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mercredi, 19 janvier 2011

Une soirée avec les parents...

Mardi 18 janvier 2011, 18h30...

La salle de la BCD de l'école est remplie, il ne manque que Maureen, Josefine et Thomas.

Nous allons présenter aux parents notre classe découverte de décembre.

Téo, Victor, Yohni et Manon prennent la parole et expliquent dans les grandes lignes notre séjour.

Olivia et Channeze donnent des nouvelles du film vidéo (en cours de montage).

Puis Marine, Victor et Noémie présentent les ateliers d'arts plastiques avec Brigitte et le grand carnet de bord réalisé.

Puis, place aux chants avec Brigitte pour les enfants de l'atelier chant et deux chansons, rejoints à la fin par le reste de la classe pour une chanson argentine "el café...", menée par Victor.

Alicia et Mélodie présentent alors le travail de l'atelier musique avant de terminer avec une improvisation menée par Pauline.

Puis, direction la classe où sont exposés des carnets de bord et de voyages individuels, des dessins et peintures,... ou la salle informatique pour un apéritif coopératif.

Merci à :

- Brigitte d'être venue du Pradet (83) passer l'après-midi et la soirée avec nous
- aux parents présents ce soir et qui ont permis la réussite de ces quelques instants de rencontre. 

xylophone_bois.jpg

Le destin, qu'est-ce que c'est, y crois-tu, pourquoi ?

Une discussion dans notre classe,

le cycle 3 :

 

Certaines personnes pensent que leur vie est écrite quelque part et qu’on ne peut rien faire pour la changer.
Par exemple, quand on passe sous une échelle, on pense qu’il va nous arriver un malheur…
Les gens qui croient à l’horoscope pensent aussi qu’ils ne sont pas maîtres de leur destin et que quelque chose les dirige.
Je ne crois pas trop au destin car je pense qu’il n’y a que moi qui puisse me diriger… sauf quand mes parents ou quelqu’un d’autre me dit : « Va ranger ta chambre ! » ou « Ne fais pas ça » ou quand il faut suivre des règles strictes mais je sais aussi qu’il ne faut pas faire n’importe quoi.

Je pense que si on veut faire quelque chose, on va tout faire pour y arriver même si cela contredit l’horoscope ou ce que le destin aurait dit.

Parfois, quand on lit l’horoscope, on est influencé par ce qu’il dit et ça finit par arriver pour de bon parce qu’on est nerveux à force d’y penser.
Si on pense que toute notre vie est décidée à l’avance, alors il n’y a plus qu’à rester assis et attendre que ce qui doit nous arriver arrive !

Même ceux qui croient en Dieu sont libres de leur destin car si Dieu dirigeait tout, il n’y aurait que des gens honnêtes sur Terre alors qu’il existe des voleurs, des criminels,…

Les humains sont tous libres de choisir leur vie, s’ils vont être honnêtes, malhonnêtes.
Pauline, troisième année du cycle 3.

 

Le destin, c’est ce qu’il va arriver à quelqu’un.
C’est comme « écrit quelque part » et ça rejoint l’horoscope.
Un exemple :

Je tombe et si je crois au destin, je me dis que c’était prévu, que cela devait m’arriver…

Certains croient plutôt au hasard alors que d’autres croient plutôt au destin et que d’autres encore croient parfois au deux.
Un autre exemple :
Si des parents ont un fils brillant à l’école, ils peuvent dire « mon fils est brillant, il va avoir une bonne destinée ».

Moi, je crois que parfois cela a été prévu et que parfois c’est le hasard parce que je pense que nous pouvons « organiser » ce qui va arriver.
En tous les cas, c’est compliqué…
Josefine, troisième année du cycle 3.

 

Les gens qui croient au destin pensent que ce qui arrive est écrit, que c’est leur est destiné.
Ils croient souvent en une religion dans laquelle dieu contrôle le destin des hommes.

Certaines personnes ont parfois peur du destin et en deviennent même superstitieux.
Moi, je pense que ce qui nous arrive dans la vie, de bien ou de mal, c’est le hasard.

Olivia, troisième année du cycle 3.

 

Le destin, c’est ce qui dans notre vie, nous est destiné et cela peut être de la chance ou du malheur, mais personne ne sait quand cela va lui arriver.
Le destin est prédit, écrit par les dieux ou les parents.

Un exemple :

Emerick rencontre Nadine, ils discutent et traversent une route… Malheureusement, Emerick se fait écraser… Des gens vont dire que c’était prévu ce jour-là à cette heure-là, c’est ça le destin pour eux.

