes.
A l’école, nous faisons aussi des sorties, nous avons des correspondant-e-s, et nous pouvons même aller en classe découverte !!!
A l’école, nous nous faisons aussi des ami-e-s, et parfois des ennemi-e-s…
Il faut être content d’aller à l’école car je crois qu’avant, elle était payante et réservée aux riches et peu d’enfants y allaient…
Alors profitons des années que nous passons à l’école !!!
Maureen, troisième année du cycle 3.
Nous y allons pour apprendre à lire, écrire, compter car c’est nécessaire pour se débrouiller dans la vie et plus tard trouver un travail.
Mais, à l’école, nous pouvons faire des choses que nous ne faisons pas toujours à la maison : aller au cinéma et parler des films, aller à des séances de contes, en écrire, en dire, faire certains sports, faire des ateliers,…
Nous y apprenons aussi de la science, de l’histoire, de la géographie,…
L’école est aussi faite pour apprendre à se respecter les uns les autres.
A la cantine, nous apprenons aussi à découvrir d’autres goûts et à ne pas rester le ventre vide quand nous travaillons !
A l’école, nous pouvons nous faire plein d’ami-e-s et jouer avec aux récréations.
C’est tout ça l’école !
J’aime bien l’école car je m’y amuse avec mes amies, j’y travaille mais je n’aime pas les bilans, les contrôles (mais ça va, dans notre classe il n’y en a pas trop).
Joséfine, troisième année du cycle 3.
Je vais à l’école pour voir mes ami-e-s, pour jouer, pour apprendre aussi… à être avec des personnes que je n’aime pas forcément.
Je vais aussi à l’école parce que c’est obligatoire pour apprendre à lire, écrire, compter, conjuguer, etc.
J’y vais aussi parce que j’aime y aller, travailler mais même quand il y a des choses que je n’aime pas, j’y vais quand même !
J’aime aussi aller à l’école car je m’y amuse bien.
A l’école, j’ai rencontré ma meilleure amie.
Marie, troisième année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter mais aussi à vivre ensemble, à nous discipliner.
L’école est faite pour apprendre tout ça : c'est-à-dire à avoir des bases pour plus tard.
Avoir des bases, cela signifie avoir ce qui est nécessaire pour que plus tard nous puissions vivre correctement, faire certaines études, gagner notre vie…
C'est-à-dire à commencer à préparer notre avenir.
Mais l’école peut aussi servir à se trouver des ami-e-s, à faire du sport, des sorties, des jeux, à inventer, créer,…
J’aime l’école : les ateliers, l’EPS, le travail personnel et l’organisation de la classe me plaisent et mes amies sont sympathiques.
Olivia, troisième année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter, à mieux parler français, à mieux comprendre les maths.
Mais nous y allons pour nous préparer plus tard à aller dans d’autres écoles, à choisir et à apprendre le métier que l’on souhaite.
Si nous ne travaillons pas à l’école, nous ne ferons pas le mêtier que que souhaitons, nous ne gagnerons pas notre vie.
Nous ferons des métiers qui ne rapportent pas beaucoup d’argent comme balayeur, même si c’est un métier important, car si tous les balayeurs d’une ville s’arrêtent de travailler, en une semaine cette ville sera très sale !
C’est un métier important car c’est nécessaire qu’il y ait des balayeurs.
Et puis à l’école, nous nous faisons aussi des copains, des amis.
Moi, j’aime l’école car j’aime bien travailler.
Victor, troisième année du cycle 3.
Moi, je vais à l’école d’abord pour apprendre des choses nouvelles en français, en maths amis aussi en sciences, en géographie,… et ensuite pour me faire des copains et des copines et m’amuser avec.
Je vais donc à l’école pour apprendre à vivre avec d’autres personnes.
J’aime l’école parce que sans l’école, pour moi, je ne saurai pas faire beaucoup de choses.
En tous les cas, c’est mon cas.
Channèze, troisième année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter pour que plus tard nous puissions faire des études pour avoir le métier de notre choix.
Exemple : le maître a fait des études pour être maître… il a choisi.
Tout le monde peut faire des études et choisir un métier.
Mais, nous allons aussi à l’école pour nous amuser avec nos copains et nos copines, nos ami-e-s.
J’aime l’école parce que nous pouvons nous y faire des ami-e-s et que nous devons nous y respecter les uns et les autres.
Noémie, troisième année du cycle 3.
Moi, je vais à l’école pour jouer avec mes amis, me faire de nouveaux copains aux récréations, faire des activités comme aller au cinéma, faire des ateliers (cuisine, bricolage, jeux de société, graf, dessin, informatique, peinture, des jeux, du sport,…).
J’aime bien travailler en m’amusant.
J’aime aussi aller à l’école pour (re)voir les têtes de la classe et de l’école : Victor, Léo, Xavier, Bastien, …
Téo, troisième année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre à travailler correctement, proprement.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, à écrire, à compter, à faire des ateliers, des activités.
Moi, j’aime bien l’école car j’aime bien apprendre des choses nouvelles.
Martin, première année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter et à mieux parler.
Nous allons à l’école pour apprendre à vivre avec d’autres personnes.
L’école nous apprend aussi à être moins timides.
