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jeudi, 21 juin 2007

La pauvreté, les pauvres ?

Nous avons réfléchi à la pauvreté, aux pauvres...

Les pauvres sont des personnes qui n'ont rien à manger (ou presque rien), qui n'ont pas de maison, qui vivent parfois dans la rue, dans des foyers...
Parfois, certaines personnes ont choisi d'être pauvres.
Parfois, certains pauvres sont des voleurs.
Il y a des pauvres de partout : à Vence, à Nice, en France, au Burkina Faso,etc.
Moi, je n'aime pas les pauvres qui volent, mais je n'aime pas non plus ceux qui volent les pauvres et les rendent pauvres... je ne supporte pas ça.
C'est dommage que peu de gens donnent de l'argent aux pauvres, mais moi je le fais.
Si on donnait tous un peu d'argent aux pauvres, les pauvres ne seraient plus pauvres : ils seraient "normaux", comme nous.
Hugo, première année du cycle 3.

Les pauvres n'ont pas d'argent, ils ont parfois du mal à se nourrir... moi je n'aime pas la pauvreté, ce n'est pas normal qu'il y ait des pauvres sur Terre.
Certains pauvres ont choisi de ne pas travailler, mais les autres ne trouvent pas de travail même s'ils en veulent et ils sont encore plus pauvres... ils n'ont pas de chance dans la vie et doivent certainement être très tristes.
Il faudrait faire plein de choses pour les héberger, les nourrir, les habiller et surtout donner du travail à ceux qui en cherchent ou en veulent.
On peut aussi si on a une grande maison héberger chez soi des pauvres.
Méziane, première année du cycle 3.

Un pauvre, c'est quelqu’un qui n'a pas de travail, qui est au chômage et n'a plus de quoi se nourrir, se loger... certains pauvres vivent même dans la rue, ce sont des SDF (Sans Domicile Fixe).
Des pauvres, il y en a un peu partout en France mais aussi dans le monde.
Il y a des pauvres qui deviennent pauvres car ils ont dépensé TROP d'argent et d'autres qui le sont depuis qu'ils sont nés, car leurs parents n'avaient pas de travail, de maison.
Il faudrait que les pauvres puissent travailler et donc gagner leur vie.
C'est comme cela qu'il n'y aura plus de pauvreté dans le monde.
Nicolas B., première année du cycle 3.

Quand on n'a pas de maison, de travail, d'argent, pas d'amis, on devient un pauvre.
Certains pauvres sont malheureux et ils boivent de l'alcool et alors les autres personnes qui ne sont pas pauvres veulent s'en débarrasser.
Il faudrait déjà être gentil avec les pauvres et qu'ils puissent avoir du travail.
Il y a déjà des associations qui aident les pauvres en France comme la Croix Rouge ou le Secours Populaire.
Gwénola, première année du cycle 3.

Pour moi, les pauvres sont des personnes qui n'ont pas assez d'argent pour s'acheter de la nourriture.
Ce sont aussi des personnes qui n'ont pas d'emploi.
Il faudrait les aider à en trouver... il faut du travail pour des gens qui n'ont pas beaucoup de compétences car on peut les former pour qu'ils en aient.
Vincent, première année du cycle 3.

Un pauvre, ce peut être aussi quelqu'un qui vient d'un autre pays où il ne pouvait pas vivre et qui arrive et n'a pas assez de sous, d'argent, et ne trouve pas de maison, d'amis... il est tout seul, sans aide.
Des pauvres, il y en a de partout, et la pauvreté il y en a trop dans le monde.
En plus, les gens qui ont de l'argent rejettent souvent les pauvres car eux ils n'ont pas d'argent... c'est injuste.
Les pauvres, ils sont comme les riches, les moins riches, ils sont pareils sauf qu’eux ils n'ont pas la chance d'avoir de l'argent et donc ils n'ont pas la même vie que les autres.
Diana, première année du cycle 3.