Moi, je n’y crois pas parce que je ne crois pas aux dieux et comme ce sont les dieux qui prédisent le destin, je n’y crois pas.
Martin, première année du cycle 3.

 

Le destin, c’est l’ensemble des évènements qui composent notre vie et contre lesquels on ne peut rien faire.
Le destin, c’est aussi le hasard.

Je crois au destin, au hasard mais je ne crois pas aux gens qui me disent ce qu’il va m’arriver.
En effet, j’y crois car tous les matins quand je me lève, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver…
Amélie, première année du cycle 3.

 

Le destin, c’est une puissance supérieure qui semble prévoir le cours des évènements, les diriger vers une certaine fin…
C’est l’ensemble des évènements de la vie des humains.
Ma définition :
On n’a pas le choix, quelqu’un ou quelque chose décide à notre place.

Je pense que parfois ce n’est pas le destin qui fait les choses.
Exemple :

Quand il fait froid, si on sort sans être couvert, c’est sûr que l’on va attraper froid mais si on se couvre, on ne sera pas malade…

Parfois, je pense que c’est le destin qui fait les choses.
Exemple :

Si on joue à la loterie et que l’on gagne, c’est le destin, une chance : on ne peut pas choisir, décider.

Donc, moi je suis entre les deux : parfois je pense que le destin décide de notre vie parfois non.
Maureen, troisième année du cycle 3.

 

Moi, je ne crois pas au destin, je pense qu’il est impossible que mon destin (mon avenir) soit déjà écrit.

Le destin, c’est l’avenir mais tout écrit, tout prévu…
Si tu rates le bus, c’est normal surtout si tu as parlé à la sortie de la classe… Si tu ne l’avais pas fait, tu ne l’aurais pas raté !

Marie, troisième année du cycle 3.

 

Le destin : c'est pour les personnes qui pensent qu'un Dieu a décidé de leurs vies.
Mais, moi je dis que c'est moi qui commande ma vie.
Des machines et des hommes ont conquis le ciel et l'univers et personne n'a trouvé quelque chose : donc les dieux n'existent pas et le destin non plus.
Matteo, première année du cycle 3.

Le destin, c'est une force mystérieuse qui a le pouvoir de décider de notre vie, c'est ce qui va nous arriver de bien ou de mal même sans le vouloir.
Je crois au destin parce que dans le Coran, on dit "Mektoub, c'est écrit" : c'est le sort qui nous est réservé dès notre naissance pour toute notre vie, elle est déjà tracée.
Pour moi, le destin, c'est donc ce qui va m'arriver dans ma vie quand je m'y attends le moins et je crois que chacun a son destin.
Fares, deuxième année du cycle 3.

Le destin, c’est quelque chose qui est déjà décidé et on ne peut pas le changer.
Moi, je n’y crois pas.

Exemple :

Si j’arrive deuxième à une course, et bien ce n’était pas mon destin… Je pouvais changer ce résultat en allant plus vite !
Lucas, première année du cycle 3.

 

Le destin, c’est l’histoire de ta vie, elle est déjà écrite.

Tu nais et tu seras un chanteur ou tu seras alcoolique, clochard, tu auras un accident d’avion,…
Tout ça c’est le destin.
Pour moi, il y a aussi l’horoscope qui fait partie du destin :
les gens qui croient à l’horoscope, croient au destin et ils sont comme hypnotisés par ce qui est prédit par l’horoscope :
Les gémeaux seront aujourd’hui peu en forme et hop, des gémeaux tombent malades !

Moi je ne crois pas que mon avenir soit déjà écrit, la vie me réservera des surprises mais ce n’est pas le destin qui en sera responsable.
Je pense que ceux qui ont inventé l’idée de destin sont très « forts » !
Victor, troisième année du cycle 3.

 

Le destin c’est comme l’avenir avec une différence : le destin c’est pour une personne alors que l’avenir c’est pour tout le monde.
Moi, je crois au destin car ça aide à croire en nous.

Moi je crois que mon destin ce sera d’être footballeur et je vais faire tout ce qui est en moi pour y arriver…
Thomas, première année du cycle 3.

 

Le destin, c’est ce qui va arriver à une personne : c’est son avenir, son futur.

Je pense que mon futur est déjà écrit comme la date de ma mort, celle de mon mariage, celle de la naissance de mon enfant,…

Quand il y a des accidents, certains s’en sortent et d’autres pas, c’était le destin de chacun…

Noémie, troisième année du cycle 3.