C’est aussi là que nous apprenons à jouer avec d’autres, à faire d’autres sports, à avoir des ami-e-s.
L’école sert peut être aussi à avoir plus tard un bon métier.
J’aime l’école car c’est là que nous apprenons à travailler et que nous rencontrons les ami-e-s.
Amélie, première année du cycle 3.
L’école sert à apprendre ce que nous n’apprenons pas à la maison comme par exemple lire, écrire, calculer, vivre en groupe.
L’école nous sert à apprendre des choses essentielles pour plus tard…
Matteo, première année du cycle 3.
A l’école, nous apprenons à compter, à lire, à écrire, à vivre avec d’autres enfants.
Mais l’école sert aussi à avoir des copains, des copines, des ami-e-s et même des amoureux(ses)…
Thomas, première année du cycle 3.
L’école sert à vivre en collectivité, à passer à des niveaux supérieurs, à choisir son métier, à apprendre les maths, le français.
Léo P., première année du cycle 3.
L’école sert à apprendre à déchiffrer les mots, à lire, à compter mais aussi à plus de choses : faire des ateliers, des sorties,…
L’école sert aussi à rencontrer nos ami-e-s, à passer du temps ensemble, à jouer.
Sarah, première année du cycle 3.
Aller à l’école, nous sert à travailler, à apprendre à travailler :
Nous y faisons des maths, nous lisons, nous écrivons, nous faisons des activités, nous vivons avec les autres,… nous nous y amusons aussi et nous y faisons des choses que nous aimons.
Moi, j’aime bien l’école parce que je m’y amuse bien.
Cléa, première année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre les multiplications, les additions, les soustractions…
Nous apprenons à jouer et à travailler avec d’autres enfants.
Nous y apprenons plus de choses qu’à la maison.
J’aime bien aller à l’école parce qu’on y gagne de nouveaux amis.
Lucas, première année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour apprendre à lire, à écrire, à compter (faire des multiplications dures) car à la maison, nous apprenons rien.
Apprendre à lire c’est important car si on ne sait pas lire, on ne peut pas avoir un métier intéressant.
A l’école, nous jouons avec les copains et les copines et c’est pour ça que j’aime l’école.
Emma, première année du cycle 3.
On va à l’école pour le travail !
On va à l’école pour apprendre à lire, écrire, compter car plus tard, on pourra avoir un bon métier.
Il faut travailler à l’école car plus tard si nous avons des enfants, il faudra aussi savoir lire, écrire, compter pour les aider.
On va à l’école aussi pour être avec des copains et des copines.
J’aime à l’école les maths et… la cour !
Manon, première année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour :
· apprendre à lire, à écrire, à compter
· apprendre l’anglais, les maths, le français
· apprendre à mieux se comporter
· apprendre plus de discipline
· apprendre la géographie pour connaître me monde quand nous serons plus grands
· savoir vivre avec les autres
Et tout ça nous servira, pour plus tard, quand nous serons grands… pour pouvoir choisir quoi faire…
Mais à l’école aussi, nous pouvons nous faire des ami-e-s.
Moi à l’école j’aime les maths (mais je ne sais pas trop pourquoi) et je déteste la géographie.
Marine, première année du cycle 3.
Nous allons à l’école pour écouter et travailler sinon on ne pourra pas aller au collège, puis même chose après pour le lycée, l’université.
Il faut donc travailler pour avoir de bons résultats aux examens.
A l’école, nous apprenons le français, les maths ; à lire, écrire, compter,…
Mais à l’école, nous nous faisons aussi des ami-e-s, des amoureuses ou des amoureux.
Moi, j’aime l’école car j’y ai des amis.
Léo DM., deuxième année du cycle 3.
Si on n’allait pas à l’école, on ne saurait pas faire de maths, on ne saurait pas lire, on ne saurait pas écrire.
Si on n’allait pas à l’école, on serait seul.
Si on n’allait pas à l’école, on ne pourrait pas ensuite avoir un bon métier.
Dalip, deuxième année du cycle 3.
Aller à l’école, c’est surtout pour travailler en français, en maths et aussi un petit peu de temps pour les copains et les copines.
Il y a des moments pour travailler et apprendre en français, en maths, en géographie, etc. et des moments aussi pour travailler en dehors de l’école et continuer à apprendre.
Moi, il y a des trucs que j’aime bien à l’école dans le travail comme : apprendre des choses nouvelles et j’aime bien aussi rigoler.
Fares, deuxième année du cycle 3.
Aller à l’école, c’est pour apprendre à travailler individuellement et collectivement.
Aller à l’école, ça nous permet d’apprendre beaucoup…
Mais à l’école, on se fait aussi des amis.
L’école, c’est aussi un lieu amusant pour apprendre : on va au cinéma, on fait des sorties, on part en classe découverte)…
A l’école, il y a des moments de travail et des moments de récréation, de jeux et c’est bien.
Yohni, deuxième année du cycle 3.
On va à l’école pour apprendre à lire et à écrire et aussi parce que si on n’y allait pas, on ne pourrait peut-être pas faire de classe découverte, on ne pourrait pas faire de cuisine, de bricolage, de peinture,…
On ne serait pas non plus avec des copains ou des copines, car grâce à l’école, on peut trouver de nouveaux et de nouvelles ami-e-s.