Les pauvres sont des personnes qui n'ont pas d'argent et parfois ils en réclament dans la rue. Il y a aussi beaucoup de personnes handicapées qui sont pauvres car des directeurs d 'entreprises, par exemple, ne veulent pas les employer car ils les trouvent bizarres !
Les pauvres qui réclament de l'argent dans les rues le font pour s'acheter à manger.
Il y a plusieurs raisons pour expliquer la pauvreté... certains ont choisi d'être pauvres mais la plupart des pauvres sont des gens qui aimeraient travailler, avoir une vie normale, mais les autres, ceux qui ne sont pas pauvres, les trouvent très souvent "bons à rien" !
Des pauvres, il y en a de partout, même aux Etats Unis !
Je pense que cela devrait cesser parce que c'est triste de voir des personnes assises par terre, tenant un bol ou un bocal et réclamant de l'argent. En plus certains meurent même de pauvreté...
Il faudrait qu'il y ait de partout des maisons pour aider les pauvres, s'occuper d'eux en donnant à manger, en donnant des vêtements mais aussi du travail.
Julien, première année du cycle 3.

Les pauvres sont des gens qui n'ont pas de chance dans la vie car ils n'ont rien.
Il y en a partout dans le monde, en Europe, en Inde, en Afrique, en Amérique,... partout.
Mais il y a des pauvres qui exagèrent car ils dépensent inutilement l'argent qu'ils reçoivent. Mais j'aimerais que la pauvreté n'existe plus.
Christina, première année du cycle 3.

Un pauvre est une personne qui vit dans la rue, qui n'a pas d'argent. Il y a des pauvres qui font la manche (ils mendient) et tous les sous qu'ils reçoivent ils vont les dépenser au bar... s’ils ne veulent pas chercher du travail ils seront toujours pauvres.
D'autres cherchent vraiment du travail, mais ils ne trouvent personne pour les employer.
Tant que des gens n'auront pas assez d'argent pour vivre, trouver un studio, un appartement ou une maison, il y aura toujours des pauvres.
Des pauvres il y en a partout mais surtout dans les pays comme le Burkina Faso, l'Inde, des pays où il y a la guerre ou la famine.
Ce serait bien que les riches puissent partager leurs richesses avec les pauvres, comme cela le monde changerait...
Diego, deuxième année du cycle 3.

Quand tu n'as plus de sous, plus de maison, plus de quoi t'habiller, te nourrir, tu deviens un pauvre.
La pauvreté elle existe partout dans le monde, même dans les pays riches.
C'est triste de penser et de voir des pauvres tous les jours autour de nous : il faudrait vraiment qu'il n'y ait plus de pauvres.
Pour arranger ça, il faudrait qu'il y ait plus de personnes qui s'en occupent et les aident.
Chelsea, deuxième année du cycle 3.

La pauvreté c'est quelque chose qui fait mal, qui fait pleurer, qui fait souffrir et même mourir !
Les pauvres ne sont souvent pas respectés par les autres, ceux qui ont de l'argent qui les ignorent, et même parfois les chassent sans pitié, sans le moindre regard.
Les pauvres perdent confiance en eux, perdent courage...
Heureusement il existe des personnes qui les respectent, les aident, font confiance dans leurs capacités.
A cause de la pauvreté des millions de personnes meurent chaque année dans le monde, même dans les pays riches.
Pour que cela change, il faudrait que tout le monde soit obligé de partager, surtout ceux qui sont très riches... cela changerait la vie...
Allez, levez-vous et partagez un peu avec les autres !
Mouna, deuxième année du cycle 3.

La pauvreté fait parfois souffrir, mourir, elle rend aussi les gens malades, tristes, malheureux.
Vivre dans la rue, ne pas avoir d'argent, ce ne doit pas être facile.
Ne pas avoir une vie "normale", une maison chaude en hiver, de quoi manger, ce doit être terrible.
Ne pas trouver du travail, se faire rejeter, ce doit être bien triste aussi.
La pauvreté on la trouve dans les pays en guerre : des gens perdent leurs maisons, leur travail, ils ne trouvent plus à manger.
Il y a aussi des pauvres dans les villes riches car ils ne peuvent pas se payer une maison : ils vivent dans la rue, dans les parkings.
Sans travail, on ne gagne pas d'argente t sans argent on ne peut pas vivre.
C'est vrai que certains pauvres ont choisi d'être pauvres.
D'autres le sont car ils n'ont pas eu la chance de savoir lire, d'aller à l'école, d'apprendre des choses pour avoir un métier.
Ce doit être horrible de vivre comme ça, dans la pauvreté.
Il faudrait construire des logements pour les héberger, des bâtiments avec des personnes qui pourraient les aider à retrouver ou trouver du travail, pour apprendre...
Marina, deuxième année du cycle 3.