 

Le destin c’est ce qui va t’arriver plus tard dans ta vie.
Parfois, aux fêtes foraines, il y a des voyantes : elles servent à décrire ton destin.

Moi, je n’y crois pas car je pense que cela ne sert à rien mais je pense que celles et ceux qui y croient doivent continuer à y croire.
Mélodie, deuxième année du cycle 3.

 

Le destin, c’est l’ensemble des évènements de la vie qui sont déjà écrits et que l’on ne peut pas changer.
Moi, j’y crois car je pense que tout ce qui nous arrive dans la vie, ça n’est pas le hasard.
Emma, première année du cycle 3.

 

Pour moi, le destin ou la destinée d’une personne c’est un peu son avenir et il peut réserver des surprises.
Le destin est écrit dans chaque personne.

Je pense que le destin existe et j’y crois car je pense que Dieu nous a fait, qu’il a écrit notre vie du début à la fin.

Parfois, malgré tout, il y a des choses qui arrivent et qui ne sont pas prévues.

Channeze, troisième année du cycle 3.

 

Le destin, c’est ce qui va t’arriver plus tard, on peut donc dire que c’est ton futur.

Il y a des gens qui y croient et d’autres qui n’y croient pas.

J’y crois car c’est pour moi et j’espère bien qu’il va m’arriver ce que je crois…

Alicia, deuxième année du cycle 3.

 

Le destin, c’est quelque chose qui est écrit dans de nombreuses croyances et qui décide de la vie des humains.

Pour moi, croire au destin, c’est croire en l’avenir.
Manon, première année du cycle 3.

 

Le destin, c’est ce que la vie nous réserve mais qui pour les religions est écrit par un dieu ou des dieux.

C'est-à-dire que les hommes n’ont pas de choix, pas de liberté.

Je trouve que c’est terrible de penser que l’on commande notre vie.

Yohni, deuxième année du cycle 3.

 

Le destin c’est quand on croit que ce qui va nous arriver demain est déjà prédit.

Il y a des gens qui n’y croient pas et qui pensent que ce qui nous arrivé c’est le hasard, un accident.

Trop croire au destin, c’est grave car on ne fait plus rien et on a peur de tout.
Marine, première année du cycle 3.

 

Certains pensent que leur vie est marquée à l’avance sur un « livre » et d’autres pensent que l’on a toujours le choix.
Moi je pense que mon destin sera de travailler dans un club hippique.
J’y crois car j’adore les chevaux et j’ai choisi de m’occuper d’eux.

Sarah, première année du cycle 3.

 

Le destin c’est l’ensemble des évènements de ma vie.
Moi j’y crois, c’est écrit à l’avance et je pense que c’est Dieu qui l’a fait.
Dalip, deuxième année du cycle 3.

 

Dans le dictionnaire je peux lire : ensemble des faits successifs qui affectent la vie de chaque individu ou l’existence de chaque objet.

C’est le destin des choses humaines de n’avoir qu’une durée courte et rapide (Voltaire). »

Je pense que chaque être humain a un destin mais qu’il peut être contrarié.
Exemple : un enfant qui a appris le piano et qui devient un virtuose et fait des concerts dans le monde entier peut avoir un jour un accident, avoir les mains blessées et ne plus pouvoir jouer de piano. Son destin de pianiste est totalement brisé.

D’autres personnes acceptent la vie qu’elle soit bonne ou mauvaise et ne font rien pour la changer : ils acceptent leur destin.

D’autres vont se battre pour l’améliorer, pour changer le cours de leur vie, de leur destinée.

Je pense que le destin existe mais j’espère pouvoir influencer le mien vers le meilleur.

Leo DM., deuxième année du cycle 3.

 

Le destin, ce sont des personnes connues ou inconnues qui décident de ta vie : tes parents, un dieu et c’est ça qui va influencer ta vie, ce que tu vas devenir, ce que tu vas faire… C’est ta ligne de vie (on dit aussi ton « karma »).

Moi, je pense que cela n’existe pas et que ce qui est important c’est de vivre maintenant, l’instant présent…
Qui pourrait écrire notre destin ? Personne !
Que l’on croit au destin ou pas ce qui nous arrive dans nos vies, c’est nous qui en sommes maitres.

Teo, troisième année du cycle 3.

Pourquoi et comment devient-on clochard ?

Une discussion dans notre classe,
le cycle 3.

Un clochard est une personne qui n’a plus d’abri (maison, appartement,…), qui a peu ou pas d’argent, qui n’a pas ou très peu de quoi se nourrir.
Il vit donc dans la rue.

Un clochard peut mendier, c'est-à-dire demander de l’argent, de la nourriture.