A l’école, certain-e-s apprennent à manger équilibré.
J’aime bien l’école car on s’y amuse bien, même très bien.
Mélodie, deuxième année du cycle 3.
On va à l’école pour apprendre à lire, écrire (dans les lignes), faire des textes, des poésies, des opérations, des jeux,… mais aussi des ateliers, des sorties,…
A l’école, on apprend aussi à travailler (proprement, sérieusement), à réfléchir, à connaître les autres, les règles de vie ensemble, les respecter…
A l’école, tu peux aussi te faire des ami-e-s, tu peux t’amuser avec eux et même trouver ton amour.
Si tu ne vas pas à l’école, tes parents peuvent avoir des soucis (et peut-être même aller en prison ?).
Si tu ne vas pas à l’école et que plus tard tu veux des enfants, tu ne pourras pas les aider à apprendre.
Moi, j’aime l’école car j’y ai mes amies et j’y apprends beaucoup de choses, surtout avec un maître gentil.
Alicia, deuxième année du cycle 3.
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dimanche, 26 septembre 2010
Quelques textes de ce début d'année ...
Des textes de Joséfine, troisième année du cycle 3 :
Il existe un pays...
Il existe un pays
si beau, si joli
que tout le monde veut y habiter.
Ce pays fait rêver.
Ce pays a une musique fantastique...
L'oiseau chante...
L'oiseau chante
une si douce musique...
Elle nous fait penser.
Elle nous fait rêver
de fleurs, de bonheur,
de joie, de peur,...
L'oiseau chante
une chanson fantastique.
Un seul livre...
Un seul livre
peut te faire vivre,
te faire rêver,
sauter, danser,...
Un seul livre
peut tout changer !
Sur une feuille de papier...
Sur une feuille de papier
tout peut arriver
tout peut se passer :
des histoires racontées
des malheurs arrivés,
et peut-être aussi
ce poème ci.
Un jour...
Un jour
si tout tremblait
si tout finissait
que se passerait-il ?
On ne sait pas.
On ne me répond pas
car jamais cela finira...
Tout à coup...
Tout à coup, le soleil disparait.
C'est la fin de l'été.
Une brume apparait.
Les gens sont enrhumés.
Un vent claque.
Les feuilles craquent.
Sont sortis écharpes et bonnes...
Les gens se demandent s'il va bientôt neiger...
Des textes de Téo, troisième année du cycle 3 :
Les dragons...
Les dragons sont beaux.
Les dragons sont forts.
Les dragons sont majestueux.
Les dragons sont respectés.
Les dragons tuent.
Les dragons sont puissants.
Les dragons sont...
les maîtres,
les maîtres du monde.
L'oiseau multicolore...
L'oiseau bleu,
l'oiseau rouge,
l'oiseau noir,
l'oiseau orange,
l'oiseau vert,
l'oiseau jaune,
l'oiseau rose,
l'oiseau violet,
l'oiseau gris...
fusionnent...
et donnent naissance à
l'oiseau multicolore !
L'arbre...
L'arbre a une graine...
Une graine qui pousse,
petit à petit :
1 an
2 ans
3 ans
4 ans
Elle pousse,
elle pousse...
Et 10 ans plus tard,
elle donne un bon gros arbre !
10:05 Publié dans Nos journées ..., Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 23 juillet 2010
Des animaux extraordinaires...
L’Elipie…
L’Elipie est un animal qui a des oreilles de lapin, des ailes de dragon, une queue de lion et le reste du corps plutôt semblable à celui d’un écureuil.
L’adulte mesure environ 30 cm, le petit 5 cm à la naissance mais il grandit vite.
L’Elipie est assez léger : il pèse 350 grammes (à la naissance, une dizaine de grammes).
Il a le corps recouvert de petits poils lisses partout : sur les bras, les jambes, la tête,…
Ses bras mesurent 8 centimètres de long.
Ses mains ont 5 doigts et ses pieds 3 doigts, tous terminés par des griffes.
Il est noir, marron et blanc.
C’est un mammifère.
Après la naissance, le petit reste environ une semaine avec sa mère. Ensuite, il se débrouille tout seul mais continue de vivre avec sa famille.
Une Elipie peut avoir jusqu’à 3 petits.
Les Elipies mangent des écorces et ils aiment le froid et détestent la chaleur : ils vivent en Suisse, en Suède et au Danemark.
Ils vivent dans des trous sur des arbres.
Ils ne vivent pas en groupe, seulement en famille.
Leurs ennemis sont les renards et les loups.
Pour se prévenir des prédateurs, ils poussent des cris aigus.
Ils sont rares : ils ne vivent pas longtemps, beaucoup meurent en été.
Joséfine, deuxième année du cycle 3.
Le Terrass’tout…
Le Terrass’tout mesure 1m80 et peut peser jusqu’à 128 kg.
Cet animal a le dos courbé mais il se tient sur deux jambes et a deux bras.
Ses mains ont quatre doigts et ses pieds en ont trois mais le troisième est sur le talon.
Chaque doigt se termine par une griffe capable de trancher du métal !
