La camionnette à Infos, le blog...

 Dernier jour de la semaine !

Jean-Charles est toujours absent.
Lucas aussi, il termine ses vacances.

Aujourd'hui,
comme chaque jour, nous avons eu un temps de travail personnel et-ou de travail à finir.
Nous avons aussi eu un temps d'EPS en deux parties :
- jeux comme la balle assise
- endurance pour nous préparer à une course dans le village la semaine prochaine.
Nous avons aussi terminé et corrigé nos problèmes de mathématiques et nos textes sur "perdre un sens.
nous avons parlé de la poésie :
- ce que c'était pour nous
- ce que l'on pensait de la poésie
Nous avons aussi écrit des textes sur ce sujet.
Nous avons continué nos travaux d'art plastique.

Bon week-end, à lundi,
le cycle 3.

Et pour finir cette semaine de la poésie :

LES MACHINES 

Nous aussi, 
On est des machines. 

Et voici qu'on commence 

A vivre ce savoir, 

A nous sentir un peu pareils 

Aux transistors, aux ordinateurs. 

Et nous commençons à sentir 

Passer en nous, tourbillonner 

Les électrons, 
Jusque dans un sourire 

Qui s'ébauche vers l'autre.  

Eugène Guillevic  

Camille et Lucas sont absents.
Jean-Charles aussi.

Qu'avons-nous fait aujourd'hui ?

- du travail personnet et-ou du travail à finir
- de l'anglais pour les ce 2
- de l'art plastique
- des maths, des problèmes que nous avons échangés
- du français, des poésies...

Le cycle 3.

Une nouvelle poésie pour ce printemps des poètes :

La recherche...

Certains la cherchent dans les airs
Parmi les oiseaux des nuages,
D'autres dans les fleurs du bocage
Ou dans les algues de la mer.
Ils s'en vont la chercher en Chine,
Dans un temple ancien, à Pékin,
Dans les pages d'un vieux bouquin,
Dans les secrets d'une machine...

Pourquoi remuer la planète ?
Moi, comme je t'aime beaucoup,
Dans les cheveux blonds de ton cou
Je cherche la petite bête.

Jacques Carpentreau.

Iris était malade ce matin, elle est revenue cet après-midi.

Nous avons continué les lettres pour nos correspondants.

Nous avons lu le compte-rendu de la visite au musée Fernand Léger et nous l'avons rangé dans le classeur.

Nous avons fait nos mathématiques en groupes.

Cet après-midi, nous avons eu notre première séance d'escrime ! Elisabeth, notre maître d'armes nous a présenté les différentes armes utilisées en escrime.

Ensuite elle nous  a expliqué comment on se sert des masques, du fleuret, et nous nous sommes habillés. Nous avons fait un jeu d'esquive.

Et après la récréation nous avons fait les ateliers avec la classe d'Elena.

C'était une bonne journée !

Jean-Charles est toujours absent.
Camille, Lucas et Francesca sont absents.

Ce que nous avons fait :

- du travail personnel
- des maths, nous avons travaillé à deux sur des problèmes
- de la poésie, nous avons lu et écouté différentes poésies soit écrites par l'un-e de nous, soit écrites par un-e adulte
- de l'EPS, nous avons fait des jeux comme la balle assise dans la cour
- du français, nous avons d'abord discuté de nos idées sur le nouveau sujet proposé par une des classes de Vence avant d'écrire nos textes.
Le sujet c'est :
Que se passerait-il s'il nous mmanquait un sens ?
Comment seraient nos vies ?

Bon mercredi, le cycle 3.

Une poésie :

Je hais les haies

Je hais les haies
Qui sont des murs.
Je hais les haies
Et les mûriers
Qui font la haie
Le long des murs.
Je hais les haies
Qui sont de houx.
Je hais les haies
Qu’elles soient de mûres
Qu’elles soient de houx !
Je hais les murs
Qu’ils soient en dur
Qu’ils soient en mou !
Je hais les haies
Qui nous emmurent.
Je hais les murs
Qui sont en nous.