Certains clochards jouent de la musique pour gagner un peu d’argent.
Un clochard est donc un SDF : une personne Sans Domicile Fixe : c’est un sans-abri, un pauvre, un malheureux.
Avant, on les appelait des vagabonds, des va-nus pieds.

 

A mon avis, on peut devenir clochard quand on perd son travail, que l’on se retrouve au chômage et que l’on n’arrive pas à en retrouver. Pendant ce temps, il faut continuer à vivre, se loger, se nourrir…
On peut aussi devenir clochard si on n’a pas fait d’études et si on ne trouve pas un travail.

On peut aussi naître d’une famille de clochards…

Devenir clochard, ce n’est normalement pas de la faute du clochard.

 

Moi, je trouve que cela doit être plutôt dur de ne rien avoir dans la vie.

Heureusement, il y a des associations comme la Croix Rouge, la Banque Alimentaire qui les aident en donnant des vêtements, de la nourriture, et parfois en les aidant à (re)trouver du travail.

C’est triste et il faut les aider, surtout en hiver.
On peut participer à des collectes et prendre dans nos placards de la nourriture, des vêtements pour un peu de bonheur…

 

Joséfine, troisième année du cycle 3.

 

Un SDF, une personne Sans Domicile Fixe (un clochard) est quelqu’un qui n’a pas assez d’argent pour se payer un loyer ou de la nourriture, même si il a du travail (il ne gagne pas assez).

Il y a des associations qui s’occupent, qui accueillent les SDF pour la nuit, pour se nourrir,etc.

 

Certains SDF viennent au monde dans des familles de SDF et dans ce cas, il y a de fortes chances qu’ils restent SDF toute la vie.

Certains SDF le deviennent après avoir été rejetés par leurs familles, leurs amis.

Certains SDF le deviennent après avoir perdu leur travail, sans en retrouver un autre.

Certaines personnes deviennent SDF à cause des jeux d’argent : elles jouent, elles perdent, elles rejouent, elles perdent, etc. et à la fin, elles n’ont plus d’argent mais doivent en rembourser beaucoup…

 

Nous pensons que souvent ce n’est pas de leur faute si des personnes deviennent des SDF car elles ne sont pas toutes fainéantes ou joueuses !!!

Nous pensons qu’il faut les aider et que c’est vraiment de la part des associations un geste très solidaire…

 

Farès, deuxième année du cycle 3 et Marie, troisième année du cycle 3.

 

Un clochard est un homme ou une femme qui se retrouve seul-e, dans la rue, sans abri, sans argent et sans travail.
On dit plutôt maintenant un SDF.

 

Il se retrouve ainsi car il a perdu son travail, a été rejeté par les autres et ne s’en sort pas.

 

Je pense que cela peut arriver à tout le monde et que cela doit être terrible de se retrouver comme cela dans la rue, seul, sans rien.

 

Yohni, deuxième année du cycle 3.

 

Un SDF peut être aussi bien un homme, qu’une femme ou même qu’un enfant.

C’est une personne sans abri qui bien souvent a raté sa vie.

Il est seul, et a parfois été abandonné par sa famille, ses amis.
Il ne peut plus se nourrir correctement, n’a pas ou très peu de vêtements de rechanges, et il est donc parfois sale et vit souvent dans des endroits qui manquent d’hygiène.

Il a ou pas du travail mais quand il en a, ce travail n’est pas assez bien payé pour qu’il puisse trouver un logement, se nourrir correctement.

 

On peut devenir SDF quand on se retrouve sans travail, sans famille, sans ami.
On peut devenir SDF si on a trop dépensé et qu’à force on se retrouve sans argent.

On peut devenir SDF par fainéantise et se retrouver dans la rue.
On peut devenir SDF parce qu’à un moment ça nous convient.

On peut devenir SDF en ratant sa vie, en n’ayant pas de diplôme ou de qualification.

On peut devenir SDF quand on se retrouve sans aide.

 

Nous pensons que cela peut arriver à tout le monde et ça nous met mal à l’aise.

Il faudrait que tout le monde fasse de son mieux pour les aider.

Nous ne pouvons pas beaucoup les aider mais un sourire peut faire plaisir…

 

Sarah et Matteo, première année du cycle 3, Olivia, troisième année du cycle 3.

 

Un clochard est une personne qui vit dans la rue, qui est pauvre, et qui souvent a des vêtements sales, déchirés.

C’est une personne qui n’a pas ou n’a plus de travail et donc sans travail, pas d’argent et sans argent, pas de logement, pas de vêtements à se mettre, pas de nourriture…

C’est une personne qui n’a ni famille, ni ami pour l’aider.