Il est recouvert d’une fourrure jaune à rayures grises et a tout le long de la colonne vertébrale une crinière rose.
Il a aussi une petite queue pointue.
Il a deux yeux rouges et une bouche incroyable… avec des dents capables de broyer n’importe quoi !!!
Son odorat et sa vision sont très développés : à sa guise, il peut sentir et voir à dix kilomètres à la ronde !!!
Les Terrass’tout pondent des œufs ou plutôt ils… crachent des œufs !
Ils n’ont pas besoin de les couver car ils atteignent à la ponte mille degrés.
Ils mangent de tout (sauf d’autres créatures légendaires).
Chez les Terrass’tout, il n’y a ni mâle ni femelle.
Ils vivent dans les montagnes dans des grottes ou des souterrains.
Ils vivent la plupart du temps seul ou tolèrent leurs petits jusqu’à l’âge de trois : ils quitteront alors le nid.
Les Terrass’tout n’ont pas de durée de vie sauf s’ils se battent contre un dragon car c’est le seul animal qui peut les tuer : ils n’ont ni ennemi, ni prédateur.
Yanis, troisième année du cycle 3.
Tas de grot…
Tas de grot est gluant, marron et il mesure un mètre de hauteur et cinquante centimètres de largeur.
Il n’a ni bras, ni jambe et donc pas de griffe.
Il a une bouche et deux yeux et peut peser mille tonnes.
On a découvert le premier Tas de grot en 1912 : il est arrivé sur Terre dans un vaisseau venu du ciel… il s’est aussitôt mis à dévorer des maisons, des voitures mais heureusement comme d’autres Tas de grots sont arrivés, ils ont commencé à se dévorer : en effet, la plupart du temps, ils se mangent entre eux.
Heureusement, ils vivent en solitaires, et son assez rares et n’ont ni ennemi, ni prédateur.
Romain, troisième année du cycle 3.
Le Nourislie…
Le Nourislie vit dans des grottes froides et humides du Nord de la France.
Il est rouge, il mesure 1m20 et pèse 60 kg.
Il a quatre pattes très dures à repérer.
Il vit en colonie.
C’est un animal craintif, très doux et affectueux.
Il peut avoir de 2 à 6 petits par portée.
C’est un animal très intéressant pour l’environnement car il se nourrit des déchets qu’il ramasse.
Il a pour prédateurs les vautours (certains), les aigles et comme ennemis, les braconniers (qui le capturent et le revendent).
Oriane, troisième année du cycle 3.
Le Multi-Animaux…
Le Multi-Animaux est fait de parties de plusieurs animaux : un crocodile pour la tête, un dragon pour la queue, une girafe pour les pattes, un dinosaure pour les doigts et les griffes.
Il a les couleurs des animaux qui le composent et son corps est gris.
Sur sa tête de crocodile, il a quatre yeux, un nez, et une bouche.
Il pèse quinze tonnes mais se déplace aussi vite, même plus vite qu’une Ferrari.
Il est aussi haut qu’une girafe adulte et mesure 4m50 de long.
Il n’y en a qu’un seul au monde et personne ne sait comment il est apparu : c’est un mystère.
On sait seulement qu’il vivait sur la planète Multiam.
Il est donc solitaire et n’a ni ennemi, ni prédateur… même pas l’homme.
Il mange de tout sauf des humains, des girafes, des crocodiles et des dragons.
William, troisième année du cycle 3.
Le Zombivanpidragonolicorsauruserpentarloupgarouvolant mesure 999999999 mètres de hauteur et autant de largeur.
Il pèse 999999999 kg et ce n’est pas si lourd que ça pour cet animal.
Il a 9 pattes, 99 queues et 10 bras et 10 jambes.
Il a une énorme bouche avec 999999999999 dents très pointues.
Comme nous les humains, il mange de tout : il est omnivore.
Comme les caméléons, il peut changer de couleurs.
Pour se déplacer, il se téléporte.
Il n’a pas de prédateur car il est trop fort et trop grand, il vit sur une planète lointaine et peut vivre jusqu’à 999999999999999999999 ans.
Téo, deuxième année du cycle 3.
Le Doudouli…
Le Doudouli est plutôt petit et piquant.
C’est une petite boule blanche avec deux yeux ronds et noirs, et une bouche noire elle aussi.
Il a aussi de petites oreilles rondes sur le sommet du crâne en forme de bogue.
Il ne dépasse pas 7 cm de haut et pèse environ 300 grammes.
Il n’a pas de pied, pas de jambe.
Cette boule est enfermée dans une bogue de marron : elle est marron.
Les recherches scientifiques n’ont pas encore tout mis à jour sur sa vie mais on suppose qu’il vient de forêts sauvages.
Il apprécie beaucoup les pommes.
Ses ennemis sont les aigles et les serpents.
Il ne vit pas en groupe, il est rare, même en voie de disparition.
Malgré ses ennemis, il vit tranquillement la plupart du temps.
Il est très peureux.
Marie Ge., deuxième année du cycle 3.
Le Lagléon…
C’est un animal qui à un corps d’araignée, des ailes d’aigle et une queue de serpent.
Il est noir, gris et orange.
Il est venimeux, a dix membres, un dard et des mandibules.
