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jeudi, 16 mars 2017

Le printemps des poètes, par les parents (5)...

Chaque année, en mars a lieu, le printemps des poètes...
Un moyen de faire re-découvrir la poésie.

Cette année, les parents de la classe du cycle 3 sont invités à nous communiquer pendant deux semaines les poèmes qu'ils apprécient, qui les ont marqués.

Aujourd'hui, plusieurs poèmes proposé par la maman d'Aurélien.
Merci.

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Liberté
Paul Eluard

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Paul Eluard

Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin)
Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)

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En sortant de l'école...

En sortant de l'école
nous avons rencontré
un grand chemin de fer
qui nous a emmenés
tout autour de la terre
dans un wagon doré

Tout autour de la terre
nous avons rencontré
la mer qui se promenait
avec tous ses coquillages
ses îles parfumées
et puis ses beaux naufrages
et ses saumons fumés

Au-dessus de la mer
nous avons rencontré
la lune et les étoiles
sur un bateau à voiles
partant pour le Japon
et les trois mousquetaires
des cinq doigts de la main
tournant ma manivelle
d'un petit sous-marin
plongeant au fond des mers
pour chercher des oursins


Revenant sur la terre
nous avons rencontré
sur la voie de chemin de fer
une maison qui fuyait
fuyait tout autour de la Terre
fuyait tout autour de la mer
fuyait devant l'hiver
qui voulait l'attraper

Mais nous sur notre chemin de fer
on s'est mis à rouler
rouler derrière l'hiver
et on l'a écrasé
et la maison s'est arrêtée
et le printemps nous a salués

C'était lui le garde-barrière
et il nous a bien remerciés
et toutes les fleurs de toute la terre
soudain se sont mises à pousser
pousser à tort et à travers
sur la voie du chemin de fer
qui ne voulait plus avancer
de peur de les abîmer

Alors on est revenu à pied
à pied tout autour de la terre
à pied tout autour de la mer
tout autour du soleil
de la lune et des étoiles
A pied à cheval en voiture
et en bateau à voiles.

Jacques Prévert

 

 

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Pour faire le portrait d'un oiseau

A Elsa Henriquez

Peindre d'abord une cage
avec une porte ouverte
peindre ensuite
quelque chose de joli
quelque chose de simple
quelque chose de beau
quelque chose d'utile
pour l'oiseau
placer ensuite la toile contre un arbre
dans un jardin
dans un bois
ou dans une forêt
se cacher derrière l'arbre
sans rien dire
sans bouger...
Parfois l'oiseau arrive vite
mais il peut aussi bien mettre de longues années
avant de se décider
Ne pas se décourager
attendre
attendre s'il le faut pendant des années
la vitesse ou la lenteur de l'arrivée de l'oiseau
n'ayant aucun rapport
avec la réussite du tableau
Quand l'oiseau arrive
s'il arrive
observer le plus profond silence
attendre que l'oiseau entre dans la cage
et quand il est entré
fermer doucement la porte avec le pinceau
puis
effacer un à un tous les barreaux
en ayant soin de ne toucher aucune des plumes de l'oiseau
Faire ensuite le portrait de l'arbre
en choisissant la plus belle de ses branches
pour l'oiseau
peindre aussi le vert feuillage et la fraîcheur du vent
la poussière du soleil
et le bruit des bêtes de l'herbe dans la chaleur de l'été
et puis attendre que l'oiseau se décide à chanter
Si l'oiseau ne chante pas
c'est mauvais signe
signe que le tableau est mauvais
mais s'il chante c'est bon signe
signe que vous pouvez signer
Alors vous arrachez tout doucement
une des plumes de l'oiseau
et vous écrivez votre nom dans un coin du tableau.

Jacques Prévert

 

mercredi, 15 mars 2017

Le printemps des poètes, par les parents (4)...

Chaque année, en mars a lieu, le printemps des poètes...
Un moyen de faire re-découvrir la poésie.