Certains meurent de faim, ce n’est pas juste.

 

Noémie, troisième année du cycle 3.

 

Un clochard est une personne qui vit dans la rue et qui n’a pas (ou presque pas) d’argent.
On dit aussi une personne Sans Domicile Fixe (SDF) car le mot clochard est de moins en moins utilisé.

On utilise (ou on utilisait) aussi : mendiant, quémandeur, va-nu-pieds, misérable, pauvre, rejeté, seul, isolé, désavantagé, malheureux, …

Il existe des associations qui mettent à disposition des SDF des maisons pour la nuit (des foyers).

Il existe aussi des SDF qui ont un travail mais qui vivent dans la rue parce qu’ils ne sont pas assez payés pour avoir une maison et-ou se nourrir correctement.

Souvent aussi, les SFDF ont honte de leur situation et ils n’osent pas en parler, demander de l’aide.
Heureusement des associations comme la « Banque Alimentaire » ou la « Croix Rouge » sont là pour les aider.

 

Parfois, ils sont devenus clochards parce qu’ils ont perdu leur travail et qu’ils n’en retrouvent pas alors ils continuent à faire comme s’ils gagnaient encore leur vie, mais à un moment, ils n’ont plus rien pour payer le loyer, la nourriture et ils se retrouvent dehors, sans rien…

Bien travailler à l’école aussi est important pour ne pas se retrouver dans cette situation parce que les parton-ne-s voudront plus de nous si nous avons réussi des concours, des examens, si nous avons des qualifications…

 

Je pense que c’est bien que nous en parlions parce que cela peut arriver à tout le monde et c’est bien aussi de se rendre compte que ce ne doit pas facile d’être un clochard et que rien qu’en donnant une pièce, on peut redonner un moment le sourire à l’un d’eux…

 

Pauline, troisième année du cycle 3.

  

Un clochard c’est une personne qui est en difficulté : elle vit dans la rue, sans rien… et dort souvent dans des cartons.

On l’appelle aussi un SDF, Sans Domicile Fixe.

 Souvent, ils ont été ou sont rejetés par leurs familles, ils ont perdu ou n’ont jamais eu de travail, de maison ou encore dès la naissance, ils étaient pauvres.

Nous trouvons que les associations ont raison d’aider les pauvres et nous ne nous sentons pas bien quand nous passons à côté d’une personne aussi pauvre : ça nous rend triste, ça nous fait de la peine.

 

Cléa, première année du cycle 3, Léo, deuxième année du cycle 3.

 

Une personne sans argent, sans maison, qui vit dans la rue est un clochard.

 

Parfois, elle est devenue clocharde en jouant trop aux cartes (comme le poker) et en jouant de l’argent… et en le perdant…
A force de perdre de l’argent, elle n’en a plus.

Elle peut aussi devenir clochard en étant longtemps au chômage.

 

Je pense que c’est très triste pour eux.

 

Emma, première année du cycle 3.

 

Un clochard, c’est une personne qui n’a plus de quoi vivre et qui donc vit dans la rue.

Parfois, elle a encore une maison, mais n’a plus d’argent, plus de nourriture, d’eau potable, d’électricité alors c’est difficile de vivre.

 

On devient clochard pour plusieurs raisons :

L’entreprise dans laquelle on travaillait peut fermer et on se retrouve sans travail, avec plus assez d’argent pour payer sa maison et on finit par se faire expulser et on se retrouve dehors… ou bien on ne gagne pas assez d’argent alors on emprunte à la banque, à des amis, et on n’a plus assez pour rembourser… ou bien notre famille, nos amis refusent de nous aider quand nous avons des problèmes d’argent.

 

Je pense que cela doit être difficile de vivre dehors, sous la pluie, la neige, la grêle, dans le froid, dans la chaleur… sans une bonne alimentation, en étant sale…

Certains SDF ont aussi des familles, des animaux…

Heureusement qu’il y a des associations comme les Restos du Cœur, la Banque Alimentaire, la Croix Rouge, qui aide ces personnes en difficultés.

 

Maureen, troisième année du cycle 3.

Les clochards sont des personnes qui sont pauvres et malheureuses.
Les clochards ont peu de vêtements, souvent déchirés et ils demandent de l'argent dans les rues.
Ils vivent souvent dans la solitude.
A cause du manque d'argent, ils ne peuvent pas se nourrir correctement.