Il mesure entre deux et six mètres.
Il est carnivore et se nourrit essentiellement de fourmillions.
Il n’a aucun ennemi, et vit en solitaire dans la forêt Amazonienne.
Le premier Lagléon est né entre un geyser et un volcan… ils sont entrés en même temps en éruption quand à ce moment-là un aigle, une araignée et un scorpion se sont croisés… les deux éruptions ont pulvérisé les trois animaux, les ont mélangés et quand ils sont tombés sur le sol, le premier Lagléon était apparu…
Mickaël, troisième année du cycle 3.
Le Terminator…
C’est un monstre d’au minimum trois mètres de haut, pesant une centaine de tonnes.
Il a quatre bras terminés par dix doigts, et dix jambes terminées par dix pieds qui sentent très mauvais (ils « puent »…).
Il est vert clair avec le corps recouvert de boutons verts, mais plus foncés.
Il n’a qu’un œil comme les cyclopes.
Il est né selon son calendrier le 19 monstrat dans les forêts du Nord de la France : les forêts des Chtis.
Il s’y nourrit d’humains et son plat préféré est l’humain grillé au feu de bois.
Il peut aussi vivre dans l’eau.
Au début, il vit en groupe puis ensuite il peut vivre seul.
Il a quelques ennemis : les dragons, et les avions de chasse et les tanks.
Son plus grand prédateur était le Tyrannosaure.
On dit que Bob l’Eponge serait aussi un de ses prédateurs…
Baptiste, troisième année du cycle 3.
Le Pig-Pong-Plouf…
Le Pig-Pong-Plouf mesure 20 cm quand il est adulte mais à la naissance, il mesure 4 cm de long.
Il pèse 22 kg à l’âge adulte et 10 kg à la naissance.
Il a deux bras, à la naissance, qui mesurent 7cm de long, puis es bras se divisent en fonction de son âge.
Ils se terminent par des doigts sans griffe.
Ses bras et ses pieds sont bleus, et tout le reste du corps est marron.
Il ressemble un peu à une pomme de terre.
Il se nourrit de marrons en petites quantités.
Il vit sous les arbres, dans les feuilles avec sa famille.
Ses ennemis sont les Ehuries : ils lui volent toute sa nourriture.
Ses prédateurs sont les grands chiens.
L’hiver, il hiberne.
Il n’arrive pas bien à contrôler ses jambes alors il tombe tout le temps et c’est pour cela qu’il se nomme le Pig-Pong-Plouf.
Olivia, deuxième année du cycle 3.
Mon animal…
Mon animal a 6 pattes, trois yeux en forme de spirale.
Les quatre premières pattes sont des bras et les deux dernières pattes des jambes.
Au bout des quatre premières pattes, il a des poils.
Au bout des deux dernières pattes, il a des griffes.
Sa tête ressemble à celle d’un dragon, avec un « nez » de requin, et une nageoire de requin derrière.
Ses cheveux sont des bananes, sa bouche un cactus et il a des oreilles d’éléphant.
Son corps est mou et gluant, en forme de zigzag et multicolore.
Il pèse un gramme et mesure 87 cm.
Il est plus rapide que n’importe quel coureur professionnel : il fonce comme une flèche !
Il nait adulte, vieux même et meurt bébé.
Il peut vivre sous tous les types de climat, et vit 1500 ans.
Il vit avec toute sa famille et mange de tout.
Il n’a pas de prédateur.
Leslie, troisième année du cycle 3.
Le Tiroulus…
C’est un animal qui mesure de 1 à 1,35 m et pèse de 30 à 100 kg.
A la place de bras, il possède des tentacules et à la place des jambes, il possède trois roues.
Il est souvent bleu, rouge, orange ou noir selon l’endroit où il vit :
S’il vit près d’un volcan, il est rouge.
S’il est bleu, c’est qu’il vit dans l’eau.
S’il est noir, il vit sous terre.
S’il est orange, c’est qu’il vit dans les fleurs.
Il existe une autre espèce plus rare, elle est multicolore et ces Tiroulus sont alors plus petits que ceux des autres espèces.
Il nait dans des œufs et à sa naissance, il mesure entre 30 et 50 cm (sauf les multicolores).
Les œufs sont très grands.
Il mange des fruits mais selon les espèces aussi du poisson ou de la viande : surtout des escargots.
Ils vivent à trois et le Tiroulus n’a pas de prédateur mais selon les régions il a un ennemi, le tigre.
Dylan V., troisième année du cycle 3.
Le Crimonus-Minimus…
C’est un animal qui mesure de 2 à 4 cm de long.
Il peut peser de 10 à 20 grammes.
Il n’a ni bras ni pied : il roule.
Il a deux paires de fesses, un œil et une bouche.
En été, il est violet, en hiver jaune, au printemps gris et en automne vert.
Il peut naître de deux façons :
1.
C’est une malformation dans le ventre d’une chèvre et qui va la rejeter.
2.
Une chèvre, en broutant, va avaler sa salive, et dans son ventre, cela va donner naissance au Crimonus-Minimus qu’elle rejettera aussi.
La nuit, il sort et se nourrit de poils de chèvres : il est somnambule.
Le jour, il ne fait presque rien.