Raymond Devos

Ce matin nous avons ouvert une grande enveloppe qui venait de Calais : Chaque enfant a reçu une lettre de son correspondant, même Nans.

Nous les avons lues, puis nous avons commencé à répondre sur le carnet. Certains enfants ont commencé à recopier sur une grande feuille blanche.

Nous avons fait les mathématiques en groupes.

Nous avons recommencé la danse dans la salle et nous avons envie de danser sur les musiques du spectacle de Falafluuf. Aujourd'hui c'était "le vol du bourdon", de Rimsky-Korsakov.

Nous avons eu des présentations :

- Chiara nous avait montré hier ses médailles de ski. (Mais Nadine avait oublié de le noter) Elle nous a aussi apporté des chocolats suisses en formes de coccinelles. Merci Chiara !

- Mia nous a présenté un long texte qu'elle a écrit pour raconter ses vacances à la neige.

- Iris nous a montré sa deuxième étoile.

Nous avons travaillé avec le plan de travail.

Nous avons répété nos chansons pour chanter à Cabris au mois d'avril.

Jeudi, nous commençons l'escrime !
Il faut penser à la tenue de sport.

Toute cette semaine,
il est possible de fêter la poésie :

en lire, en dire, en écrire,
en chanter, en dessiner, en écouter,
en rêver,...

Bon printemps des poètes et des poétesses.

Pour commencer,
deux poésies de Daniel Schmitt,

poète de la région
que j'ai eu la chance de rencontrer.

Ne pas oublier non plus
d'aller dans la rubrique
nos textes,
il y a de très beaux textes...

Jean-Charles.

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Mes résidences

Je n’habite pas du côté de l’océan

mais du côté de la goutte d’eau

Je n’habite pas du côté de la forêt

mais du côté du brin d’herbe

Je n’habite pas du côté de l’ouragan

mais du côté du courant d’air

Je n’habite pas du côté de l’aigle

mais du côté du pingouin

Dites-moi où vous habitez

si vous habitez mon quartier

Je viendrai un de ces jours

vous dire un petit bonjour

Daniel Schmitt.

Je suis un arbre les enfants !
Je suis un arbre
Sur lequel de temps en temps
Viennent tout furtivement
Se poser des oiseaux-poëmes
(drôles d'oiseaux vraiment !)  

Les attraper c'est difficile
Vers l'un parfois je tends ma branche
(Je veux dire mon bras !)
Mais le poëmoiseau s'en va

Parfois j'en attrape un
Et je le garde dans mes mains
Pour le mettre en mes mots-cages
(Du moins s'il chante bien !)

Les enfants ! Je suis un arbre
Avec de temps en temps
Un oiseau-poëme qui se pose dedans  

Vous regardez en souriant
Le dessus de mon crâne
En pensant au feuillage manquant
Mais ça ne fait jamais qu'un espace plus grand
Pour qu'ils se posent plus aisément
Les poëmoiseaux les oiseaux-poëmes
Les enfants !

Daniel Schmitt.

Rentrée ratée pour Jean-Charles !

Il est remplacé par Daniel, un maître remplaçant.
Jean-Charles sera de retour au mieux dans une semaine et au pire dans trois ou quatre semaines.
On le saura vendredi soir.

Lucas est en vacances.

Aujourd'hui, nous avons eu un long temps de travail personnel.
Nous avons travaillé sur le patrimoine historique de Mouans-Sartoux avec Valérie.
Nous avons travaillé en maths et nous avons fait de l'EPS : des jeux dans la cour.

Le cycle 3.

C'est la rentrée ! Tout le monde est là sauf Rahul qui sera absent toute la semaine.

Ce matin, nous avons écrit des phrases pour dire ce que l'on a pensé quand on a vu le spectacle de danse de Falafluuf. Nadine les enverra aux danseurs.

Nous avons fait les mathématiques en groupes.

Nous avons été changer nos livres en BCD avec Evelyne.