Parfois les pauvres se servent de leur dernier argent pour aller boire dans des bars et oublier qu'ils sont pauvres... mais ils le restent pauvres.
Des pauvres, il y a en a dans tous les pays du monde.
C'est injuste car quand il y a des riches qui dépensent beaucoup d'argent en jouant au Casino, il y a des gens qui n'ont rien à eux !
On devrait plutôt aider les pauvres à trouver du travail, et donc à gagner de l'argent.
Corentin, deuxième année du cycle 3.

Les pauvres, pour moi, sont des personnes qui n'ont pas trop d'argent et ne peuvent donc pas manger correctement, s'habiller correctement, se loger correctement.
Même s'il y a des pauvres qui vont boire de l'alcool dans des bars et gaspillent ce qu'ils ont, ils ne sont pas nombreux.
certains pauvres n'ont même plus de maisons et sont obligés de se nourrir dans les poubelles des autres...
Les pauvres n'ont pas la chance de réussir leur vie et il y a même des pauvres dans les pays riches.
On pourrait les accepter au travail, mais je crois que cela ne s'arrêtera jamais : il y aura toujours des pauvres et des riches.
Aïchoucha, deuxième année du cycle 3.

De la pauvreté, on en trouve de partout : en France comme dans tous les autres pays du monde mais à chaque fois lkes pauvres meurent de faim, de soif, de froid, de chaud.
Il y en a dans les villes surtout et dans les pays en guerre.
On peut devenir pauvre si on a été habitué à avoir des tas de choses quand on était petit et quand on devient adulte on ne sait pas s'arrêter d'acheter, d'acheter..
J'aimerais bien qu'il y ait un monde sans pauvreté avec beaucoup moins de gens riches avares.
Dans un monde de rêve la pauvreté n'existerait plus.
On pourrait demander aux pauvres ( à certains) et les aider aussi pour qu'ils arrêtent de boire, de fumer, de se droguer comme cela les autres, les riches, ne les regarderaient pas bizarrement et ils auraient plus envie de les aider, de partager.
Irina, deuxième année du cycle 3.

Les pauvres ne sont pas obligés de vivre dans la rue, on peut être pauvre et avoir un logement.
Les pauvres ne sont pas obligés de demander de l'argent dans les rues car c'est désagréable pour eux de faire ça, ils ne sont pas heureux de le faire.
Certains cachent leur pauvreté.
Bien souvent les pauvres ne vivent pas très longtemps.
Quand on n'a plus de travail, on ne gagne plus d'argent, on ne fait plus rien, on perd tout, et on peut même devenir très sale.
Certains pauvres n'osent pas demander de l'aide et ils deviennent encore plus pauvres.
Parfois, ils se mettent à boire et ils pensent que cela ira mieux mais ce n'est pas vrai.
Quand on est pauvre, on ne peut pas vivre normalement, et c'est injuste car les pauvres vivent et croisent des gens qui sont riches, ou très riches : et eux n'ont rien ou presque.
Quand on est pauvre, on peut aussi perdre ses amis, on peut finir tout seul.
Ce doit être possible de partager de l'argent avec les pauvres...
Jean, deuxième année du cycle 3.

Les pauvres n'ont pas d'argent alors ils ont du mal à bien se nourrir, bien se loger, bien s'habiller... bien vivre donc.
Certains pauvres ont plus de chance que les SDF, ils ont une maison mais ils sont malgré cela pauvres, ils sont malheureux.
D'autres ont un salaire, mais il est trop petit pour arriver à vivre normalement.
Certains pauvres sont aussi victimes du racisme des patrons : ils n'aiment pas les arabes, les chinois, les handicapés, les cheveux longs, etc. donc ils ne les emploient pas.
On peut trouver des pauvres mais dans des villes comme Las Vegas !
Ce n'est certainement pas génial d'être pauvre car on a besoin d'argent pour vivre... moi je n'aimerais pas être pauvre.
On pourrait construire des foyers pour les aider mais en tous les cas, l'état pourrait financer ça et il pourrait y avoir une gigantesque collecte dans le monde.
Matéo, deuxième année du cycle 3.