Ils sont devenus clochards car ils ont peut-être été rejetés par leurs familles et qu'ils se sont retrouvés sans travail, sans maison...
Ils sont peut-être aussi nés pauvres.

Ce ne doit pas facile d'être un clochard surtout en hiver, à cause du froid... certains en meurent.
Vivre dehors sans vêtements chauds, sans nourriture, c'est dangereux.

Dalip et Alicia, deuxième année du cycle.

Un clochard n'a pas de maison et il vit dehors, s'abritant dans des cartons.
C'est une personne en difficulté (sans argent, sans pouvoir bien se nourrir).

Des gens deviennent clochards en ayant par exemple des retards de loyer, de factures d'eau, d'électricité et des dettes à rembourser, en ayant perdu leur travail...

Ils sont peut-être devenus clochards en ayant été rejetés par leurs familles et se sont retrouvés, abandonnés, sans maison, sans appartement, sans argent...

Ce n'est pas normal que des personnes deviennent clochards et qu'en hiver elles puissent mourrir de froid.
Cela nous fait de la peine...

Martin, Marine, deuxième année du cycle 3,
Channèze,
troisième année du cycle 3.

Mardi 18 janvier chez les CP ...

Nous avons cru que Romain était malade, mais après il est arrivé !!

Nous sommes allés à la BCD. Evelyne nous a donné un caramel.

Nous avons fait un travail avec le quadrillage de la cour et après sur une feuille.

Nous avons fait la danse, Nadine nous a filmés.

Nous avons écrit des mots de la chaise bleue sur l'ardoise, et après des nombres et des additions.

mardi, 18 janvier 2011

Mardi 18 janvier 2011...

Tout le monde est là aujourd'hui.

Ce matin,

nous nous sommes installés et nous avons mis au point notre journée de classe...

Les cm2 ont continué de travailler sur les évaluations pendant que les cm1 et les ce 2 travaillaient à d'autres choses :
- travail personnel
- travail à finir.

Les cm2 sont aussi allés en anglais.

Josefine a terminé son exposé sur les vikings : il restait quelques questions et le bilan de son travail.

Jean-Charles a aussi vu individuellement chaque cm1.

Cet après-midi,

Michel nous a rejoint pour travailler en vidéo sur le montage du film de la classe découverte avec le groupe vidéo.

Brigitte nous a rejoint pour revoir les chants appris avec elle et prépararer la présentation de l'atleier art plastique de la classe découverte.

Le groupe musique a répété plusieurs morceaux.

Un groupe a travaillé avec Jean-Charles en écoute musicale sur des morceaux de :
- Archie Shep, un saxophoniste de jazz célèbre
- RadioHead, un groupe de rock d'aujourd'hui
- Genesis, un groupe de rock d'avant
- Cassius, un groupe de musique électro.

En effet à 18h30, nous avons rendez-vous avec les parents pour faire une présentation de la classe découverte et déguster ensemble un apérifif coopératif...

Bon mercredi, le cycle 3.

A propos des évaluations cm2...

Chers parents,

votre enfant est appelé à passer, comme tous les écoliers de CM2 en France, une évaluation en français et en mathématiques. Comme toute évaluation, elle devrait permettre de situer votre enfant dans ses apprentissages, ce qu'il a appris, ce qui lui reste à apprendre. C'est important pour lui, pour vous, mais aussi pour l'enseignant qui doit pouvoir l'aider à progresser, à réussir. Pour cela, il a besoin de disposer d'éléments pour repérer la nature des difficultés.

Cette évaluation, mise en place depuis janvier 2009, ne répond pas à ces exigences et pose de nombreuses questions. Nous tenons à vous faire part des réserves que font les enseignants à son sujet.

D'une part, elle intervient en milieu d'année scolaire, date à laquelle toutes les notions du programme n'ont pas été consolidées, et qui ne laisse pas assez de temps pour mettre en place une aide efficace pour les élèves. D'autre part, évaluer des élèves sur des notions qui n’ont pas été abordées peut les mettre en difficulté. Je serai donc très attentif à ne pas mettre injustement vos enfants en situation d'échec.

Ensuite, la correction imposée ne permet pas de distinguer les résultats d'un élève qui, dans un exercice, a 7 ou 8 bonnes réponses sur 10 et celui qui n'en a aucune. Or, la plupart des enfants n'ont pas « tout juste » ou « tout faux ». Il est nécessaire de mesurer précisément où en est l'élève, de valoriser ses résultats, de l'encourager, de repérer l'origine de ses difficultés.