Pendant ce temps l'autre groupe a fait musique avec Nadine : Cette fois on a fait des sons rien qu'avec la bouche !

Nous avons travaillé avec le plan de travail. Les CP en ont eu un nouveau avec plus de choses dessus.

Demain nous recommençons la danse.

Des poissons...

Des poissons dans la mer
Des poissons dans un aquarium
Des poissons dans un bocal
Des poissons chez mon amie
Mais... pas de poissons libres !

J'aimerais...

J'aimerais lire
J'aimerais jouer de la musique
J'aimerais danser
J'aimerais faire de nombreuses choses
Mais ce que j'aimerais le plus garder
C'est... ma liberté !

Partir...

Demain je partirai.
Je partirai vers un monde magique
Un monde d'humour
Un monde d'amitié
Un monde tranquille...
Un monde PARFAIT !

Nicoline, deuxième année du cycle 3.

Puni !

Puni de courir
Puni de jouer
Puni de s'amuser
Puni de partir
Puni de revenir
Puni,...
Puni, Puni, Puni,...
Mais de quoi n'est-il pas puni ?

Peurs...

Peurs de bébés
Peurs d'enfants
Peurs d'ados
Peurs d'adultes...
Partout il y a de la peur !

Alicia, troisième année du cycle 3.

Rendez-vous
lundi 12 mars 2011
à partir de 8h20...

Bonne fin de vacances.

Après avoir écrit nos textes et lu ceux des autres classes, nous avons constaté que beaucoup d’entre-nous parlaient du troc, d’un retour en arrière dans l’Histoire…
Certain-e-s avaient aussi remarqué qu’il y aurait certainement des difficultés à mettre un autre système en place.

En fait, nos textes et ceux des autres classes ont certainement étaient écrits trop vite.

Nous avons donc eu une nouvelle discussion sur ce sujet…

Plusieurs questions restaient posées :

Est-ce que tout peut s’échanger en faisant du troc ?

Faudrait-il garder l’argent pour certains échanges ? Lesquels ?

D’où proviendraient les objets à troquer ?

N’y aurait-il pas encore des tricheurs, des fraudeurs, des pauvres ?

Faudrait-il mettre en place une sécurité, une police pour surveiller les échanges, faire respecter les règles ?

Faudrait-il mettre en place un système pour que les échanges soient équitables ?

Les gens seraient-ils encore payés avec de l’argent ou de quoi faire du troc ?

Nous avons constaté qu’il faudrait que les échanges soient bien organisés pour éviter des problèmes comme les tricheurs, les fraudeurs.

Certain-es ont pensé qu’il faudrait qu’il y ait un groupe d’experts chargé d’aider les échanges, de vérifier qu’ils soient équitables.

D’autres ont pensé qu’il faudrait que soient mis en place des listes affichées dans les marchés, les magasins, ou envoyées au gens pour donner la valeur des choses à échanger.
D’autres pensent que c’est aux personnes qui font les échanges de se mettre d’accord et que s’ils sont d’accord, il n’y a pas besoin d’experts pour contrôler.

Certain-e-s pensent aussi que du coup même sans troquer les gens s’aideraient plus, se donneraient des coups de mains.

Beaucoup de choses peuvent s’échanger :

- de la nourriture

- des vêtements

- des objets

- des connaissances

- des services, de l’aide

- des loisirs

- des soins, des médicaments

- des lieux de vacances

- des spectacles.

Il faudrait qu’il y ait des carnets d’échanges pour savoir ce que l’ont peut échanger, quand on a réalisé un échange (car si jamais l’objet ne fonctionnait pas ou mal, il faudrait pour de nouveau l’échanger).

Il faudrait que les gens reçoivent avec leurs salaires ou à la place de leurs salaires des objets à échanger ou de quoi montrer qu’ils peuvent échanger (un carnet d’échanges, par exemple).