Un pauvre est une personne qui ne peut pas vivre de ses propres moyens et qui vit dans de mauvaises conditions.
Un pauvre n'a pas les moyens de vivre normalement, notamment les personnes très pauvres, qui n'ont pas de logement.
Il y a aussi des pauvres qui gagnent leur vie mais doivent faire tout le temps attention à leurs dépenses et ils travaillent énormément pour gagner peu d'argent, pas suffisamment pour vivre tranquillement.
Des pauvres, il y en a partout où il y a de l'argent et du commerce.
Il y a au moins deux catégories de pauvres :
- des gens qui travaillent dur mais qui ne gagnent pas assez et qui ont trop de charges à payer... mais ils travaillent vraiment et aimeraient s'en sortir.
- des gens qui deviennent ou choisissent d'être pauvres et ne veulent plus ou ne peuvent plus s'en sortir.
Une chose certaine, toujours et partout, on trouvera des pauvres.
C'est pourtant terrible de ne pas pouvoir profiter de sa vie à cause de la pauvreté.
Ne pas vouloir s'en sortir, c'est horrible car plus on attend, plus ce sera difficile de s'en sortir.
C'est vraiment injuste qu'il y ait des gens qui puissent avoir plusieurs maisons dans le monde et d'autres même pas de quoi se loger !
Il devrait y avoir plus d'aides versées aux pauvres.
On devrait pouvoir, même si c'est dur, se sortir de la pauvreté.
Il faudrait qu'il y ait plus d'endroits pour accueillir et aider les pauvres mais il faut aussi que les pauvres se mettent alors à chercher du travail pour s'en sortir.
Nina, troisième année du cycle 3.

La pauvreté est pour moi une injustice car sans argent impossible de vivre correctement et en devenant SDF impossible aussi de bien vivre !
Des pauvres, même s'il y en a énormément en Afrique, il y en a partout dans le monde.
Il y a des pauvres car notre monde est basé sur l'argent et le pouvoir : il y a des classes sociales (très riches, riches, moyennement riches, moyennement pauvres, pauvres, très pauvres).
Certains qui ont de la richesse et du pouvoir décident de ne pas employer ceux qui n'ont ni richesse ni pouvoir ou qui sont simplement différent (couleur de peau, handicap,...).
Il ne devrait plus y avoir des pauvres et des riches et un moyen, de lutter contre ça, c'est de donner la même éducation à chacun !
Matthieu, troisième année du cycle 3.

Les pauvres n'ont pas assez d'argent pour payer un loyer, de la nourriture.
Il y a parfois des pauvres qui achètent de la bière plutôt que de la bonne nourriture et quand ils veulent avoir un travail, ils sont rejetés car on croit qu'ils n'ont pas assez de capacités...
Quand un pauvre n'a plus assez d'argent pour payer son loyer, un huissier arrive, lui confisque ce qui lui reste comme meubles, objets et il est mis à la porte de son logement et peut donc devenir SDF.
Des pauvres il n'y en a pas que dans les pays pauvres, il y en a aussi dans les pays riches.
C'est dommage qu'il y ait des pauvres mais on pourrait avoir dans chaque ville un très grand foyer pour les accueillir, et les mairies pourraient donner du travail à ces pauvres.
Nicolas P., troisième année du cycle 3.

Les pauvres sont parfois dans la rue, ils mendient avec un chien ou en prenant l'air malade pour avoir un peu d'argent.
Certains vivent dans des cartons toute l'année.
Certains sont devenus pauvres car ils ont fait un peu n'importe quoi avec leur argent jusqu'à ce qu'ils n'en aient plus.
Les pauvres, ils ne sont pas tous au même niveau car il y en a qui travaillent et qui pourtant sont pauvres.
Il faudrait mieux organiser la société pour que la pauvreté disparaisse et en premier il faudrait convaincre le plus grand nombre que les pauvres ont aussi du talent et peuvent vraiment travailler.
Ella, troisième année du cycle 3.