Son prédateur est la chèvre qui peut l’avaler et pour l’éloigner il fait… des pets !
Jérémie, troisième année du cycle 3.
L’Entolion…
L’Entolion est une espèce de lion recouvert d’écailles invisibles.
Il a un gros entonnoir en guise de tête.
Il a aussi une queue avec au bout une pointe de flèche, rouge.
Il a des griffes longues de 20 centimètres et elles sont d’une couleur dorée.
Et dessous de ses écailles invisibles, il a un poil vert pomme.
Il mesure 1m50 et se tient sur ses quatre pattes.
A la naissance, il pèse 50kg et 100 kg à l’âge adulte.
Le premier Entolion est apparu il y a 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 années, en Afrique, dans le désert.
Il creuse des galeries sous le sable et il déteste l’eau.
Il mange de tout en grande quantité.
Il capture ses proies grâce à ses griffes, il les découpe grâce à ses écailles et aspire les petits bouts par son entonnoir.
Le soir, son entonnoir devient fluorescent et il lui sert à s’éclairer.
Il lui arrive de se faire attaquer par d’autres animaux étranges, des monstres mais c’est rare.
L’homme ne peut pas l’attaquer.
Il déteste d’ailleurs les hommes, mais aussi les dragons car ils ont tué son ancêtre : une espèce de moustique…
Marie Ga., troisième année du cycle 3.
Le Boulaile…
Je vais vous décrire un animal étrange : le Boulaile.
C’est un animal qu’on ne peut trouver que dans la savane.
Au départ, essayez d’imaginer une boule toute poilue (il en existe de toutes les couleurs), puis en un éclair des ailes apparaitront… deux ailes.
Jusqu’à présent, notre animal a un nom qui lui convient parfaitement !
Il ne lui manque plus grand-chose pour être complet : les yeux, ils sont très importants.
Comme pour nous les humains, ils lui servent à se repérer, à voir.
Ce sont ses yeux qui les ont sauvés : en effet, il est en voie de disparition et les humains qui les ont découverts n’ont pas voulu leur faire quoi que ce soit car ils ont trouvé que les Boulailes avaient des yeux… trop mignons !
Leur bouche leur sert à manger et sur le dos ils ont un aileron qui sert à communiquer entre Boulailes.
Vous avez certainement entendu parler des boules de poils que rejettent les chats quand ils font la toilette… ils avalent des poils et ils les recrachent sous la forme d’une boulette.
Et bien, les lions font la même chose et ils donnent naissance à une boule de poils étrange : la Boulaile.
Les Boulailes ne se nourrissent que d’un seul aliment, les poils de félins.
Ils attendent la nuit et dès que leur proie s’endort, ils lui arrachent un poil et le mange.
Ils vivent en groupes : il n’y a que trois groupes de Boulailes dans le monde et dès qu’ils naissent, ils rejoignent un des trois groupes.
Ils ne vivront dans ce groupe que 10 ans, puis ils partiront dans le ciel pour s’éteindre doucement.
Toute sa vie, chaque Boulaile conserve sa couleur.
La seule exception est l’aileron : il change de couleur à chaque lettre que la Boulaile émet… ils se comprennent ainsi entre eux.
Ils connaissent cette langue comme nous, nous connaissons la notre.
Julie, troisième année du cycle 3.
Le Lumi-Sa…
Le Lumi-Sa est un animal qui a une lampe accrochée à sa tête.
Il a aussi quatre yeux, un nez et quatre bras avec des mains a trois doigts dont le bout est plat.
Il est vert et jaune et pèse 28 kilos et mesure 1mètre 20.
Il marche lentement mais il court vite.
Il est né un quatre juillet et vit solitaire dans des endroits chauds, très chauds car il se nourrit de braises et boit du feu.
En Afrique son prédateur est l’éléphant et dans le reste du monde, ses ennemis sont les animaux lourds.
Manon, troisième année du cycle 3.
Le Rounias…
Le Rounias est un animal avec une tête d’aigle, un groin de cochon, un corps de fourmi, une queue de dauphin, et enfin… des pattes de mammouth !
Avec son nez de cochon qui sent sa nourriture de très loin, il chasse ses proies et avec son bec d’aigle, il arrache les poils, les plumes de celles-ci.
Il a une particularité étrange : il boit avec les yeux !!!
Pendant deux mois, quatre jours et deux heurs, la journée comme la nuit, il dort.
Si jamais on le réveille, il sursaute et court après celui qui l’a réveillé mais seulement pendant cinq minutes car après il fatigue.
Il peut vivre jusqu’à 1330 ans, dans les montagnes enneigées, mais aussi sur des îles tropicales ou dans les mers d’eau douce.
Alicia, troisième année du cycle 3.
Le chiontosaure…
Le chiontosaure est un chien-dragon avec une queue de poisson à la place des pattes postérieures.
Il pèse 200 kilos (160 les femelles, et 50 les petits).
Il mesure 5 mètres (4 les femelles, et 1 les petits).
Le Chiontosaure a des écailles bleues et grises et des nageoires orangées.
Il en a une sur la tête qui descend jusqu’au bas du dos, une sur le côté de ses bras et une sur sa queue.