Plusieurs valeurs nous semblent nécessaires pour mettre en place une société sans argent :

- la confiance

- le respect des règles, des autres

- l’égalité entre les hommes et les femmes

- l’aide ou l’entraide entre les personnes

(On appelle ça la « solidarité »)

- l’envie de se contenter de moins qu’aujourd’hui

(On appelle ça la « décroissance »).

Quelques remarques :

- des gens aujourd’hui se sont remis au troc même dans les grandes villes et ça fonctionne bien : il y a par exemple les réseaux d’échanges de savoir.

- troquer est donc réalisable et on pourrait par exemple échanger de la nourriture, des choses que l’on sait faire contre des objets utiles à la vie, ou de loisirs

- tout troquer doit être difficile à réaliser, voire même impossible pour le moment car il faudrait beaucoup changer le comportement des humains

- faire que certaines choses soient complètement gratuites : aller chez le médecin, aller chez le pharmacien, le loyer, l’électricité, l’eau

- qu’au départ chaque personne ait par exemple un jardin, des objets à échanger,…

Il faudrait donc changer nos manières de vivre pour vivre dans un monde plus juste, avec plus d’égalités, sans riches, sans pauvres,…

Une solution peut être envisageable :
- mettre en place un système mixte : de l’argent et du troc.

Nous pensons aussi que dans un monde sans argent ou avec un système mixte, il y aurait plus d’écologie, plus de « nature » (chaque personne cultivant par exemple son terrain, élevant des animaux), moins de problèmes (chaque personne ayant à peu près les mêmes richesses que les autres, les mêmes possibilités d’échanger).

Certain-e-s pensent que ce serait retourner à notre « ancienne vie » et que beaucoup de choses disparaitraient et que ce serait un peu triste de ne plus pouvoir vivre comme maintenant.
D’autres pensent que ce serait mieux puisque on aurait encore la possibilité de vivre comme aujourd’hui, mais mieux.

En conclusion :

Nous avons essayé de creuser le sujet, et nous y sommes parvenus mais du coup, c’est encore plus compliqué…

Le cycle 3 de Mouans-Sartoux.

Nous avons commencé à travailler sur Mouans-Sartoux.

Nous avons travaillé avec :
Valérie de la mairie,
le club patrimoine culinaire
du collège de MSX, la Chênaie,
Jean-Charles, notre maître.

Voici un aperçu de ce que nous savons
maintenant sur notre ville...

Le cycle 3.

A télécharger en cliquant ICI
un document réalisé par Mélodie,
troisième année du cycle 3.

Mouans-Sartoux est située dans la vallée grassoiseentre Cannes (12 km) et Grasse (8 km)et à proximité immédiate de Mougins.

Le maire s’appelle André Aschieri.

Au départ, il y avait deux villages : Mouans et Sartoux.
Mouans était du côté de la plaine et Sartoux sur la colline.

Il y a eu la peste et les deux villages ont été dépeuplés mais Mouans a été un peu moins touché.

Pierre de Grasse, un seigneur, en 1496, a alors fait venir des familles italiennes, soixante familles environ : des « figons », de la région de Gênes et ils ont conclu un pacte d’habitation : en échange de venir habiter à Mouans, chaque famille recevait un lopin (morceau) de terre à cultiver et une habitation.

C’est aussi ce qui explique que le village a une forme en damier (chacun avait la même taille de terre).

Le château de Mouans était la demeure des seigneurs mais en cas de batailles, de problèmes le seigneur se réfugiait dans une maison à côté de la poste, la batisse du château.
Il a été rénové car il avait été détruit.
Le château de Mouans, construit de la fin du XVe siècle au tout
début du XVIe siècle, est resté la propriété des Grasse jusqu'en
1750, puis il passa aux Villeneuve.
Au cours de la Révolution, le château de Mouans subit le sort de
bon nombre de châteaux : il sera détruit en grande partie.
Il devint la propriété de la Famille Durand de Sartoux au début du
XIXe siècle qui va le réhabiliter.
Il sera reconstruit suivant les plans d'origine.
Il conserva ainsi son architecture triangulaire, ses trois tours, sa cour intérieure.