Les pauvres sont la plupart du temps malheureux car ils ne peuvent pas mener une vie ordinaire.
Beaucoup de pauvres meurent jeunes.
Certains meurent de faim et de soif.
Certains se nourrissent dans les poubelles.
Et ça partout dans le monde, même en France et même si la France est un pays riche !
Certains sont pauvres à cause de la guerre comme en palestine.
Les pauvres ont du mal à réussir leur vie.
Bien souvent, les gens qui ne sont pas pauvres pensent qu'ils n'ont pas de talent, qu'ils sont des "moins que rien", des fainéants... pourtant tout le monde a un talent, une capacité...
On devrait absolument aider les pauvres, mais plus que les aider c'est tout faire pour qu'ils puissent avoir une vie ordinaire.
Il ne faut pas oublier qu'une pauvre est une personne comme une autre.
Dyanéle, troisième année du cycle 3.

Une personne qui n'a pas ou qui n'a plus les moyens de s'acheter de quoi manger, pour se loger est un pauvre... et des pauvres il y en a partout dans le monde.
Un pauvre doit se sentir mal dans sa peau parce qu'il voit autour de lui des gens qui réussissent, qui ont de l'argent, parfois même beaucoup.
Ils voient aussi d'autres gens, des pauvres qui meurent de faim, de froid.
Pourtant, ils sont aussi intelligents que les autres, ils n'ont juste pas eu de chance dans la vie.
Ils sont pourtant rejetés et même détestés.
Dans certains pays, on met tous les pauvres ensemble dans des quartiers pauvres en dehors des villes pour ne pas les voir : ce sont des ghettos, c'est horrible.
Certains pauvres ont choisi de rejeter notre société, la société de consommation et ont choisi de vivre autrement.
Il faudrait pourtant que chaque personne sur terre puisse vivre convenablement, sans gaspiller, sans polluer, sans être en guerre sans cesse.
Il faudrait que les riches soient obligés de partager une partie de leurs richesses avec les pauvres.
Younés, troisième année du cycle 3.

La pauvreté c'est quelque chose d'affreux car tu ne peux rien te payer du tout, tu peux même vivre dans la rue, sale, malheureux... tu peux perdre tes amis, ta faille et finir par vivre seul, abandonné.
Tu peux aussi mourir de pauvreté !
Les gens sont pauvres car parfois ils ont choisi d'être pauvres et de vivre autrement, mais souvent ils ont du travail mais un tout petit salaire qui n'est suffisant pour vivre correctement
ou parfois ils ne sont pas instruits (ils ne savent pas lire et écrire).
D'autres sont victimes des guerres dans leur pays.
Ils n'ont plus de quoi se soigner, se guérir...
Etre pauvre, c'est certainement avoir une vie pas facile, une vie de souffrance.
Floriane, troisième année du cycle 3.

mardi, 05 juin 2007

Nos prochains projets...

Le mardi 12 juin, nous allons à Mouans-Sartoux voir nos correspondants de la maternelle.

Le jeudi 28 juin, nous recevons nos correspondants du collège.

Nous réfléchissons... suite.

Finalement, voilà comment nous allons réfléchir à la question :
"Pourquoi y-a-t-il des pauvres ?".

Nous en avons discuté tout à l'heure et nous sommes tombés d'accord sur :

Qu'est-ce que la pauvreté, les pauvres ?

Où et pourquoi y-a-t-il des pauvres ?

Que pense-t-on de la pauvreté, des pauvres ?

Peut-on faire des choses pour que cela s'améliore, disparaisse, pour aider, etc. ?

Ce mardi 05 juin 2007.

Nous avons fini hier le salon des connaissances, il s'est terminé à 16h30 exactement et maintenant tout recommence comme avant... nous avons notre emploi du temps ordinaire.

Ce matin, nous sommes en travail personnel jusque 10h15.
Ensuite, nous travaillons sur le sujet qui agite nos cerveaux : "pourquoi y-a-t-il des pauvres ?".
Nous allons en discuter puis nous allons commencer à nous mettre en groupes (ou pas) etensuite à écrire nos idées.
Après la cantine, nous allons avoir des ateliers et certain-e-s d'entre-nous auront aussi italien.
Il va y en avoir qui vont terminer des projets d'arts plastiques, d'autres des bricolages, d'autres de la correspondance.
En dernière partie de la journée, nous allons être en recherchede maths :
il y a des recherches sur les fractions et sur les mesures qui sont en cours.
Nous aurons aussi quelques présentations...