Pour répondre à ces critiques que nous avons formulées depuis 2009, le ministère a modifié le mode de correction, mais seulement pour un tiers des exercices. De plus, les résultats qui remonteront à l'Éducation nationale n'en tiendront pas compte, dénatureront les résultats de l'école...

Cette évaluation ne permet donc pas d'effectuer un bilan objectif des notions maîtrisées par chaque élève.

A ce jour, les modifications apportées restent très insuffisantes. Je suis convaincu que les évaluations réalisées en classe doivent être des outils au service de la réussite des élèves.

Les syndicats enseignants continuent à demander au ministre que les évaluations CM2 redeviennent un véritable outil diagnostic et n'aient pas lieu en cours d'année, que leur correction permette véritablement de faire le bilan sur les apprentissages et la mise en oeuvre par l'enseignant d'une aide adaptée, d'être un outil pour vous informer des réussites et des difficultés éventuelles de votre enfant.

En souhaitant que vous partagiez ces exigences, je vous prie de croire, chers parents, à mon attachement à un service public d’éducation de qualité pour vos enfants.

L'enseignant de la classe de cycle 3.

lundi, 17 janvier 2011

Lundi 17 janvier chez les CP...

Tout le monde était là aujourd'hui, et le soleil aussi !

On a continué le travail sur "la chaise bleue", Nadine nous a lu tout le début et on a lu une nouvelle page.

On a fait une fiche de lecture.

En mathématiques, on a travaillé avec le quadrillage du préau. On a noté les lignes de 1 à 8, les colonnes de A à H, et on s'est mis dans des cases pour trouver leurs noms (A, 7), (G, 3) ...

On est allé faire le plan de la cour .

Après Nadine nous a donné le nouveau plan de travail et on s'est inscrits au travail qu'on voulait faire.

Après la récréation, on a eu les ateliers avec les grands.

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Début du plan de travail numéro 9...

Tout le monde est là.

Ce matin,

nous avons rapidement présenté la journée et nous nous sommes séparés en quatre groupes :
- les ce 2 en anglais
- les ce 2 en italien
- les cm 1 en prévention routière
- les cm2 en évaluation.
Et oui, ce sont les évaluations nationales de cm 2 mais nous les passons en ne travaillant que sur les points qui ont été vus en classe cette année, et en prenant le temps d'y travailler...

Les ce 2 ont ensuite commencé le travail prévu sur le roman qu'ils ont lu.

Nous nous sommes inscrits aux ateliers communs et nous avons vu le travail de la semaine.

Cet après-midi,

Jean-Charles a vu individuellement chaque ce 2 pendant que les cm étaient en anglais.

Josefine nous a présenté son exposé sur les vikings et nous avons fini la journée avec les ateliers communs :
musique, bricolage, collages, pastels, jeux de société, graf, triominos.

A demain, le cycle 3.

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dimanche, 16 janvier 2011

Vendredi 14 janvier au CP ...

Nicolas est revenu !

On a inventé de nouvelles histoires avec les mots de "la chaise beue" et on les a lues aux copains.

On a dessiné notre arbre en hiver au pastel.

On a fait le sport sur le stade : On a fait le jeu inventé par Mia, Penelope, Elise, Aurélien, Rahul et Romain en équipes. Il faut mettre le ballon entre les jambes et sauter dans les cerceaux sans le faire tomber.

On a chercher d'autres façons de sauter ... On a fini en faisant un jeu où Nadine nous disait d'aller dans les cerceaux bleus par exemple, et il fallait se débrouiller pour aller tous dedans ..

On a fait le conseil.

Bon week-end !

vendredi, 14 janvier 2011

Fin de semaine, de plan de travail...

Tout le monde est là,
le temps gris aussi !

Ce matin,

rapide installation et rapide présentation : les ce 2 devaient partir en anglais et en italien.

Les cm 1 sont passés aussitôt en travail personnel ou à finir alors que les cm 2 ont discuté avec Jean-Charles des évaluations nationales de cm 2.

Puis, à un moment, nous nous sommes toutes et tous retrouvés en travail personnel ou à finir...

La matinée a été terminée par du travail en maths sur les fractions :
nous avons regardé ensemble quelques erreurs faites lors des recherches d'hier et nous avons ensuite commencé de nouvelles recherches.

Cet après-midi,

les cm1 sont allés en anglais et pendant ce temps, nous avons eu deux présentations :
- une de Channèze
- une de Téo.

Ensuite, nous avons commencé notre cycle d'athlétisme avec des courses : de l'endurance et de la vitesse.

En fin d'après-midi, chacun-e a rempli son plan de travail et nous avons eu notre réunion coopérative de fin de plan de travail.