Il a trois doigts sur chaque main avec des griffes de couleur « bleu canard ».
Un petit nait sans griffe et sans dent mais avec des nageoires.
Il nait rose mais commence à avoir des écailles très tôt.
Le Chiontosaure mange toutes sortes d’algues et de poissons, mais pas de mammifère.
Il vit dans les profondeurs marines et il est craint de tous les animaux aquatiques.
La femelle s’accouple avec le mâle puis repart aussitôt comme si elle ne l’avait jamais vu.
Le Chiontosaure est donc un animal solitaire et il tue tous les animaux qui ont le malheur de s’aventurer sur son territoire.
Son seul ennemi est l’homme.
Alizée, troisième année du cycle 3.
Le Schtomp Chape Schtomp…
La tête du Schtomp Chape Schtomp rappelle celle d’un dinosaure ou d’un dragon : il a un museau arrondi et ses yeux sont placés dans une bosse. Il a une énorme mâchoire avec six dents très pointues en haut et trois de chaque côté.
En bas, il a huit petites dents pointues, quatre par côté.
Les pointes sur sa nuque et son dos ressemblent à du feu.
Ses deux ailes sont composées d’os blancs sauf pour les « doigts » et la membrane qui est noire.
Il a une queue de taille moyenne, terminée par une espèce d’ancre de bateau.
Ses pattes sont des pattes de tigre blanc : il en a quatre.
Il a un corps gris, comme sa queue.
C’est un avaleur de cauchemars, c’est cela qui lui donne cette couleur.
Il pèse 18 tonnes à l’âge adulte et seulement 30 kilos lorsqu’il est jeune.
Il mesure environ 2 mètres adulte et moins d’un mètre petit.
Il n’est pas méchant, bien au contraire : il nous aide.
Ne vous étonnez pas si vous en trouvez un dans votre chambre un jour : il sera là pour vos cauchemars…
Hélène, troisième année du cycle 3.
Le Tobalquiqua…
C’est un petit animal de 10 cm de long et 5 de haut à l’âge adulte.
A la naissance, il mesure 3 cm de long et 2 de haut et le mâle pèse 3 grammes alors que la femelle en fait 1.
Ses bras sont fins et très courts. Au bout, il y a de minuscules pattes terminées par trois doigts sans griffe.
Il peut être blanc, beige, noir ou marron.
Sa tête est ronde avec des oreilles pointues, des yeux bleus, une bouche noir et un museau brun.
Il a des ailes.
Il vit un peu partout dans le monde mais surtout en Afrique.
Il mange des plantes, des poissons et des insectes.
Il vit en groupe : l’hiver dans des grottes et le reste de l’année sur des arbres.
Quand il est en colère, il se roule en boule et devient tout rouge.
Ses ennemis sont les renards, les aigles, les hiboux et… l’eau.
Il s’entend bien avec les chiens, les chats et les hamsters.
Il nait en automne et peut vivre une centaine d’années.
Il est en voie de disparition car les hommes coupent les arbres sur lesquels il vit…
Pauline, deuxième année du cycle 3.
Autogama, surnom : Auto…
Il mesure 987 654 kilomètres de haut et c’est le plus grand animal de l’Univers.
Quand il se déplace, il doit faire attention car sinon il écrase tout sur son passage.
Il pèse 9000 tonnes et il est très fort : avec chacun de ses bras terminé par treize doigts, il peut soulever douze camions.
Il peut être de quatre couleurs : rouge, noir, beige et orange.
Il est apparu au 1er siècle.
Il ne peut pas vivre en groupe et se régale d’hommes… à la sauce tomate.
Les hommes ont toujours essayé de s’en débarrasser mais ils n’y parviennent jamais : heureusement il est très rare.
Corentin, troisième année du cycle 3.
Il n’a pas de nom…
Mais c’est un animal qui mesure 1m 90 pour 120 kilos.
Il a des ailes terminées par des griffes, il est gris, sans poil, avec quatre pattes et une lame au bout de sa tête.
Ses yeux sont rouges.
Il na pas de sexe.
Il est quasiment immortel.
Pour se reproduire, il pond un œuf…
Il n’a qu’un seul ennemi, le soleil de sa planète.
Sur sa planète, il fait toujours très chaud (sauf en cas d’éclipse).
Il chasse la nuit, tout ce qui est vivant.
Il vit dans une espèce de termitière géante.
Dylan B., troisième année du cycle 3.
Le Shiqougounia…
Il mesure quatre mètres et pèse 1000 kilos.
Il vit seul, et sent très mauvais : il « pue » !
Il est recouvert de poils.
Il se nourrit d’excréments mais peut aussi manger des humains, surtout des enfants.
Chaynneze, deuxième année du cycle 3.
Le Lumino…
Le Lumino mesure 3m 50.
Il a deux petites pattes à l’avant et quatre grosses pattes à l’arrière, plus une patte flexible et gluante sur le dos.
Il se tient debout.
Les pattes se terminent par trois doigts avec de longues griffes aux pattes avant et cinq doigts aux pattes postérieures.
Sa main gluante a une seule griffe, mais elle peut soulever facilement un camion.
Son corps est en zigzag.
Il se déplace à grande vitesse : jusqu’à 999 999 999 km/h.