Voilà notre journée.

Dyanéle.

Nous réfléchissons...

Actuellement, nous réfléchissons pour trouver des réponses à la question :
"Pourquoi y-a-t-il des pauvres ?"
C'est un sujet bien compliqué et parfois très triste ...

vendredi, 01 juin 2007

Un monde de rêves ? …

Pour moi, le monde serait mieux que celui d’aujourd’hui : les maisons seraient en perles, il y aurait de partout des jardins avec du fer forgé, il n’y aurait plus de pollution, plus de voitures, seulement des chevaux.
Les écoles serainet en chocolat, on irait tout le temps à la plage…
On recyclerait vraiment ce qu’il y aurait à recycler.
Ce serait vraiment différent.
Gwenola, première année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves, ce serait un monde de paix où chacun réaliserait ses rêves : un monde où l’on pourrait réussir sa vie.
Tout le monde aurait un emploi, un monde oùil n’y aurait plus de pauvres et de riches, de SDF, il n’y aurait plus de racisme, plus d’enfants battuts, les handicapés pourraient aller à l’école…
Ce serait un monde où on pourrait partir en vacances là où on aurait envie.
On aurait tous des copains et des copines.
Il n’y aurait que du positif et plus du tout de négatif : tout irait mieux et ce serait un monde parfait.
Moi, dans ce monde, j’aurais une maison gigantesque avec tout ce dont j’aurais besoin.
Dyanéle, troisième année du cycle 3.

Ce serait bien car il n’y aurait plus de méchants, et tout serait possible.
On pourrait même être immortels !
Il n’y aurait plus besoin de présidents, on n’aurait plus besoin de visas pour aller d’un pays à un autre et en France tout le monde serait bien accueilli et pourrait y vivre bien.
Tout le monde aurait du travail, une maison.
Il n’y aurait plus de guerres.
Diego, deuxième année du cycle 3.

Un monde de rêves, en fait ce serait un monde de bonheur, de chance, de tranquillité… un monde bien sans violence, un monde propre, beau mais… un monde de rêves, comme ça, ça n’existe pas !
Un monde de rêves, ce serait, pour ceux qui y croient, comme le Paradis.
Un monde de rêves, c’est peut-être avoir une vie normale : pourquoi a-t-on besoin d’avoir un monde de rêves ?
Nicolas P., troisième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où il n’y aurait pas besoin d’argent car tout serait gratuit : il n’y aurait donc plus besoin de violence, de méchanceté, et il n’y aurait plus de problèmes de faim, de logements, de guerres…
Ce serait aussi un monde où il n’y aurait plus de pollution, un monde où l’on serait invulnérables face à la vieillesse.
Un monde où tout le monde aurait la maison de ses rêves.
Matéo, deuxième année du cycle 3.

Ce serait un monde sans morts, sans blessés, sans pollution, sans président, roi, reine, sans esclaves, sans riches ou pauvres, sans racisme…
Ce serait un monde de paix, d’amour, d’humour.
Ce serait un monde beau… « zen » !
Aïchoucha, deuxième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où un homme et une femme tomberait éperdument amoureux l’un de l’autre.
Ils s’offriraient des cadeaux d’amour : de petites étincelles de lumière bleuâtre.
Il y aurait des fleurs partout et l’homme serait galant et romantique.
Ce serait un monde oùl’amour gierait dans les cœurs des hommes et des femmes.
Matthieu, troisième année du cycle 3.

Un monde de rêves, ce serait le Paradis sur terre : j’aurais tout ce que je veux, une villa, et une piscine rien que pour moi. Je ferais tout ce dont j’ai envie, tout ce que j’aime…
Mais, je penserais aussi aux autres : à mes parents, ma famille, mes amis, les ans-abris, les pauvres…
Il faudrait partager pour qu’il n’y ait plus de malheur et que tout le maonde ait de la chance dans la vie.
Christina, première année du cycle 3.