Nous avons eu la visite de Jérémie et Romain.

Bon week-end, à lundi.
Le cycle 3.

jeudi, 13 janvier 2011

Jeudi 13 janvier au CP...

Nicolas était toujours malade ... On espère qu'il sera là demain !

On a continué à lire le livre "la chaise bleue" et on a fait un travail avec.

On a pu faire le sport dans la cour : On a fait 4 groupes. Chaque groupe a pris du matériel et on a inventé un jeu pour l'apprendre aux autres après. On va continuer demain. Il faudra écrire les règles pour les corespondants !

On a travaillé avec le plan de travail.

On a parlé de l'automne et de l'hiver, de nos arbres qui avaient changé !

Jeudi 13 janvier 2001...

Yohni et Dalip sont absents
Emma n'est pas en grande forme.

Ce matin,

nous nous sommes installés et nous avons présenté la journée.
Nous nous sommes mis ensuite aussitôt à travailler en histoire sur nos recherches pour notre livre.
Certain-e-s ont lu, d'autres travaillé sur ordinateurs, d'autres ont écrit,...

Puis, nous avons travaillé en français : chacun-e a écrit un texte qu'il-elle va ensuite corriger avant pour certaine-s de passer en travail personnel ou à finir.

En fin de matinée, nous avons regardé une nouvelle lettre de nos ami-e-s du Lavandou qui nous invitent à venir passer deux jours chez eux en mars.

Cet après-midi,

nous avons commencé par un temps de travail personnel avant de faire le point sur nos travaux en cours et de nous inscrire aux ateliers.

Nous avons eu deux présentations :
- Leo P nous a présenté son séjour à Vars
- Mélodie nous a présenté ses coupes d'équitation.

Jean-Charles était moyennement content car beaucoup d'entre-nous n'apprennent pas leurs leçons...

Puis, nous avons fini la journée avec nos ateliers.

A demain, le cycle 3.

mercredi, 12 janvier 2011

« Retours » de classe découverte...

 

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à l’école

mardi 18 janvier 2011 à 18h30

 

Nous vous présenterons à cette occasion : 

le carnet de voyage
de la classe découverte

quelques chants de l’atelier chant

quelques musiques de l’atelier musique 

Le film n’est pas encore
totalement monté...

Il ne sera donc pas montré.

Nous vous proposons ensuite

de prendre ensemble un « apéritif » coopératif :

chacun-e apporte quelque chose à partager
une boisson, un plat salé ou sucré,…

La classe du cycle 3.

 

Mardi 11 janvier au CP...

Il faisait beau aujourd'hui !!

Nicolas était absent...

On a écrit sur l'ardoise des mots, on a fait des additions.

On a fait la danse, Nadine a filmé Mia, Elise, Penelope, Maëlle et Zoé qui ont fait une danse ensemble.

On a dansé sur une autre musique de "Dragons".

On a écrit les devoirs sur le cahier de textes.

On a cherché les mots où on entendait (Z) et on a mis le tableau dans le porte vue.

On est allé à la bibliothèque.

On a fait le plan de travail.

On a écouté un chant du "Corou de Berra" que Manon T a vu à l'opéra de Nice. C'est un groupe de chanteurs qui chantent en provençal, en niçois ...

On a mangé une pomme comme fruit du mardi.

mardi, 11 janvier 2011

Mardi 11 janvier 2011...

Ce matin,

nous nous sommes installés, nous avons fait le point sur la journée et nous avons eu l'exposé sur le renard.

Ensuite, les cm2 sont allés en anglais et les cm1 et les ce2 sont passés en travail à finir : il y a pas mal de choses en cours ou en travail personnel pour certain-e-s.

Les cm2 ont fait la même chose à leur retour d'anglais.

En fin de matinée, nous avons deux présentations de Martin :
- un morceau de musique de Pascal Ayerbe
- un morceau extrait de Mozart l'Egyptien, une rencontre entre la musique de Mozart et des musiques africaines.

Cet après-midi,

nous avons fini les questions sur le livre-jeu de Marie et Pauline puis le groupe vidéo est parti travailler sur le montage de leur film avec Michel alors que les autres ont travaillé en histoire.

Ensuite, nous avons travaillé en maths : il y a eu ces derniers temps beaucoup de recherches sur les fractions alors nous y avons travaillé ensemble.

Nous avons fini la journée avec une présentation d'Amélie : une danse.

Bon mercredi, le cycle 3.

L'infirmière est venue voir cinq ce2 pour une visite médicale... que beaucoup avaient oubliée !!!