C’est Napoléon 3 qui a réuni en un seul village Mouans et Sartoux, en 1858.

On allait à l’épicerie pour faire des courses mais aussi pour conclure des marchés en buvant du ratafia : un jus de fruits avec de l’alcool.

Il y avait deux fours à pain dans le village.

Un existe toujours à la MCE (Mouansoise de Commerce Equitable), rue de la liberté.

Le pain était cuit au feu de bois. Il était enfourné avec des espèces de grandes pelles.

Trois personnes étaient nécessaires pour le faire fonctionner :
- une pour ramasser le bois et allumer le four

­- une pour vérifier la température du four

- une troisième pour s’occuper de la cuisson des pains.

La commune de Mouans-Sartoux a une forme de papillon : une aile est Mouans, une autre est Sartoux.

Il y a six rues principales dans le village qui conduisent toutes au château.

Il a trois tours et abrite maintenant l’espace de l’art concret, un musée et dans ses écuries un autre musée, reflet d’un monde rural.
Il est entouré d’un parc qui a la taille du village.

Il y a deux monuments aux morts : un devant le château et un autre à côté de la salle Léo Lagrange.

La poste était avant l’école des garçons et celle des filles était juste à côté.

Il y a maintenant trois écoles à Mouans-Sartoux et Aimé Legall est la plus ancienne.
Il y a aussi un collège : la Chênaie et plusieurs crèches.

La mairie n’a pas toujours été à la même place.

L’église est de style roman.

Il y a un lavoir qui servait aux lavandières à laver le linge avec de l’eau et de la cendre.

Il n’y avait pas de toilettes : les gens faisaient leurs besoins dans des seaux et il arrivait que certains viennent nettoyer les seaux dans le lavoir.

Avant, en 1730 quand il a été construit,  le lavoir n’avait pas de toit.

Autour du lavoir, il y avait de la terre.

Les lavandières creusaient un trou dans le sol, le remplissait d’eau et de cendre, y lavaient les vêtements avant de les rincer dans le lavoir.
Elles transportaient le linge dans un grand drap appelé « flourier ».

Les lavandières tout en travaillant, parlaient un peu de tout : elles refaisaient le monde.

Les maisons sont souvent construites ainsi :

- En bas, il y avait l’écurie.
- A l’étage, il y avait une grande pièce la cuisine qui faisait aussi chambre, salle de bains, etc.
- En haut, le grenier.

Mouans-Sartoux était une ville agricole surtout autour de la culture de la vigne et de l’olivier avant que soit cultivé le jasmin, pour les parfums.

Il y a avait aussi l’élevage des vers à soie, dans les « magnaneries » et donc on cultivait le mûrier, dont se nourrissaient les vers à soie.

La bibliothèque de Mouans-Sartoux était devenue trop petite alors a été créée une médiathèque moderne : bibliothèque, mais aussi vidéothèque, cinéma.

Il y a aussi une ludothèque : Quartier Libre.
Il y a de nombreuses fêtes à Mouans-Sartoux comme : le festival du livre, la fête du miel, la fête de la forêt, la fête du canal, la fête des potiers, etc.
Il y a de nombreuses associations et de nombreux clubs de sports.
Il y a deux gymnases, un parc pour faire du skate, des tennis, et de nombreuses autres installations sportives ou de jeux.

Des liens utiles :

L’Office de Tourisme de Mouans-Sartoux :
http://www.mouans-sartoux.com/

Le site de Mouans-Sartoux :
http://www.mouans-sartoux.net/!mouans/index/index.php

L’espace de l’Art Concret :
http://www.espacedelartconcret.fr/

La médiathèque :
http://www.lamediatheque.net/

La ludothèque Quartier Libre :
http://ludothequequartierlibre.com/

Le Centre Culturel des Cèdres :
http://www.centrecultureldescedres.fr/

Le Festival du Livre :
http://www.lefestivaldulivre.fr/

La Bastide du parfumeur :
http://www.museesdegrasse.com/

A compléter et modifier…