Pour moi, ce serait que les habitants du monde entier arrêtent de polluer la Nature.
Ce serait aussi un monde où il n’y aurait plus d’adultes ou d’enfants battus, où il n’y aurait plus de racisme en France, en Amérique, en Afrique, etc.
Ce serait un monde où les gens se respecteraient : les adultes mais aussi les enfants.
Il n’y aurait plus de violence dans les stades, les rues.
Il n’y aurait plus que des « riches » partout surtout en Afrique : l’esclavage, la pauvreté auraient vraiment disparus.
Mais mes deux plus grands rêves seraint qu’il n’y ait plus de guerres dans le monde entier et que les gens qu’on aime ne meurent jamais.
Younés, troisième année du cycle 3.

Un monde de rêves pour moi, serait un monde sans pollution, sans geurres, sans enfants battus.
Ce serait un monde où il y aurait plus de vacances, de jeux électroniques, d’animaux.
J’aurais une maison au bord de la plage avec des volets bleus…
Nicolas B., deuxième année du cycle 3.

J’aimerais bien que les guerres s’arrêtent, qu’il n’y ait plus de pauvres, plus de racisme, plus de pollution, plus d’esclaves et de pauvres.
J’aimerais que tout le monde puisse vivre dans une grande maison.
J’aimerais qu’il n’y ait plus de disputes entre les parents.
Méziane, première année du cycle 3.

Un monde de rêves, ce serait un monde avec de la paix, sans esclaves, sans gens qui vivent dans la rue, sans pauvres et riches, sans chômage.
Ce serait un monde avec des dinosaures, des mammouths et des animaux légendaires qui nous protègeraient…
Vincent, première année du cycle 3.

Un monde de rêves, ce serait un monde où il n’y aurait plus de pauvres, de pollution, plus d’argent.
Il n’y aurait plus de voleurs, de meurtriers, de soldats et donc de guerres…
On pourrait voyager en se téléportant, on serait toujours en vacances.
On pourrait aller dans l’espace sans équipement.
Hugo, première année du cycle 3.

Un monde de rêves serait un monde tranquille avec des gens aimables sans violence, sans voleurs.
Il serait rempli de bonbons… bons pour la santé.
Il n’y aurait plus de chômage, les choses seraient faciles, il y aurait moins de problèmes.
Les objets, la nourriture seraient moins chers ce qu’il fait qu’il y aurait moins de pauvres, moins de guerres, moins d’enfants battus et plus d’amour…
Les microbes disparaîtraient, la pollution aussi.
Bref, un monde de rêves, pour moi, ce serait un monde avec beaucoup moins de choses négatives et plus de choses positives.
Floriane, troisième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où toutes mes envies, tous mes désirs se réaliseraient.
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où des familles l’auraient plus peur de recevoir une lettre annonçant que le père, le mari, le fils est mort d’une balle, à la guere ou dans la rue…
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où les enfants, les parents n’auraient plus besoin de voler, mendier pour vivre…
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où les enfants, es adultes, les femmes, les hommes, les blancs, les noirs seraient au même niveau…
Pour moi, un monde parfait, ce serait un monde où sans pollution.
Nous pourrions l’avoir, mais malheureusement, nous le détruirions…
Nina, troisième année du cycle 3.

Ce serait un monde de rêves s’il n’y avait plus de guerres du tout sur Terre.
Les hommes ne seraient plus racistes, ceux qui n’avaient pas de paiers pourraient aller là où ils veulent, il n’y aurait plus de femmes d’hommes ou d’enfants maltraités. Il n’y aurait plus de pollution, on utiliserait du gaz naturel et pas du pétrole.
Irina, deuxième année du cycle 3.

Un monde de rêves, c’est un monde ou tout le monde serait heureux.
Un monde de rêves, c’est un monde sans problèmes.
Un monde de rêves, c’est un monde où si l’on a un rêve… il se réalise !
Un monde de rêves, c’est un monde où les parents ne se disputeraient pas, ne frapperaient pas leurs enfants.
Un monde de rêves, c’est un monde où il n’y aurait plus la guerre, le racisme.
Mais un monde de rêves, ça existe, car sans les rêves on ne serait rien…
Diana, première année du cycle 3.

Un monde de rêves ce serait un monde où les Pokemons existeraient vraiment : on pourrait jouer avec eux…
Mais ce serait aussi un monde sans pollution, sans guerre, et sans président.
Corentin, deuxième année du cycle 3.