Il est orange « flash »…
Comme nous, il nait du ventre de sa mère.
Il est carnivore et mange des requins, des baleines, des ours.
Il vit en groupe.
Pour s’accoupler, il attire la femelle avec un cri puis après l’accouplement, ils se quittent à jamais.
Il déteste les dinosaures, la nuit et les… ornithorynque !
Ses prédateurs sont les dragons, les loups, les mygales et les yétis.
Il est presque immortel : il peut dépasser 100 000 ans.
Victor, deuxième année du cycle 3.
Le Nocturnalopithèque, en latin Nocturnalus Pithecus …
Le Nocturnalopithèque est de la taille d’un éléphant avec cinq doigts aux pattes avant, six doigts griffus aux pattes postérieures, deux paires d’ailes.
Il pèse 125 kilos.
Il crache une lumière qui gèle tout ce qu’elle touche.
Il envoie aussi des éclairs qui paralysent tout être vivant.
Il peut déclencher des tremblements de terre, créer des ondes de choc.
Il sait se métamorphoser comme il le souhaite et imiter n’importe quelle créature, n’importe quel objet.
Il fait des bonds de deux mètres en hauteur.
Il est noir comme les ténèbres.
Il est omnivore.
Il vit en groupe de six cent mille individus et se nourrit principalement de babouins.
Il vit à la limite des déserts, là où il peut trouver des grottes pour s’abriter mais pour chasser il migre vers les forêts.
Thomas, troisième année du cycle 3.
Le Sancoki...
C'est un animal qui mesure 6 mètres de haut et 12 mètres de long.
Il pèse 100 tonnes.
Il n'a ni bras, ni doigts.
Il ressemble à un escargot mais... sans coquille !
Il se déplace, comme les escargots, en glissant.
Il a des bosses sur le dos et la nuque.
Il est bleu et ses bosses sont jaunes.
Il a deux yeux très gros, une petite bouche et un petit nez.
Il est nait dans une rivière mais pas d'un père ou d'une mère car l'espèce des Sancoki ne se reproduit pas ainsi.
Les petits se forment dans les rivières.
Dès qu'ils mesurent plus de 2 mètres de haut et 5 mètres de long, ils s'enfoncent tout au fond de la rivière et dès qu'ils mesurent 3 mètres de long et 6 mètres de haut, ils sortent de l'eau et vont vivre dans les villes pour se nourrir de déchets de nos poubelles... ils sont très utiles car ils recyclent les déchets que nous ne pouvons pas recycler !
Ils ne vivent pas en groupe.
Ils n'ont pas de prédateur mais un seul ennemi : les éboueurs.
Les Sancoki mangent TOUS les déchets : ils n'en laissent aucun.
Alors comme les éboueurs n'ont plus de travail, ils ne gagnent plus leur vie et alors ils chassent les Sancoki.
Heureusement, quand ils le souhaitent, les Sancoki peuvent devenir invisibles, et ils évitent ainsi de se faire tuer.
Le sancoki peut manger jusqu'à 50 tonnes de déchets par jour,
Maureen, deuxième année du cycle 3.
19:00 Publié dans Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 14 juin 2010
Une poésie d'Oriane...
Souffle le vent...
Vaste chemin
Le bruit retentit
La peur se réveille...
Souffle le vent...
Une chouette est ici
Mais elle ne fait pas de bruit
Elle vient se poser sur mon bras
Et me dit que c'est fini...
Souffle le vent...
Oriane, troisième année du cycle 3.
Juin 2010.
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vendredi, 04 juin 2010
Une poésie de Pauline...
La musique
Sous le rythme des percussions,
La mélodie des instruments à vent,
Ou le swing des cordes pincées.
Dans l'orchestre classique,
Le concert des Rollings Stones,
Ou la fête de la musique.
D'Édith Piaf à Sean Paul,
En passant par Mika,
David Guetta,
Paul Mc Cartney,
Ou encore Amel Bent.
Pauline
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Un texte de Joséfine...
Petit oiseau
toi qui es si beau
tu flottes dans ciel
avec tes belles ailes
tu voles sur l'air
mais aussi un peu sur terre
si j'étais comme toi mon coeur serait rempli de joie...
Joséfine, deuxième année du cycle 3.
10:11 Publié dans Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
Un autre texte de Joséfine...
Mr Soir est furieux
il fait noir et les enfants ne sont pas dans leur lits endormis.
Mme Matin a fait du pain...
pour les enfants qui ont faim ce matin...
Mademoiselle Midi rit elle a fait un déjeuner que les enfants ont
apprécié...
Mr Après-Midi prend un goûter avec du chocolat qui a disparu
parce que les enfants l'ont mangé tout cru !
Mr Minuit est très précis il dit bonne nuit aux enfants endormis...
Joséfine, deuxième année du cycle 3.
10:10 Publié dans Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)
Trois haïkus...
Une lueur monte
dans le ciel
c'est le soleil du matin.
Dans un milieu sombre
des étoiles
et une lune.
Un papillon flotte
dans le vent
dans le ciel bleu.
Joséfine, deuxième année du cycle3.
10:08 Publié dans Nos textes ... | Lien permanent | Commentaires (0)