Cette année, les parents de la classe du cycle 3 sont invités à nous communiquer pendant deux semaines les poèmes qu'ils apprécient, qui les ont marqués.

Aujourd'hui, un poème proposé non pas par un parent de la classe, mais par une lectrice du blog, enseignante dans le 13, que connaît Jean-Charles, Dominique Roux.
Merci.

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Jusqu’aux bords de ta vie
Tu porteras ton enfance
Ses fables et ses larmes
Ses grelots et ses peurs

Tout au long de tes jours
Te précède ton enfance
Entravant ta marche
Ou te frayant chemin

Singulier et magique
L’œil de ton enfance
Qui détient à sa source
L univers des regards.

Andrée Chedid

Le printemps des poètes, par les parents (3)...

Chaque année, en mars a lieu, le printemps des poètes...
Un moyen de faire re-découvrir la poésie.

Cette année, les parents de la classe du cycle 3 sont invités à nous communiquer pendant deux semaines les poèmes qu'ils apprécient, qui les ont marqués.

Aujourd'hui, un poème proposé par la grand-mère d'Aurélien.
Merci.

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Ma bohème

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou

Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;

Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur !

Arthur Rimbaud.

mardi, 14 mars 2017

Le printemps des poètes, par les parents (2)...

Chaque année, en mars a lieu, le printemps des poètes...
Un moyen de faire re-découvrir la poésie.

Cette année, les parents de la classe du cycle 3 sont invités à nous communiquer pendant deux semaines les poèmes qu'ils apprécient, qui les ont marqués.

Aujourd'hui, un poème proposé par la maman d'Elise.
Merci.

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Je vous transmets ma contribution.
Ce poème est un des premiers que je me rappelle avoir appris à l'école.
Il a été lu à l'enterrement d'un de mes anciens camarades de classe parti trop tôt. Il me fera penser toute ma vie à ce groupe d'anciens copains.
 
Il pleure dans mon coeur.
Paul Verlaine
 
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits ! 
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !  

lundi, 13 mars 2017

Le printemps des poètes, par les parents (1)...

Chaque année, en mars a lieu, le printemps des poètes...
Un moyen de faire re-découvrir la poésie.

Cette année, les parents de la classe du cycle 3 sont invités à nous communiquer pendant deux semaines les poèmes qu'ils apprécient, qui les ont marqués.

Aujourd'hui, un poème proposé par la maman d'Emilia.
Merci.


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Le dormeur du val

C'est un trou de verdure où chante une rivière

Accrochant follement aux herbes des haillons

D'argent ; où le soleil de la montagne fière,

Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,

Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,

Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,

Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme

Sourirait un enfant malade, il fait un somme :

Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;

Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine

Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Arthur Rimbaud

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mercredi, 15 février 2017

Une histoire d'Aurèle...

Les Titans…

Dans un royaume lointain, un jour un magicien créa les Titans pour mettre fin à une guerre qui durait depuis très longtemps.

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La guerre terminée, les Titans attaquèrent le village du magicien.
Il appela à l’aide les géants, les cyclopes, les ogres et les chevaliers, mais personne n’arrivait à les vaincre…
Les Titans, en plus d’être d’énormes robots, une fois tués se régénéraient non pas en un Titan mais en deux !!!
Après des années et des années de combats, ils furent enfin vaincus et enfermés sous terre.

Dix siècles plus tard, les Titans prisonniers avaient appris à changer de formes…
En 2017, ils arrivèrent à s’échapper et à sortir de terre.
Très vite, une armada de bateaux volants remplis de Titans envahit l’Amérique du Nord.
Pendant l’invasion, je lus un livre qui indiquait qu'existait un temple capable de le détruire en aspirant leur énergie, mais il fallait une fois trouvé le déterrer et il y avait un problème c’était sur une île !