D’après moi, un monde de rêves, ce serait un monde où il y aurait tout ce que je veux : je serais milliardaire, il n’y aurait d’ailleurs que des riches et il n’y aurait plus besoin de travailler. Je serais peut-être même roi mais dans un pays où les habitants auront le droit de faire ce qu’ils veulent…
Dans un monde de rêves, il n’y aurait plus de pollution, de guerre, tout serait gratuit, tout le monde aurait ce qu’il veut… un peu comme si tout le monde était roi ou reine !
Jean, deuxième année du cycle 3.
Mon monde de rêves serait qu’il n’y ait plus de pollution, d’esclavage, de pauvres, de racistes, d’enfants battus…
Je voudrais que tout le monde ait assez d’argent pour vivre convenablement.
Dans ce monde de rêves, on verrait enfin la paix, la tranquillité, l’amour.
Les paysages seraient beaux, ce serait même encore plus beau qu’un rêve !
Si tout le monde sur Terre s’y mettait alors ce monde de rêves serait réalisable…
Mouna, deuxième année du cycle 3.

Pour moi, un monde de rêves serait un monde où tout le monde serait riche.
Il n’y aurait plus d’usines polluantes et plus de végétation, des animaux libres.
Les gens ne seraient plus malades, ils vivraient le temps qu’ils souhaitent.
Naturellement, la guerre n’existerait plus, la violence non plus.
Dès notre naissance, nous saurions parler, marcher, lire écrire… et nous aurions le temps de rêver, sauter, trottiner, et même voler…
Ella, troisième année du cycle 3.

Pour moi, dans un monde de rêves, nous pourrions voler avec des ailes pour nous déplacer sans polluer et il n’y aurait plus de voiture, de moto, de camion ou de moyens de transport polluants.
Il n’y aurait plus de braconniers, de brigands, de dictateurs, de personnes dangereuses pour la nature ou les humains.
Les scientifiques auraient trouvé un produit pour réparer le trou de la couche d’ozone.
Ce monde serait bien car il n’y aurait plus auncun nager pour la nature, les animaux et les humains.
Julien, première année du cycle 3.

Dans un monde de rêves, il n’y aurait plus parents qui divorcent : tous les parents s’aimeraient et vivraient avec leurs enfants. Ils ne se disputeraient plus et ne rendraient plus tristes leurs enfants. Il y aurait de vieux couples qui vivraient au moins jusque 80 ans.
La vie serait normale, en famille.
Il n’y aurait plus de pollution : le monde serait beau, propre, la Terre ne se réchaufferait pas et les gens ne risqueraient pas de mourir à cause des usines, des déchets, etc.
Il n’y aurait plus de pauvres : tout le monde aurait une maison, pourrait fêter dans la joie Noël, les anniversaires, etc.
Dans ce monde, tout serait gratuit, les riches auraient partagé leur argent avec les pauvres.
Il n’y aurait plus de jeunes dans les rues qui font n’importe quoi et les villes seraient calmes.
Tout le monde aurait du travail.
On n’enfermerait plus les animaux dans des cages.
Ce serait un monde merveilleux de liberté…
Marina, deuxième année du cycle 3.

Faites des connaissances !

Le salon des connaissances à l'école Toreille et Saint-Michel (Vence).

En ce moment, nous sommes en train de faire le salon des connaissances.
Tous les jours il y a des ateliers, animés par des enfants :
de 14h00 à 15h00 c’est le premier temps, et de 15h30 jusqu’à 16h30 c’est le deuxième temps .

Quelques activités :

- Les droits de l'enfant.
- Construction de bonhommes imaginaires.
- Dessin de Dragon Master.
- Dessin à l’encre.
- Jeux de taboo .
- Poterie.
- Scoubidou .
- Réalisation de photos.
- Tennis.
- Jeux du labyrinthe.
- Jeux de société.
- Dames chinoises.
- Bataille navale.
- Comment fabriquer des coussins.
- Quelques exposés.
- Jeux d’échecs.
- Rosaces.
- Danse espagnole.
- Cartes pour la fête des mères.
- Courses de relais.
- Sculpture sur plâtre.
- Réaliser des rosaces.
- Découvrir un sport : tennis, aïkido, jui-jitsu, football américain, basket, hand, etc.


Ce sont des activité de jeux ou de sport, des activités de découverte, d'initiation.
Ça dure une semaine, c’est tous les après-midi.

Dyanele et Nina