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C’est à ce moment-là qu’il y eut une explosion au fond de mon jardin et qu’apparurent trois créatures bizarres, deux espèces de lézards et un espèce de chien…

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Sam, celui qui ressemblait à un chien, était un traqueur.
Tigui, était un lance-flammes et l’autre, Dui ,cria :
« Tu es un Titan ? »
Je répondis que non, j’allais dire mon non quand :
« Il a le livre, attrape-le, attrape-le ! », cria Tigui.
C’est à ce moment qu’apparut un premier Titan…
« Des Titans, des Titans !!! »
Tigui le brûla avec une simplicité gigantesque.
Il en arriva un autre, et un autre… toute une armée en fait !!!
Je vois Tigui en brûler et Sam donner de grands coups de mâchoires, pendant que Dui les détruit.
J’entends une voix appeler tous les Titans qui aussitôt arrivent.
Le combat fait rage :
Sam, Tigui et Dui se battent, exterminent des Titans, je dois les aider.
Je suis Cartane

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Aurèle, deuxième année du cycle 3.

Télécharger le texte en cliquant ICI...

dimanche, 12 février 2017

Une histoire de Noémie...

L'école hantée.

C'est une histoire qui se passe au fin fond de la forêt où se situe une école mais pas n'importe quelle école, c'était une école hantée…
Un jour, un jeune garçon, Jonathan, voulut y aller.
Sa maman lui dit qu'il était fou, qu'on le transformerait en steak haché, frites !!!
Son papa lui disait qu'il était cinglé et qu'il serait transformé en hamburger.
Son grand frère lui disait qu'il était têtu et qu'il n'en reviendrait pas.

Jonathan hésita un instant, puis commença à faire ses bagages…

Le lendemain, il entendit sa famille se disputer.
Ils disaient qu'ils ne s'en sortiraient jamais…
Il descendit, et dit :
« Ben vous avez qu'à venir avec moi ! »
Après un long moment de silence, son grand frère dit :
« Mais ça n'existe pas, c'est seulement une légende  et les légendes sont des inventions, elles n'existent pas !!! Mais une petite sortie ne nous fera pas de mal... »
« Mais oui je sais ça n'existe pas, renchérit Jonathan, mais allons voir »
Sa famille décida de l'accompagner mais de rentrer avant le coucher du soleil…

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mercredi, 08 février 2017

Un texte d'Elliot...

Le magicien...

Sur une lointaine montagne escarpée vivait un homme nommé Ernald, il faisait d'étranges choses...
Un jour, un éclair est sorti de ses mains après qu'il eut prononcé une phrase mystérieuse.
Un matin, un chat s'est mis à flotter dans les airs et une poule qui s'était approchée de sa maison est revenue avec... des dents !
Un autre jour, un homme qui avait bu un verre chez lui est revenu avec... des ailes !
Le maire du village a vu peu à peu sa population se transformer...
Enervé, il se rendit chez Ernald, personne !
Etonné, il alla voir s'il n'était pas dans une de ses cachettes secrètes, personne encore !
Où pouvait-il bien être caché ?
Il sortit de la cascade, une des cachettes, et découvrit un magnifique paysage...
Il sentit quelque chose se poser sur son épaule droite et un frisson le parcourut : Une créature colorée d'une vingtaine de centimètres était là, posée sur son épaule.
D'un regard, la créature lui fit comprendre qu'elle ne lui voulait aucun mal.
Il partit avec la créature et continua ses recherches.
Tous les deux gravirent des montagnes, traversèrent des vallées à la recherche du magicien...
Des jours et des jours plus tard, ils arrivèrent dans une forêt d'arbres épineux, aux feuilles grises et noires.
Ils entendirent des bruits peu rassurants, même angoissants et je pèse mes mots, je vous le promets.
Ils parvinrent à une forteresse imprenable qui semblait abandonnée.
Ils décidèrent de l'explorer plus tard...

A suivre.

Elliot, deuxième année du cycle 3.

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Un texte d'Aurèle...

L'équilibre...

L'eau éteint le feu,
   le feu brûle l'herbe,
   l'herbe absorbe la roche,
   la roche bloque l'eau
   mais...
   tout pourrait s'inverser !

Aurèle, deuxième année du cycle 3.

lundi, 30 janvier 2017

Un texte de Jérémy...

Il était une fois un garçon qui s'appelait Tom.
Son père était un grand scientifique.
Un jour, il trouva une molécule zombie et il s'en débarrassa...
Mais, la personne qui nettoyait le laboratoire trouva la fiole, elle ressemblait à du jus de pomme.
Comme il avait soif, sans trop réfléchir, il but !!!
Il se transforma aussitôt en zombie et commença à mordre les autres scientifiques qui étaient dans le laboratoire sauf le père de Tom qui avait réussi à s'échapper.
Il n'en parla à personne même chez lui car il venait juste d'apprendre que sa femme attendait un autre enfant.
Il imaginait l'horreur...
Tom s'aperçut que son père n'allait pas très bien.
Il demanda à son père ce qu'il avait, il lui répondit qu'il n'avait rien, juste un problème au laboratoire...
Mais, pendant ce temps, les zombies réussirent à s'échapper et commencèrent à mordre tous les habitants dans leur sommeil.
Le père de Tom raconta tout à sa famille et se remit au travail pour trouver une solution.
Il découvrit une autre molécule pour empêcher la transformation et elle fut vaporisée de partout par des avions militaires et tout le monde redevint normal.
La molécule zombie fut brûlée.

Jérémy, première année du cycle 3.

Une histoire de Jérémy...

Il était une fois un serpent blanc...
Un roi l'avait tué pour prendre son pouvoir de parler aux animaux.
Chaque soir, le roi mangeait un morceau du serpent blanc...
Chaque fis que quelque chose disparaissait dans son château, il demandait aux animaux qui l'avait volé et ainsi il arrêtait les voleurs.
Un jour, un garçon essaya de voler le serpent blanc mais il se fit prendre et jeter dans un cachot où il y avait déjà Jacques, un vieil homme emprisonné aussi.
Jacques lui donna un médaillon qui avait le pouvoir d'ouvrir les portes du château.
Le garçon le prit et s'échappa.
Il vola les restes du serpent blanc et les jeta dans un lac, ils disparurent au fond et plus jamais personne n'entendit parler de cette histoire...

Jérémy, première année du cycle 3.

Un texte d'Elise...

Je marche sur la Terre,
   je ramasse un escargot,
   je l'arrose avec un peu d'eau,
   je le laisse dans mon jardin,
   il rentre dans sa coquille...

Cette nuit, je viens bien dormir
   avec mon escargot tout chaud !

Elise, première année du cycle 3.

jeudi, 26 janvier 2017

Un texte de Maxime...

La technologie...

La technologie
   c'est pire
   que le pire
   ennemi !

Elle pollue la Terre
   qui pourtant
   prend soin de nous...

Maxime, première année du cycle 3.

lundi, 23 janvier 2017

Un texte de Romain...

Dans la forêt...

Il était une fois, par un beau matin, dans une forêt, un garçon, Paul qui s'était levé et était allé s'y promener même si ses parents le lui avaient interdit !
Il était tellement curieux qu'il s'enfonça dans la forêt...
Il rencontra un loup mais il était très malin alors il lança un caillou.
Le loup s'approcha, attiré par le caillou et Paul l'attrapa par la queue, l'attacha et le ramena chez lui pour en faire un ragoût... non, un chien !!!

Romain, deuxième année du cycle 3.

Un texte d'Aurélien...

Cache-cache...

Le soleil cache
   la beauté des étoiles
   et de la nuit.

Quand il se couche,
   et part vers d'autres mondes,
   la beauté des étoiles et de la nuit
   apparaît.

C'est ça la magie
   de la beauté de la nuit...

Aurélien, première année du cycle 3.

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